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| Dim 2 Avr - 6:44 Invité |
[BOOKER GRANT] "well, you still make sense to me" (kit harington) // wicked game & vance joy[âge] Vingt-neuf ans. L’aube de la trentaine. L’âge adulte, sans équivoque. C’est un peu effrayant. Affolant, même. Ça et le premier cheveu blanc qu’il a trouvé sur sa tête. Loin d’être à l’endroit où prévoyait d’être à ses trente ans, il accepte cependant son sort et accueille chaque journée qui passe malgré la similitude de la veille. La routine, déjà. [origines] S’il se ressent pas le besoin d’afficher son patriotisme en accrochant le drapeau américain à la façade de sa maison, il est toutefois totalement américain. Né en Oregon, élevé en Oregon. Et, même s’il aurait voulu partir il y a bien longtemps, il a désormais l’impression qu’il y mourra également. [en ville] depuis ? Toujours. Bien malgré lui. Retenu par la vie et ses imprévus. [statut] L’éternel célibataire. Il ne repousse pas systématiquement les femmes, au contraire. Mais il refuse de s’attacher, refuse de les inviter à s’installer dans sa vie. Comme s’il gardait la place pour une autre, une place qu’il avait réservée il y a bien des années de cela. [emploi] Il est propriétaire d’une petite librairie anonyme dans le centre ville historique. L’enseigne est tombée depuis plusieurs mois et il n’a pas encore eu l’envie de la raccrocher. Il a quelques habitués et parfois des gens qui entrent parce qu’ils se sont trompés de porte. Il ne rêvait pas d’avoir une librairie, mais la vie en a décidé ainsi. Il préfère encore vivre entouré de ses bouquins adorés que de travailler dans une usine. [$$$] Il parvient à joindre les deux bouts, mais surtout parce qu’il n’a pas des habitudes bien luxueuses. Il se contente de peu, l’a toujours fait. A la mort de sa mère, il a hérité d’une coquette somme d’argent et il vie probablement plus de cet argent-là que de ce que sa librairie lui rapporte. [groupe] blue moon. keywords: bouquins – crépitements du feu – silence – timidité – maladie – compromis – rêves – écriture – vieille voiture – nuit – musique – insomnie – résilience – pages jaunies – histoires inachevées – forêt – vieux film – boucles rebelles – vieux rêves – routine – ennui – vieilles flammes – odeur d’après rasage – nuits orageuses – patience – curiosité – tête en l’air – rêveries et paresse – aventures imaginaires [a lot on my mind] [un.] Booker, il rêvait d’être écrivain. Il a toujours été silencieux, du type observateur. A vivre en retrait, au travers des aventures des autres. Prudent, il s’évadait plutôt par ses rêveries. Par ses bouquins qu’il a toujours dévoré à une vive allure, toujours prêt à se plonger dans une autre histoire, une autre époque. Adolescent, il a écrit sa première nouvelle. Depuis, il a quelques écrits à son actifs – quelques histoires publiées, mais peu nombreuses. Il n’a pas écrit le moindre chapitre depuis quelques années. [deux.] Il songeait à partir. Enfin, il avait toujours songé, toujours eu l’intension de partir de Liberty. Mais, quand sa mère reçu le diagnostique d’un cancer, il resta. Auprès d’elle, pour elle. Sa routine se transforma rapidement, au même rythme que la maladie de sa mère. S’il étouffait depuis toujours à Liberty, sa ville natale, il ne pouvait se résoudre à la quitter. Pas pendant qu’elle avait besoin de lui. Ils n’avaient été qu’eux deux depuis trop longtemps pour qu’elle se retrouve seule. Non pas qu’elle ait été sa muse, mais lorsque sa mère s’éteint, il perdit tout intérêt pour l’écriture. Peut-être avait-il côtoyé la mort trop longtemps, son inspiration ou sa motivation mourra à petit feu à ses côtés. [trois.] Son tempérament timide et introverti s’est transformé au fil du temps pour en faire une sorte d’ermite. Il a acheté cette petite maison près de la forêt et il a le don de se faire discret partout où il passe. Comme une ombre, un fantôme. Toutefois, il y a bien un endroit où on peut le trouver, peu importe l’heure de la journée : sa boutique. Une sorte de refuge, de havre de paix. Quatre murs, des tonnes de livres, quelques clients qui viennent le déranger durant ses propres lectures. Il lui arrive parfois de dormir dans sa boutique, quand sa lecture est trop bonne. Il ne voit pas le temps filer, ou alors il s’endort dans un fauteuil. [quatre.] Il y a quelques rumeurs en ville à son sujet. Pas des tonnes. Il est peut-être trop discret pour ça. Mais il y en a – il est peut-être trop discret pour qu’il n’y en ait pas ? Ça pique la curiosité. Certaines commères le disent vieux garçon, pire encore, totalement inexpérimenté avec la gente féminine. S’il est vrai qu’il a mis du temps à savoir aborder une femme, il a tout de même eut quelques relations. Un point en commun : elles étaient toutes vouées à l’échec. Tantôt l’amant secret d’une femme mariée, tantôt l’amourette de vacances d’une femme de passage. C’est à se demander s’il ne ferait pas exprès de fermer les yeux devant toutes celles qui peuvent battre des cils pour attirer son attention. [cinq.] En vérité, Booker n’aura été amoureux qu’une seule fois dans sa vie. Un amour inavoué, silencieux et, surtout, à sens unique. Plutôt difficile de dire s’il était réellement amoureux d’elle ou plutôt de l’idée qu’il avait d’elle. Ils ne s’étaient à peu près jamais adressé la parole, mais il avait l’impression de la connaître. D’une beauté qui vous obnubile, qui vous reste en tête encore pendant des jours après l’avoir croisée dans la rue. Elle était populaire, aussi. Un peu tout le contraire de ce qu’il était. Mais il l’aimait. Puis, elle s’est mise à sortir avec un de ses meilleurs amis. Et puis il vécut sa première peine d’amour aussi anonymement qu’il avait vécu son premier amour. [six.] En plus de vivre dans un coin un peu plus reculé de la civilisation de Liberty, Booker ne possède pas de téléphone portable. Comme s’il n’avait jamais passé au vingt-et-unième siècle Il a une ligne de téléphone à la librairie et une dans sa maison (lorsque son appareil n’est pas réglé sur le mode silencieux) et ça lui convient très bien. Il aime se savoir ‘libre’, de ne pas être connecté en tout temps, de pouvoir disparaître de la mappe sans que quelqu’un n’ait qu’à appuyer sur une touche pour le localiser ou le rejoindre. Et il a cette conviction que si les gens étaient un peu moins dépendants à leurs appareils, ils redécouvriraient certains plaisirs simples de la vie. [sept.] Il n’a jamais connu son père. Sa mère ne lui en aura jamais vraiment parlé avant de s’éteindre. Il connait quelques détails de son géniteur, mais il n’est pas certain de son nom et il lui serait donc à peu près impossible de le retrouver – bien qu’il n’ait jamais eu l’intention de se mettre à sa recherche. Il ne saurait pas quoi lui dire. Il ne croit pas lui en vouloir, il a vécu une enfance heureuse, mais il sait aussi qu’il n’a aucunement besoin de lui dans sa vie pour qu’elle soit complète. Il a toujours admiré la force de caractère de sa mère. Il ne parle jamais vraiment de son décès, mais il va déposer un bouquet de fleurs à sa pierre tombale à chaque mois. [huit.] Avant que sa mère reçoive son diagnostique, Booker était prêt à quitter Liberty. Il avait tout mis en place, il emballait tranquillement ses effets, triant ce qu’il devait apporter avec lui et les vieux souvenirs dont il était prêt à se défaire. Il était en contact avec une maison d’édition qui semblait sincèrement intéressée à travailler avec lui. Devenir auteur, son rêve d’enfance qui était à sa portée. Il a tout mis de côté pour rester au chevet de sa mère, l’aider à guérir, puis, quand il n’y eut plus d’espoir, l’accompagner jusqu’à la fin de sa vie. Il n’a pas écrit le moindre mot depuis quatre ans, laissant en suspend un manuscrit pourtant presque achevé. Il croit avoir perdu la flamme, perdu la touche. Depuis peu, il se surprend à jeter quelques regards de plus en plus souvent en direction de son ordinateur. Comme si quelque chose – ou quelqu’un – lui avait soudainement donné un électrochoc pour le sortir de cette torpeur. [neuf.] Depuis quelques temps, il se sent plus léger. Parfois, même, enjoué. Quelqu’un est entré dans sa vie, ou plutôt est revenu dans sa vie. Vera, sa nouvelle employée. Revenue dans sa vie par hasard, alors qu’il la surprit en train de répondre à un client qui semblait la croire employée dans sa librairie. Si ce vieux béguin d’adolescent était derrière lui, de la revoir lui a fait comme l’effet d’un pincement au cœur. Comme si elle aurait toujours cette place privilégiée quelque part au fond de son cœur. Sur le champ, il lui offrit un boulot. Sans vraiment réfléchir, sans vraiment se montrer rationnel. Il avait toujours travaillé seul dans sa boutique et, même si un coup de mains pouvait certainement être utile, l’endroit n’était pas si rentable que ça. Et, même si sa boutique avait toujours été un de ces endroits favoris, son repère, il se surprit à s’empresser d’arriver au boulot au peu plus tôt tous les matins depuis son embauche. [dix.] Depuis son enfance, Booker est au prise avec des troubles du sommeil. Somnambulisme et somniloquie. S’il était surtout affecté durant son enfance, aujourd’hui encore il lui arrive de se réveiller un peu n’importe où dans sa maison … ou son jardin. Il semblerait d’ailleurs qu’il lui arrive encore parfois de parler durant son sommeil, mais comme il ne partage que rarement son lit, il ne pourrait savoir s’il divague ou, au contraire, pourrait révéler le fond de sa pensée en dormant. A l’époque du cancer de sa mère, avec le stress et la fatigue, son somnambulisme était plus agressif. Il a donc commencé à consommer plus de caféine, au point où il ne fermait à peu près plus l’œil de la nuit. Il a gardé cette habitude d’avoir toujours une tasse de café à portée de la main. Son cycle de sommeil complètement ruiné depuis des années, ça pourrait aussi expliquer pourquoi il n’est pas rare de le voir somnoler un peu n’importe où. [onze.] Depuis la mort de sa mère, il a développé ce petit rituel. A chaque année, à l’anniversaire de son décès, il disparaît. Il ferme sa librairie, écrit tout simplement sur une note que la boutique est fermée et de repasser dans quelques jours ou de commander sur Amazon s’ils sont trop pressés. Il quitte la ville, apportant avec lui qu’un simple sac contenant le stricte nécessaire. Chaque fois, il ne prévient personne, ne donne pas de nouvelles. Il prend la route et, lui-même, ignore où son périple va le mener. Il conduit jusqu’à ce qu’il doive absolument s’arrêter pour l’essence ou dormir. Il conduit jusqu’à ce que ses yeux n’en peuvent plus de la route. Il est morose, les jours entourant l’anniversaire et il ne supporterait pas les regards inquiets, les regards curieux ou, pire, les regards remplis d’empathie. Alors il quitte, s’efface de la surface de la Terre – du moins de Liberty. Il revient et tout le monde, incluant lui, fait comme s’il n’était jamais parti en premier lieu. [douze.] Il a dû mal à se projeter dans l’avenir. Peut-être parce qu’il ne déborde pas d’ambition et que ses rêves ont été remisés depuis bien des années déjà. De lui poser la question : « Où te vois-tu dans dix ans ? » serait probablement le pire supplice à lui infliger. Il n’en a pas la moindre idée. Il fait du sur place. Il existe, tout simplement. Il survit au lieu de vivre. Et peut-être qu’il a commencé à s’enfoncer dans un trou noir, qui l’absorbe comme un sable mouvant. Peut-être qu’il aurait besoin que quelqu’un lui tende la main, que quelqu’un chasse ces idées noires. Mais, en vérité, il ne serait pas capable de demande de l’aide. [treize.] Il n’en a peut-être pas l’air, mais Booker est en réalité un cuisinier plutôt doué. Il a dû apprendre à cuisiner très tôt. Sa mère, l’élevant seule, a dû rapidement prendre quelques boulots supplémentaires pour joindre les deux bouts. Ce qui impliquait que Booker passait souvent les soirées seul. La solitude ne l’a jamais dérangé et, au contraire, il se souviendra de cette époque comme un jeu. Il a commencé avec des trucs simples et, rapidement, sa curiosité a pris le dessus, lui octroyant le titre de cuisiner de la maison. Et derrière ses airs d’ermite qui se nourrit exclusivement de soupe en conserve, il se cuisine de bons plats élaborés à peu près tous les soirs. Aventurier derrière les fourneaux, il ne garantira pas toujours un résultat appétissant. Toutefois, il n’aura eu besoin de son extincteur qu’une seule fois. [quatorze.] Booker a une fâcheuse manie qui ne manquait pas de lui attirer des ennuis plus jeune. Il écrit partout. S’il est peu loquace, en revanche, il ne manque pas de griffonner tout ce qui lui passe par la tête. Des mots, des croquis. N’importe quoi. La seconde qu’il met la main sur un crayon, il griffonnera sur la première surface libre qu’il trouvera… que ce soit du papier ou non. Ainsi, les murs et meubles de sa maison comme de sa librairie sont parsemés de traces de son passage. Il lui aussi évidemment impossible de lire sans faire une tonne d’annotations, symboles ou commentaires dans les marges de ses bouquins. Ce qui les rend précieux ou peut-être trop personnels pour qu’il ne se sente à l’aise de les confier à quelqu’un d’autre. Comme une partie de ses pensées, de sa tête qui serait livrée, coincée et écrite maladroitement au travers des paragraphes tapissés dans l’ouvrage. [quinze.] Ignorant comment aborder Vera la plupart du temps, il se contente de l’écouter parler. Écoutant attentivement, retenant chaque mot qu’elle lui dévoile sur sa vie. L’adolescent timide qu’il était qui refait surface. Elle, trop belle et naturellement charmante. Lui, silencieux, maladroit. Il se réjouit anonymement de pouvoir en apprendre plus sur elle, de la découvrir. Enfin. Et ne sachant trop comment lui témoigner apprécier sa compagnie, il s’efforce de lui porter de petites attentions particulières. Apportant parfois un bouquet de fleurs fraîches pour mettre un peu de vie, de fraicheur dans la boutique poussiéreuse, lui apportant un café tous les matins où elle travaille, ou encore en lui apportant son exemplaire personnel du roman qu’il l’avait vue feuilleter quelques instants un après-midi, non sans s’être ravisé quelques fois avant de finalement lui offrir le livre aux pages usées et griffonnées. [SPF] [âge] vingt-quatre ans. [pays] canada. [personnage] inventé [commentaires] bravo à l’admin qui a tout monté seule, chapeau !
Dernière édition par Booker Grant le Sam 8 Avr - 22:02, édité 22 fois |
| | | should i stay or should i go ?
| Dim 2 Avr - 9:03 Invité |
Bienvenue à Liberty |
| | | should i stay or should i go ?
| Dim 2 Avr - 9:41 Invité |
kit. bienvenue, hâte d'en découvrir plus sur le personnage. |
| | | should i stay or should i go ?
| Dim 2 Avr - 10:15 Invité |
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| | | should i stay or should i go ?
| Dim 2 Avr - 10:35 Invité |
Bienvenue parmi nous avec le beau Kit |
| | | should i stay or should i go ?
| Dim 2 Avr - 10:39 Invité |
kit en libraire il nous faudra un lien avec mon tito amoureux des livres bienvenue |
| | | Stella Burrows lost in the world should i stay or should i go ? messages : 2280
à liberty depuis : 22/01/2015
avatar + © : lily james, myself
pseudo : serenade in blue. (camélia)
dc : jackie.
polaroïd :
| Dim 2 Avr - 14:43 Stella Burrows |
KIT on s'trouve un lien et on fait des bb ? bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche je te réserve la bête pour trois jours et j'ai hâte de voir ce que tu vas nous pondre |
| | | should i stay or should i go ?
| Dim 2 Avr - 14:52 Invité |
KIT KIT bienvenue ! |
| | | should i stay or should i go ?
| Dim 2 Avr - 16:09 Invité |
kitty kit bienvenue parmi nous, hâte d'en savoir plus |
| | | should i stay or should i go ?
| Dim 2 Avr - 18:53 Invité |
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| | | should i stay or should i go ?
| Dim 2 Avr - 19:20 Invité |
kit en libraire qui s'appelle booker, ça m'fait rire. bienvenue à la maison, hâte de te lire. |
| | | should i stay or should i go ?
| Dim 2 Avr - 19:38 Invité |
oh, kit.. puis ce pseudo, ce titre hâte d'en savoir plus, bienvenue parmi nous beau brun |
| | | should i stay or should i go ?
| Dim 2 Avr - 20:05 Invité |
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| | | should i stay or should i go ?
| Dim 2 Avr - 20:24 Invité |
Kit ! Bienvenue ! |
| | | should i stay or should i go ?
| Lun 3 Avr - 16:20 Invité |
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| | | should i stay or should i go ?
| Lun 3 Avr - 19:32 Invité |
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| | | should i stay or should i go ?
| Mer 5 Avr - 15:40 Invité |
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| | | Stella Burrows lost in the world should i stay or should i go ? messages : 2280
à liberty depuis : 22/01/2015
avatar + © : lily james, myself
pseudo : serenade in blue. (camélia)
dc : jackie.
polaroïd :
| Sam 8 Avr - 18:04 Stella Burrows |
Hello On arrive pratiquement au bout des sept jours, alors je déplace ta fiche dans les fiches en danger, mais n'hésite pas à demander un délai ou à venir me mp si t'as le moindre problème |
| | | should i stay or should i go ?
| Sam 8 Avr - 20:00 Invité |
Je veux bien un délai, mais je suis presque certaine de terminer aujourd'hui. |
| | | Stella Burrows lost in the world should i stay or should i go ? messages : 2280
à liberty depuis : 22/01/2015
avatar + © : lily james, myself
pseudo : serenade in blue. (camélia)
dc : jackie.
polaroïd :
| Dim 9 Avr - 1:03 Stella Burrows |
Ta fiche est perfect c'est très drôle parce que ça me fait penser à un mec que je connais (qui est le sosie de Kit, un truc de fou) et qui est chercheur en philo. Et le mec, c'est trop Booker. Réservé, timide , silencieux, qui ne sait pas tellement comment aborder la fille qui lui plait haha enfin bref, amuse-toi bien |
| | | should i stay or should i go ?
| Dim 9 Avr - 21:15 Invité |
Y en a des choses à lire piouf, aloha to Liberty |
| | | should i stay or should i go ?
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