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[m] just a young heart confusing my mind  :: (générique de fin) :: dead end :: v1
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Lun 3 Avr - 22:50
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[JAKE (négociable) NOM]
"ici, une petite citation."
(avatar tout à fait au choix) ici.

[âge] entre 26/32 ans, au choix selon l'avatar.  [origines] américain, originaire de washington. [en ville] depuis le temps que vous voulez entre trois mois et un an, car avant faye n'y était pas. [statut] célibataire énamouré. [emploi] Le métier est au choix, sachant que Jake est sorti de prison il y a moins d'un an (entre il y a trois mois et il y a un an, c'est à ta convenance). [$$$] $. [groupe] black hole selon moi, mais c'est ton choix avant tout. [crédits] écrire ici.

keywords: sombre, peu loquace, torturé, instable, fier, sulfureux, plus vulnérable qu'il n'en a l'air, blessant, sarcastique, colérique, loyal, protecteur, sauvage, cultivé, fils de riche, blessé, brisé, ex-taulard. aimait la littérature et la poésie, les filles de rien et la rue, dorénavant il préfère l'odeur du vice et le goût du sang. il cache de nombreux secrets derrière le mystère de sa silhouette magnétique.

[memories]
Jake est un gosse de riche déchu (je le vois bien de Washington, mais c'est au choix), le genre à connaître l'opulence et rien d'autre, les détails d'une firme internationale à huit ans et l'absence d'affection dès l'enfance. Mais lui, c'est pas le gosse prodige, c'est le brouillon. L'aîné qui vient avant et qui n'est pas à la hauteur. Des aspirations de son père, principalement, de son milieu, de son nom, de sa réputation. Jake est un doux rêveur, un gosse turbulent qui n'est pas fait pour sa haute tour d'ivoire, le gamin qui rentre les genoux écorchés et ses pantalons preppy inutilisables. C'est un brave môme, le genre gentil, faible comme dira souvent son père. Il a le sourire facile, canaille et des compliments au bord des lèvres. Il porte pas d'armure, ne connaît rien à l'hypocrisie sucrée de son milieu et ignore tout des bonnes manières, des codes et de tout ce que régit une société qui le bouffera tout cru. Son père dira très vite qu'il n'a pas les épaules. Qu'il lui faut un autre fils, un requin, un prêt pour le monde de la finance, les porte-feuilles d'actions, les acquisitions et tout le jargon à la con qui régit le monde d'en haut. Et ce ne sera pas lui, c'est l'évidence. Alors on l'oublie, on le laisse en paix, on le range au placard comme un truc encombrant, un caprice dont on aurait un peu honte. A la place, la bataille s'organise autour de son petit frère, plus malléable. Oliver deviendra la fierté de la dynastie, le vrai fils de son père. En grandissant, les différences entre les deux enfants s'affirment : Jake ne vit que pour le monde d'en bas. Il fume comme un pompier, rôde avec les loups, s'éprend de nanas paumées, sauvages, expérimentées, plus vieilles que lui. Il voit dans la pauvreté une poésie, dans les addictions une beauté. Il est dingue, s'entiche d'une génération gaspillée sur l'autel de la consommation, sans but, sans rien du tout. Il fume, boit et baise comme eux mais ne trouve pas réellement sa place. Le gosse de riche on le tolère de loin, lui pompe son fric mais on l'écoute qu'à moitié. Jake s'en branle, ça lui va. Les loups sont solitaires et lui aussi. Pendant ce temps, loin de sa dérive, son frère brille. Partout, tout le temps. Il est désireux de plaire, il possède déjà tous les travers des gosses de riches désabusés : l'ego assumé, la conviction d'être supérieur, l'insolence propre aux prospères. Il est brillant, travailleur, impliqué, il rêve de la vie de son père, d'un calque parfait, il a conscience de l'importance de sa tâche, de son nom. Jake, lui, s'en détache. Il s'évapore après les cours de littérature appliquée de sa fac huppée sans ses papiers ou son téléphone et revient quand bon lui semble.
C'est un soir comme un autre que tout bascule : son frère le traîne à une soirée, lui promettant filles faciles à détrousser et défonce à flots. Jake s'en branle, de ces nanas-là, il est accro à celles d'en bas avec leur maquillage vulgos qui coule de leurs visages de poupée, leurs collants filés et leur façon de baiser décomplexée, libre. Il aime la souffrance, la mélodie des êtres bousillés qui se battent encore. Il aime leur dire qu'il les aime et s'entendre répondre un "ferme-la" éloquent, il aime la poésie qu'elles dégagent, ces figurines brisées qui rêvent d'un ailleurs. Il aime leur fierté, leur côté farouche. Mais Jake le suit. C'est son frère, il l'aime et il lui fait de la peine, au fond. Oliver l'a sauvé de son destin, son destin merdique d'aîné, de canasson aux ordres du patriarche. Ils se perdent, se retrouvent au moment de partir. Oliver est défoncé, ça se voit. Il veut prendre le volant, Jake s'oppose. Ils s'engueulent, il menace de le laisser là au milieu de nulle part alors il finit par céder. Ok. Lui aussi est bourré, pas prêt à conduire mais il cède quand même et grimpe côté passager. Et son frère la percute comme un animal sauvage, cette fille. Ils paniquent, perdent pied. Oliver gerbe, il dégueule sa soirée, ses rêves envolés, ses sacrifices commis pour que dalle et Jake appelle leur père. Il sait pas quoi faire. Lui, sait. Son fils cadet est promis à un brillant avenir alors que l'aîné finira comme prof minable dans une université de seconde zone. Un plouc adulé de ses élèves, un bobo écoeurant, gauchiste parce qu'il ne sait pas ce que c'est que de manquer de fric. Le patriarche lui demande un seul et unique sacrifice : prendre la place de son frère, s'accuser en son nom. Il lui demande ça comme une preuve de son amour, faisant jouer le chantage affectif chez le plus sensible, le plus faible. Il lui promet le meilleur avocat, un jugement clément parce que leur famille impose le respect, intimide par ses connexions. Mais rien ne se passe comme prévu : les jurés sont trop heureux de coincer un sale gosse de riche privilégié et à XX (selon l'âge que vous lui choisissez) piges, voilà qu'il écope de huit ans de taule. Huit années qu'on lui vole alors que ce n'est pas sa croix mais Jake dit rien. Il accuse le coup, par amour, ce sentiment qu'il balance aux quatre vents sans se soucier de la réciprocité, parce qu'il est né ainsi. Il aime ce frère étranger, ce père castrateur, et il pense qu'il survivra.
Mais personne ne le peut. Pas sans subir de lourds bouleversements internes. Le gosse de riches clément, bon, sociable et tolérant apprend à s'endurcir, à rendre les coups, à se murer derrière ce que l'homme a de plus sauvage, de pire. Il prend exemple sur les petites frappes qu'il fréquentait dans une autre vie et qui se foutaient de sa gueule de sale bourge. Il en devient une, plus intimidante encore. Ses fréquentations sont sordides à l'exclusion de Liam, au même titre que ses pensées. Quand il sort, Jake est autre. On l'a brisé, lui aussi et apprendre à sa sortie que son propre père l'a renié finit de le corrompre, de le ronger de l'intérieur. Il a donné sa vie, littéralement, pour sa famille et celle-ci n'a même pas la décence de la lui rendre. Il n'a plus rien. Plus de fric, plus de job, plus de foyer, que dalle. Il pourrait dire la vérité mais à quoi bon ? Sa famille sait qu'il n'a pas ça en lui et en cas de doute, ils ont du prendre leurs précautions, graisser des pattes.
Alors il se rappelle de la promesse faite à Liam : celle de veiller sur sa petite soeur, lui qui ne le peut plus, dans un bled paumé. Il met quelques temps à la rejoindre, retrouve les bas-fonds des métropoles qu'il aimait tant mais ils n'ont plus la même saveur. Jake ne leur trouve plus aucun panache, il n'a plus d'amis, plus rien, que dalle. Alors il s'enfonce, cherche les emmerdes, les sensations fortes, attise la violence. Il se met à voler, à frapper, à ne baiser qu'avec des nanas dangereuses ou vraiment misérables, le genre à tout accepter, à tout vouloir, comme lui. Il déraille, Jake, a besoin de toujours plus pour ressentir, plus dans le sordide, plus dans la haine, la violence et les mauvais sentiments. Il réfléchit moins, ne lit plus, consomme de plus en plus. C'est Liberty qui le recadre. Et Faye. Il veut changer, évoluer, retrouver celui qu'il était avant et qui lui paraît bien loin. Cette ville est un point de départ, une guérison, un renouveau mais le chemin est long et les années écoulées ne suffisent pas aux progrès inconstants qu'il esquisse. Jake, c'est le mauvais garçon qui n'a pas choisi de l'être, l'homme pétri de rancoeur, la bile aux lèvres, en colère contre le monde entier. Le renard qui s'imagine loup aux canines acérées mais se rêve chien docile, au sein d'un foyer aimant.

Tout le reste est libre, c'est ton personnage avant tout.  [m] just a young heart confusing my mind 3878617233



[la lueur au bout du tunnel] FAYE DELANEY
Faye, c'est cette fille qu'il a toujours eu l'impression de connaître sans même ne l'avoir jamais rencontrée, car elle était partout, en filigrane, dans les mots de Liam en prison. Et puis c'est une promesse, une promesse dans le vent finalement tenue : celle de veiller sur elle. Pour Liam qui ne le peut pas. Si Jake peine à faire confiance, à se livrer, s'il a gardé longtemps ses distances, l'observant de loin, avec elle ce fut l'évidence et au fil des semaines, une amitié très forte s'est mis à lier les deux âmes brisées, rapprochées par la mélodie entêtante de la détresse. Sans le savoir, sans le chercher, Jake est tombé pour elle. Lui qui plaît tant aux femmes, qui les consomme comme autant de placebos, éprouve pour la seule qu'il ne cherche pas à séduire quelque chose qui dépasse l'entendement. Et Faye, en silence, à sa manière timorée, éprouve elle aussi cette forme d'attraction brute, illicite. Car Jake le sait : elle est en couple. Elle est en couple avec un homme formidable qu'il est certain de ne jamais égaler et surtout, il n'a rien à lui offrir, rien pour apaiser son âme brisée. Pourtant, dernièrement, ils ont fauté, échangeant un baiser, une étreinte hors du temps avant que la réalité ne les frappe et ne les brûle. Jake, il ne réalise pas qu'il prend de l'importance dans son coeur, dans sa vie, à se montrer aussi bienveillant, à l'écoute, tendre, toutes ces qualités qui manquent à Faye alors que sa relation amoureuse se délite depuis près d'un an. Tout ce qu'il voit, lui, c'est qu'il n'a pas le droit de l'aimer. Pas parce qu'elle est prise, ces considérations ne l'effleurent qu'à peine, mais parce qu'il n'est pas censé veiller sur elle de cette façon là, parce que leur rencontre, leur rapprochement, est un mensonge éhonté. Alors Jake, il reprend ses cartes, il s'éloigne, conserve le silence depuis ce baiser et laisse Faye se dépêtrer de sa culpabilité, de son incompréhension. Elle pense avoir gâché leur amitié, ignorant que la gêne de Jake est ailleurs.
Bon c'est un peu le gros drama à venir parce qu'il n'est pas censé jouir de ce genre de relation avec Faye et elle, elle ignore que leur rencontre et leur amitié n'est pas naturelle et n'est née que grâce à son frère, ce qui la fera se sentir (à raison) manipulée. Donc sentiments à la clef, relation impossible parce que le frère viendra s'insérer là-dedans = #dramaforlife

[unique ami, frère de coeur] LIAM DELANEY
Ils se sont rencontrés en prison, après s'être apprivoisés de longs mois, en silence. Ils se ressemblent dans leur entêtement, dans leur détermination à ne pas se laisser avoir, se laisser briser, baiser, et aussi dans le mépris qu'ils accordent aux autres. La taule, l'enfermement, ça rapproche surtout quand on partage une cellule et ces deux-là sont rapidement devenus amis. Presque frère, liés par la mort et les barreaux. Liam est moins torturé, Jake est plus sombre mais ils se complètent, se confient. Liam surtout. Il parle de Faye, souvent, jusqu'à ce que Jake ait lui aussi l'impression de la connaître alors qu'il n'en est rien. Lui n'annonce jamais la raison de son incarcération, il conserve farouchement le silence quand son ami tente d'en apprendre plus et c'est tout. Quand Jake est libéré, il y a x temps (entre six mois et un an), sans attaches, il accepte la demande de son ami : veiller sur sa soeur, de loin. En prendre soin. L'approcher, la protéger, sans jamais lui avouer que l'ordre vient de lui. Mais Jake est dorénavant prisonnier de son rôle, acculé entre sa loyauté sans failles envers Liam et ses sentiments pour Faye, développés bien malgré lui. A la sortie de prison de Liam, il sera là, à jouer l'inconnu en présence de Faye et à le soutenir le reste du temps. C'est lui qui lui trouvera un job, c'est lui encore qui l'emmènera draguer des nanas tout en essayant de s'y dérober. Mais leur amitié sera mise à rude épreuve si jamais Jake dévoile ce qu'il éprouve pour Faye. Parce que Liam est protecteur, il veut le meilleur pour elle, elle a déjà trop souffert et à ses yeux, il ne peut pas souffrir de la voir soumise à un ancien taulard, enfermé pour une raison si affreuse qu'il n'a jamais voulu piper mot.




[vos attentes] Coucou toi  [m] just a young heart confusing my mind 3878617233,  
Allez, prends Jake, parce que Faye a besoin d'un peu de complication dans sa vie et que les relations impossibles sont toujours sympa à jouer  eat  L'avatar est de surcroît, ultralibre, je n'impose jamais un truc aussi trivial parce qu'on va pas se mentir : je. m'en. fiche. tant que l'avatar coïncide à l'âge du personnage à +4/-4 ans sinon ça me perturbe  aaaa   mais pour le reste, c'est avant tout ton personnage, il doit donc porter une bouille qui te plaît et t'inspire et moi, je suis cool là-dessus, je peux te donner quelques idées si t'en manques, bien sûr, mais c'est pas à moi de le choisir donc je préfère ne pas en proposer d'entrée de jeu  wop
Sinon, je ne demande pas grand chose de plus qu'un RP par semaine  cara   (plus c'est mieux bien sûr mais je ne suis pas la nana la plus rapide du coin) Tu peux écrire à je, à tu, à il, rien ne me dérange, tu peux poster court comme long, tout me va. Entre nous, j'ai toujours écrit des pavés mais je n'en ai plus vraiment envie et j'essaye de me restreindre donc que tu écrives court ou long tu es le/la bienvenue parce que je ne suis pas certaine de bien réussir à me calmer niveau longueur mais je ferai de mon mieux  coeur. Ma seule exigence, c'est un bon niveau de RP (le genre qui donne envie de répondre illico et fait grave fangirler  amour ) mais ces dernières années, je n'ai jamais été déçue par un style alors c'est obvious. Du coup... la seule chose avec laquelle je suis un peu relou c'est l'orthographe. On fait tous des fautes, bien sûr, mais s'il y en a trop, ça me bloque totalement, surtout des "manger" au lieu de "mangé" par exemple et inversement. De la même façon, merci de t'inscrire que si tu es disponible et qu'incarner un personnage sur le long terme t'intéresse, pour le faire évoluer et toussa, sinon ça fait des désillusions, c'est triste, c'est moche, personne n'aime ça  mega red. Mais en dehors de ça, je suis cool et je te promets plein de beaux rps tout droit sortis de dramaland  red !  
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Mar 16 Mai - 13:04
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Coucouuuuuuu coeur coeur coeur

Alors petites questions bril

Petit 1) Veux-tu de moi?
Petit 2) Ian Somerhalder? Colin O'Donoghue? Ou Eddie Redmayne? J'hésite un peu. D'autres vavas à proposer? Je trouve que Colin collerait très bien. Ian aussi mega red Et Eddie pourrait aussi xD
Petit 3) Mmmmh, j'ai mis Sawyer (parce que à la base je cherchais un forum pour jouer Josh Holloway mdr et interpreter le mythique couple Kate/Sawyer de Lost ^^) est-ce que le prénom te va ou tu préfères que je remette Jake?

Petit mot de fin: ce scénario est exceptionnel, il m'a tuée bigeyes
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