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Jarvis Sima
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Jarvis Sima
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Mar 23 Jan - 18:33
Jarvis Sima
un message, une invitation officieuse à une soirée et il ne faut pas plus à jarvis pour arrêter tout ce qu'il est entrain de faire. portable à la main, il prévient bayek, saute sur l'occasion de se foutre la tête en l'air avec lui. de toute manière, qui connaît jarvis sait qu'il ne fera jamais une apparition sans son acolyte, compagnon d'infortune à ses côtés. et qui connaît jarvis et bayek sait que ce n'est jamais bon signe de les avoir tous les deux ensemble - surtout pas avec de l'alcool à portée de main. tornades dévastatrices, ils emportent tout sur leur passage et laissent les autres réparer leurs erreurs. il aime ça, baako. il aime foutre le feu aux poudres, laisser des traces de son passage et ne jamais avoir à en subir les conséquences. et par dessus tout, ce qu'il aime, c'est que ça, tout ça, ça se passe avec bayek. sentimental, peut-être. reconnaissant, sans aucun doute. il sait que sa vie, sa foutue, elle n'aurait pas le même goût sans lui - juste un goût amer et fade. et il n'attend pas, embarque dans sa bagnole pour aller chercher le qatari, prêt à le traîner si nécessaire. en deux deux, ils sont tous les deux dans sa voiture - et aussi vite que ça, ils sont arrivés à destination. ils tombent sur un amas de jeunes excités sortant des véhicules garées sur les trottoirs, dans l'entrée de l'immense baraque où se déroule la soirée. baako, qui n'est plus jarvis quand il est avec bayek, se gare à son tour, son regard vagabondant autour d'eux. – j'espère que ty s'est pas foutu d'ma gueule et qu'il va y avoir assez d'alcool pour m'foutre dans le mal pour la décennie à venir, qu'il lance. et quand il regarde le qatari, il y a ce sourire qui s'étend sur ses lèvres, celui des gamins satisfaits de leurs exploits. fais pas cette tête, baba. j't'ai sauvé de la solitude. son poing s'abat gentiment à son épaule. sans attendre plus longtemps, il sort de la voiture et faisant le tour, ouvre la portière passager. souris, la vie est belle. il se moque, baako. il se moque de bayek comme il fait toujours - si de son amitié sans frontière, ni limite.
(...) un verre, deux verres, trois verres. baako les enchaîne sans les compter, se délectant du pouvoir que ces breuvages ont sur son organisme. l'alcool coule autant que le carmin dans ses veines, le rendrait presque euphorique, alors que ses yeux se posent sur une charmante demoiselle assise toute seule dans un coin de la pièce. – j'reviens, qu'il glisse au qatari. et il pousse sans gêne, manque de renverser sa bière sur les personnes qui croisent son chemin - faut dire qu'il ne marche plus très droit. le reste se passe très vite. il est là, s'assoit, discute avec elle. un temps. sa main trouve son chemin vers sa hanche pour la rapprocher à lui. un temps. ses lippes se collent à son oreille, là où il lui murmure des mots doux. aveuglé par les substances dans son sang, par un cœur trop moelleux un peu aussi, il se voit déjà conquérant du sien. il l'imagine déjà femme de sa vie. il s'imagine déjà lui construire un château. mais.
mais.
– qu'est-ce que t'es entrain d'foutre ? qu'il entend, avant qu'une main insistante se pose sur son épaule. ses yeux dévient, finissent par croiser ceux de celui qui vient de parler. il est rouge. rouge furie. et baako, il ne comprend pas très bien - ni ça, ni pourquoi la nana s'éloigne de lui à vitesse grand v. – pardon ? non, vraiment, il ne comprend pas pourquoi ce jeune homme qu'il ne connaît ni d'ève, ni d'adam, vient lui casser son coup. – c'est ma meuf que t'étais entrain de peloter, qu'il hurle à la gueule. sourcils relevés, baako joue l'étonné. de la main qui tient toujours sa bière, il pointe l'objet de la querelle du doigt. – c'est ta meuf ? un rire. un rire incontrôlable. un rire qui n'a pas lieu d'être mais secoue baako. – pourquoi tu ris, connard ? c'est avec difficulté qui reprend à moitié son sérieux, toujours un sourire insolent au visage. – j'm'excuse, vraiment. j'pensais que l'hôte de la soirée s'était payé des petits plaisirs. tu sais... des escorts, tout- avant qu'il n'ait le temps de finir sa phrase, l'inconnu l'attrape par le col pour le relever, enchaîne en lui balançant son poing en pleine face. sa tête suit le mouvement et si le fauteuil n'avait pas été là pour qu'il se rattrape, il se serait étalé par terre - à l'image de sa bière baignant maintenant dans les bouts de verre. – ma bière ! qu'il se plaint, la main à sa bouche, le sang coulant le long de ses doigts. puis c'est à son tour d'attaque, l'attrape par les hanches avec violence et se balançant par terre avec lui. et par terre, sur le mec qu'il se met à frapper, il se demande bien comment la situation a pu lui échapper à ce point et, surtout, en si peu de temps.
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Bayek El Masry
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Bayek El Masry
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Mar 23 Jan - 19:36
Bayek El Masry



perfect disasters - putain baako j'vais vraiment te faire bouffer le trottoir. taloche qui s'abat sur l'arrière de la tête - et la mine déconfite qui peu à peu prend les couleurs de l'endroit, de la salle aux mille palettes qui se mélangent entre elles, inventant des couleurs qui n'existent pas encore. rires qui s'entrechoquent, sourires qui se partagent - et mains baladeuses qui filent sous les jupes, défont les ceintures, les hanches qui se frôlent et une grande figure sur la table qui balance sa tignasse d'un côté à un autre. bayek au soupir qui pointe et pourtant qui, après quelques minutes à taxer un verre puis un autre, sent ses muscles pâtir de ses choix. trouver l'autre jusqu'au bout de la planète, trouver l'autre à ce lieu pile où se croisent différentes gravités - où tout semble être arrêté. admiration secrète pour le vice poussé dans sa course folle - jusqu'à la levée du compère qui sent bien d'aller fricoter avec une jolie paire. rire presque obligé qui vient animer ses lippes fermées, les coudes qui se posent sur ses genoux - à regarder la tentative désespérée, baako qui reste debout et ce malgré la quantité ingérée, qu'impose le respect au détour d'une petite prière fausse pour un dieu miséricordieux. inspiration profonde, shot attrapé au passage - frisson de mise qui balance de sa nuque jusqu'au bas de son dos, la conversation engagée avec une créature aux yeux verts. ils semblent verts. verts comme une immensité, verts même dans le noir qui avale toute lumière - elle est belle.
elle est très belle.

murmures aux creux des oreilles, lucidité quasi-existante qui le rappelle à l'ordre et le fait se lever derechef lorsque toute l'attention se retourne vers un bruit sourd - début de combat titanesque qui fait papillonner des cils. et bien sûr, bien sûr, bien sûr fallait-il compter sur lui - le très cher ami galérien qui s'en bouffe une. et en redonne. et un échange de balles en pleine poire qui fait grincer des dents le qatari.
- putain d'merde. bouteille à la mer, qui veut délivrer son message - il se joint à la cohue qui laisse des oh, des ah, des ih, à en manquer juste une demoiselle en détresse, prise soudain d'un malaise. cabaret rocambolesque - où baako en est maintenant le roi, jarvis abandonné pour la soirée. alors il le rattrape, alors il l'éloigne - alors son poing s'abat sur la gueule du nommé ennemi. puis un autre type qu'avait rien demandé - bayek qui dans le noir, ne voit que des points éclatés. ça gueule, ça crie un peu, ça lance même des paris - et à la porte le voisin, la voisine qui beugle, pas qui font éléphants dans l'escalier, à coup sûr les flics qu'ont été alertés.
poignet de baako chopé -
et ça recommence à courir, à fuir comme jamais. ça prend pas la porte de derrière - jamais. ça fait ça comme de grands artistes, ceux qui préfèrent l'entrée double qui explose quand les mains se posent dessus. il a mal bayek - aux côtes un peu. au visage, un peu. il s'en est bouffé une bonne - mais l'adrénaline fait taire, l'adrénaline étouffe. bayek à ne pas savoir - ne pas comprendre. où aller, que faire, qui se ramasse à moitié dans la rue jusqu'à s'arrête et laisser passer un rire à en faire trembler les murs.
- MAIS T'ES CON MA PAROLE.

un peu de sang qui laisse la trace - le bout du nez qu'il plisse et il se plaint un peu. bayek qui se laisse lourdement tomber contre le trottoir - le souffle sifflant et tant pis si c'est sur un cimetière de passants.
- j'suis trop vieux pour ces conneries - bordel j'espère que son cul en valait la chandelle.
silence.
- aaaaah qu'il est cooooooon.
le ventre se creuse - ça se marre encore, ça veut plus s'arrêter, ça part en fou-rire avec le goût acre qui file le long de la gorge. il crache à côté de lui - pousse un soupir.

il a le tournis du monde-carrousel.
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Jarvis Sima
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Mar 23 Jan - 21:30
Jarvis Sima
la situation lui échappe des doigts aussi vite que sa bière trouve le sol, s'écrase et se brise en mille morceaux. ce qu'il ressent, c'est de la déception, déception de voir ce breuvage sur le carrelage alors qu'il comptait le boire. cette déception est si grande qu'il saute sur le gars en face de lui, tête la première, et se retrouve par terre. il frappe, se fait frapper à son tour. son nez pisse le sang, ses jointures sont bousillées. foutu pour foutu, il continue à se déchaîner sur le connard qui a donné le premier coup. après tout, il n'est pas l'unique fautif, baako. on l'a frappé, on a renversé sa bière, on l'a foutu en l'air. ce gars là, celui qui lui a gâché sa seule chance de ramener quelqu'un chez lui, il aurait dû savoir qu'on ne cherche pas baako sima - et du même fait, on ne cherche pas bayek el masry. le ghanéen se retrouve coupé du monde, coupé de son propre corps qui souffre le martyr. c'est à peine s'il sent les doigts du qatari se refermer autour de son bras, tenter de l'éloigner du pauvre inconnu qui semble aussi mal en point que lui - peut-être plus. il finit par se battre avec l'air, baako, jusqu'au moment où il se rend compte qu'il n'y a plus personne à défoncer, plus de gueule à démonter. la suite est brouillon. c'est flou, embrumé. il entend des voix, se fait brûler la rétine par des lumières. il court - sans trop savoir qu'il est entrain de le faire. il court - sans aucune idée d'où aller. il suit bayek, bayek qui se met à rire comme un hystérique, bayek qui gueule, finit avachi sur le trottoir. il l'entend lui hurler qu'il est con et ça lui fout un foutu mal de crâne - mal qui vient se mêler à la douleur de son visage, de ses poings mortifiés. – ta gueule, qu'il crache en même temps qu'un peu de sang dans le caniveau. puis il s'écroule à son tour, se retient sur son acolyte pour ne pas finir allongé, presque mort sur le béton. et pensant à l'absurdité du monde, il laisse un rire incontrôlable se mêlé à celui de bayek. même après toutes ces années, ils sont toujours les mêmes gamins qui riaient pour rien sous le soleil du qatar, à s'en décrocher la mâchoire. il n'y a pas grand chose qui a changé - d'autre que la situation de leurs parents, les dettes et la prison qui ont fait leur apparition, les obligeant à faire des choses qui n'étaient pas forcément des options.
– j'suis trop vieux pour ces conneries - bordel j'espère que son cul en valait la chandelle. et quand bayek lui dit ça, il n'ose pas répondre. il n'ose pas répondre parce que la vérité est qu'il ne se souvient même plus d'à quoi elle ressemblait - et ça, ça ne risque pas de lui plaire. aaaaah qu'il est cooooooon. à cet instant, son accent arabe ressort, fort, tellement fort que ça lui foutrait presque des frissons à baako. ça lui rappelle le qatar, pays qui, à défaut de pouvoir être son pays natal - la place déjà occupée par le ghana, sa patrie jusqu'à la mort -, était devenu son pays d'adoption. mais il rit, baako. il rit comme si c'était la dernière fois qui le ferait, posant sa tête contre l'épaule de bayek dans un moment de faiblesse. – faut que j'te le dise mais j'me rappelle même plus d'sa gueule. il lâche ça le plus normalement du monde. et il garde son front sur lui, apprécie d'avoir quelqu'un sur qui se reposer. j'vengeais ma bière. elle méritait pas d'finir comme ça, qu'il avoue, sa voix partant dans les aigus alors qu'un nouveau fou rire le prend.
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Bayek El Masry
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Bayek El Masry
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Mer 24 Jan - 18:29
Bayek El Masry



perfect disasters sous la lune, sa peau elle vire au bleu. un beau bleu. pas un bleu fade qui laisse qu'un haussement d'épaules vain derrière lui. non. un bleu. un vrai bleu. un bleu mordant. un bleu dans lequel il est bon de se plonger. un bleu qui fait couleur chaude - qui tout au fond, à côté de la pompe, ralentit la sensation de mortalité. et sous les divinités, ils rient. et sous les divinités, ils se moquent. peu importe - que les autres soient emportés par le démon, par le mal quelconque. qu'eux restent. qu'eux continuent. ne laissant qu'une nostalgie au passage - comme un frisson volage. le torse se soulève puis retombe, à plusieurs reprises. l'air passe, l'air transperce son estomac si fort qu'il pourrait en avoir des crampes - et son dos, comme collé au trottoir, refuse toute coopération pour retrouver un semblant d'humanité, finir debout sur ses deux jambes, fierté d'être ce qu'ils sont. les larmes se mettent à perler - fugaces, factices, elles ne riment qu'avec la fragilité d'un bonheur indistinct, éprouvé à chaque perdition à travers une situation foireuse. ils ont le chic - ils ont comme une malédiction. à deux cependant - contre le monde tout entier, contre l'univers tant il est possible de le généraliser. inspiration profonde, peu à peu il récupère - peu à peu il reprend. se retenant à chaque fois que sa voix fait écho, de repartir dans une hilarité incontrôlée - baako c'est comme un trip sous acide, truffé de formes et de couleurs singulières. truffé de doigts qui se frôlent - et d'animaux hybrides aux cris jamais entendus.
- ouais... merde elle a même pas eu son enterrement viking, c'est beaucoup trop triste. il repart un peu, zieute l'immensité qui se dresse alors ses yeux n'ont pas besoin de jouer - le ciel est étrangement clair, le ciel se dégage, le ciel se défait, se sépare et offre un spectacle banal à en crever. mais il le trouve beau pour une fois bayek. mais il prend le temps pour une fois bayek, à tenter de relier du bout des cils chaque morceau de lumière. sa main se redresse, s'abat sur la tête de l'autre ramassé - complètement cuit. boooon. j'vais pas me rel'ver tout de suite hein.
terrible constat.
- toi non plus. donc tranquille.
inspiration profonde, inhaler les gaz toxiques de liberty qui rend mauvais - pensée éphémère pour le qatar, pensée éphémère pour le paysage à s'en étouffer de sable, pensée éphémère pour ce qui a été perdu.

- j'ai mal.
sans laisser traîner un timbre plaintif pourtant.
- j'vais t'adouber roi des cons. ou d'la souille je sais pas trop.
silence.
- en plus tu t'souviens même pas d'sa gueule... tu crains baako.
silence.
- rappelle-moi pourquoi j'te suis toujours ?
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Sam 27 Jan - 18:18
Jarvis Sima
il souffre, baako. il souffre le martyr, manque de s'évanouir sous la douleur qui le tire partout sur son visage. le sang s'assèche sur sa peau, coule dans gorge comme un nectar de mauvais goût. sous la lune et les étoiles, il se sent fatigué, exténué, prêt à dormir pour une éternité. sa tête se pose sur l'épaule de bayek comme ses mains attraperaient une bouée de sauvetage. et il est bien. il redevient ce gamin insouciant, celui qui voulait faire du qatar sa maison et de bayek son seul et unique ami. il n'a pas besoin de grand chose, baako, juste de la présence de son meilleur ami pour se sentir mieux. il a juste besoin de son rire pour réveiller son âme. et il sait que cette situation est ridicule, qu'à vingt-cinq ans, il serait temps pour lui de grandir. il le sait mais à cet instant, il n'y a rien d'autre qui compte. rien d'autre que bayek. rien d'autre qu'eux deux, loin du sable qatari, là, aux états-unis. et il voudrait ne jamais s'arrêter de rire. plus jamais. soigner ses plaies et ses blessures à coup d'éclats aux multiples couleurs. pendant un temps, il n'écoute plus. son monde se met en mode pause, s'arrête. il sent les épaules de bayek qui se lèvent, descendent, signe que les paroles s'échappent, s'envolent dans les airs jusqu'à disparaître dans l'infini qu'est l'univers. baako se détache, s'allonge sur le trottoir, les yeux fixés vers le ciel étoilé. il a toujours aimé regarder, imaginer ce qui pouvait bien se tramer là-haut, se dire que des petits bonhommes verts allaient bientôt coloniser la planète terre, foutre les humains dans la plus terrible des situations, les punir de leurs péchés bien trop nombreux pour les compter. ses iris dévient, se posent sur un bayek qui a bougé, puis s'est retrouvé à la même place, incapable de faire un geste sans que tous les astres réunis décident de le ramener par terre. – boooon. j'vais pas me rel'ver tout de suite hein. toi non plus. donc tranquille. il sourit, baako. à ce moment, il pourrait bien dire être heureux. trop heureux pour la situation actuelle - alors que sa tête tourne, que son visage tire, que sa bière est morte avant d'avoir eu le temps de vivre. merde. il en reste heureux. oui, beaucoup trop.
– j'ai mal. silence. j'vais t'adouber roi des cons. ou d'la souille je sais pas trop. silence. en plus tu t'souviens même pas d'sa gueule... tu crains baako. silence. rappelle-moi pourquoi j'te suis toujours ? nouveau sourire. il n'en a aucune idée, baako, comme il ne sait pas pourquoi son être entier l'a toujours conduit jusqu'à bayek. mais il ne cherche pas. il se fiche des raisons, de la logique des choses. bayek et baako. baako et bayek. c'est juste une évidence. rien de plus, rien de moins. deux garçons qui sont devenus hommes et qui ne se sont jamais quittés. – parce que bayek sans baako, ça marche pas. et que baako sans bayek, c'est juste de la merde. il n'y a rien d'autre à ajouter, finalement. j'ai beau être le roi des cons, tu pourrais pas vivre sans moi. nouveau silence qui ne dure qu'une demi-seconde. nouveau sourire à s'ajouter à la vitrine. et j'pourrais pas vivre sans toi non plus, baba. et il rit. encore. parce qu'il est trop alcoolisé, trop heureux, trop tout à la fois. parce qu'il est avec bayek et que ça, c'est bien la meilleure chose qui puisse lui arriver.
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