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Dim 2 Avr - 21:34
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cecylia swire + cem pope
they'll say you could do anything,
they'll say that i was clever

le gout de l'interdit. le fruit défendu. la tentation assouvie envers et contre tout. la profanation d'un lieu sain. l'expiation d'un pêché bien trop souvent réitéré. tu ne savais plus quelle image représentait le mieux ce que tu faisais à répétition en ce moment. tu travaillais moins la terre. tu ne faisais plus le même travail manuel. mais cela, tu t'en accommodais tout aussi bien. c'était une autre forme de labeur physique. elle avait encore la fougue de la jeunesse, l'insatiable soif de ta peau, de tes lèvres. elle était jeune, elle était belle. et toi, tu t'en arrangeais. elle te suffisait. elle te comblait.
allongé à tes cotés, ce corps frêle se mouvait au rythme de cette respiration qui avait du mal à se stabiliser. tu souriais, satisfait de l'avoir quelque peu essoufflée. sa chevelure, blonde comme les blés, recouvrait subtilement cette poitrine douce et bronzée. elle avait les yeux fermés, les lèvres mi-ouvertes, le nez en l'air. elle soupirait. tu la regardais. tu ne pu t'empêcher de glisser ton bras autour de sa taille, de caresser de la pulpe de tes doigts sa peau glabre et ensoleillée, commençant par ses hanches, remontant le long de son flan, déviant pour passer entre ses seins, subtilement toucher ses clavicules, l'une après l'autre, attraper son cou dans ta main robuste et tourner délicatement son visage vers toi pour déposer tes lèvres sur les siennes. elle avait à chaque fois ce rictus satisfait voire même amusé. mais, docile, elle se laissait faire, glissant à son tour ses bras autour de ton cou, crochetant ainsi son emprise, fourrageant tantôt délicatement tantôt sauvagement ta crinière noire de jaie. elle maintenait l'étreinte un certain temps, absorbant les infimes restes de vitalité que tu avais en toi, pour te lâcher doucement, te regarder, caresser ta machoire et se retourner pour se rhabiller. tu la laissais faire. tu aimais bien la regarder se revêtir. elle faisait ça bien. tu observais chaque mouvement, chaque geste. elle avait cette assurance pour tout ce qu'elle entreprenait. le geste était mesuré et précis. doux et ferme. don't you have anything else to do except spying on how i put my clothes back on? elle te cherchait. elle voulait t'inciter à réagir, à la dévêtir à nouveau.
tentatrice.
tu laissais glisser les draps de soie blanche sur ton corps pour t'approcher d'elle, assise là, au bord de son lit, sous-vêtements remis. tu attrapais à nouveau sa taille, tu la tirais sur le lit, dans un rire que vous joignez l'un à l'autre. ta mère emprisonna sa taille, tentant de faire glisser le bout de tissu qu'elle venait de remettre pour la remettre dans son état initial de jeune femme dévêtue. c'est alors qu'elle résistait. elle n'avait pas envie. elle retenait ta main, insistant pour que tu n'ailles pas plus loin. what is it, swire? tu n'aimais pas qu'elle puisse te résister. tu n'aimais pas l'image que ça donnait. tu ne voulais pas passer pour l'obsédé. tu savais que votre lien s'était crée notamment par ses actes charnels qui vous unissez si bien. vous vous entendiez bien sur ce point. sur d'autres aussi, mais il était quelque peu votre ancre à tous les deux. elle te regardait, passait sa main à nouveau dans tes cheveux. i have to get ready for tonight. i have a little something with my family. tu te cripsais et la relâchais. sa famille. l'autre monde. l'autre versant du rubikon. tu serrais les dents tandis qu'elle se relevait pour continuer ce que tu avais coupé. une longue minute s'écoulait sans que tu ne bouges. une minute, c'est long. tu n'aimais pas la lenteur qui s'installait entre vous. d'un bond, tu décidais de sauter du coté inverse du lit, pour récupérer les quelques lambeaux de vêtements qui t'appartenaient. again, this little something with your father's associates? he might be so damn willing to marry you to the new heir of some huge company he wants to deal with. you'll make quiet a price to get. l'acidité dans ta voix n'était qu'à peine masquée. vous aviez déjà eu ces conversations, rudes et virulentes. ces moments qu vous éloignaient l'un de l'autre, car vous preniez à nouveau l'impossibilité de votre relation en pleine figure.
elle était la belle, tu étais la bête.
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Mer 5 Avr - 12:04
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cecylia swire + cem pope
Drag me to Hell

Respiration essoufflée, sans rythme, décousue. Le sang battant à tes oreilles, la peau brûlante, les lèvres rouges et gonflées de ses baisers aux goûts suaves des fruits d'un jardin d'Eden dont tu avais réussis à voler la clé de la barrière. Tu étais toi, il était lui, vous n'étiez qu'un. Ce désir inassouvis de chair, il te l'apportait sans modération, et toi, tu te saoulais à sa présence. Il t'inspirais, et tu aurai pu écrire des romans entiers de ces sensations qu'il t'offrait comme des trésors secrets. Entre vous, tout n'était que ballet mortel et sublime, dansant sur le parquet grinçant d'un grenier qui pouvait à tout moment dénoncer votre passion interdite.

Ton corps nu, chaud, attirée par son âme comme la lumière attire le papillon, frissonait à chacun de ses contacts. Ses mains étaient caleuses, usées, artistes, et toi tu étais la toile épurée de son imagination. Il était là, là encore, puis disparaissait pour revenir, plus fort et vif à la fois, et toi te cambrais sous ses caresses. Plongeant tes yeux d'ébène dans ceux, si bleus, mystérieux et profonds de ton amant tu scellais tes lèvres aux siennes. Fourageant sauvagement dans ses cheveux sombres, tu souris amusée, aimée, amante, tentatrice. Cecylia, c'était tout toi. Baiser d'abord réservé et doux, comme si lui, Cem, te défiais, il devenait plus franche et fort comme un pacte. Me lâche pas, j'vais tomber sans toi, j'te jure, me lâche pas. Il était le roc invincible, la falaise précieuse que tu allais devoir lâcher. Tu ne voulais pas gâcher ce moment, ce voyage au septième ciel ou il te fallait redescendre. Dans un élan tu poussais tes soupires et ton corps contre le sien, récoltant les perles d'eaux de vos deux peaux au passage. Sans heurt, tu rompt alors le contact. Froid, blanc, invisible. Le quitter, c'était comme passer de l'été à l'hiver, ça vous rendait morose. Attrapant ton soutiens gorge rouge, tu te rhabillais promptement. Délicate et souple pourtant dans tes gestes, une vraie démone cachée derrière un attirail de soie. « don't you have anything else to do except spying on how i put my clothes back on ? » Allez viens tu l'emmènes au vent. Recommencer un deuxième brouillon plus parfait encore que celui qui précédait. Il mords à l'hameçon. Te ramènes dans ces bras, dans ses bras. Dieu, tu te damnerais pour ces mains là. Il te domine de sa taille, faut glisser ta bretelle sur ton épaule mordorée, vous riez. Non. Arrête. C'est fini. Il ne comprends pas, le questionnement impatient se lit dans ses iris océans. Tu ne peux pas comprendre mon ange, je suis l'esclave jetée au lions, le spectacle des romains, laisses moi me préparer dignement pour l'arène. « i have to get ready for tonight. i have a little something with my family. » Tu te relevais tandis que lui soutirait à ton corps son ombre et ses muscles auquel tu te drogais. Reviens, on est pareils toi et moi. Il remit ses vêtements, punition pour toi, le tissus auscultant son corps d'ephèbe. Il est furieux. « Don't say that. You... You don't understand do you ? I'm not a trophy, i'm free to do what I want... » Tu hésites, tu traînes. Bien sûr que si tu es un trophée. Ou un moyen d'échange pour ton père. Tu étais dégoûtée. « Oh really ? Actually I understand very well you know ? All you have to do is say no. At your father, your mother, everyone who want you to be a kind doll. » Si c'était aussi simple... Il s'accroche, tu t'attaches. Vos vies sont irrémédiablement mêlées, et c'est lui que tu veux. Pour toujours. « I'm gonna take a shower. » C'est une invitation. Et dans ta tête, comme une lancinante mélodie, tout résonne. Allez viens avec moi s'il te plaît. Qu'on parle, qu'on pleure, qu'on s'aime encore une fois...
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Mer 5 Avr - 20:38
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cecylia swire + cem pope
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elle avait cette moue, tentatrice, inquisitrice. elle savait qu'elle avait tord, elle tentait de se convaincre autant que toi. ton visage restait de marbre. don't say that. you... you don't understand do you ? i'm not a trophy, i'm free to do what I want... elle te regardait. tu ne tresaillais pas. impassible. anesthésié. tu la détestais. elle recommençait. elle te prenait pour le petit fermier. pour le pouilleux que tu étais, et elle retrouvait sa place dans son carrosse dorée. tu la détestais pour ça. en remettant ton t-shirt, tu ne pus t'empêcher de siffler quelques mots. i understand more than you can possibly imagine, swire. et tu t'asseyais, dos à elle, sur son lit de princesse. tu soupirais, prenais ta tête entre tes mains. indécis. abasourdi. encore une fois meurtri. dans ta bulle, tu soupirais. tu t'énervais. all you have to do is say no. at your father, your mother. at everyone who want you to be a baby doll. tu en avais assez. elle te fatiguait. physiquement. mentalement. moralement. un silence. long et court en même temps. tu entends l'air se mouvoir avec elle quand elle s'éloigne. tu n'aime pas ça. i'm gonna take a shower fais donc. qu'elle enlève cette odeur qui ne sied pas à son rang. celle de ton corps, suant et enivré par l'acte charnel consommé.
tu restais. tu attendais. l'eau coulait. tu pouvais entendre les mouvements qu'elle faisait par la différence d'intensité de l'eau touchant le sol. tu savais quand elle se passait les mains dans les cheveux, quand elle prenait soon shampooing, quand elle l'étalait sur chaque parcelle de sa peau parfumée..
tell me why. tu étais à ses cotés, collant à nouveau ton corps au sien. tu étais habillé, tu t'en fichais. après tout, ça sécherait. elle se retournait, paniqué. tu agrippais vivement ses hanches, les collant à ton buste dur. tes mains ne deserraient pas leur emprise sur sa chair. elle devait ne pas bouger. c'est quand tu sentis chaque rempart de son âme tomber petit à petit que tu te décidais à glisser tes mains dans son dos, à aggriper ses cheveux, tirer légèrement dessus pour qu'elle lève le menton et tu plongeais sauvagement tes lèvres dans la peau de son cou. tu l'embrassais, chaque millimètre carré, dans tous les sens, sous tous les angles. tu remontais sur sa machoire, fine et subtile, pour agripper sauvagement ses lèvres aux tiennes. tu t'amusais à mordiller sa lèvre inférieure, la collant promptement contre la vitre glacée de sa douche. le contraste entre l'eau brulante et la froideur du verre était une métaphore de votre relation. le chaud. le froid. le feu. la glace. tu reglissais tes lèvres sur son cou, glissait encore, passais à genoux, embrassant au passage ses clavicules, sa poitrine, mordillant son ventre, le haut de ses jambes. elle ne disait rien. elle attendait son sort, la cage thoracique se soulevant avec une amplitude folle. tell me why you have to do this. what's the reason you're hidding from me. is that your boyfriend? i'll be cool with it. tu remontais vivement, attrapais ses deux poignets que tu plaquais au dessus de sa tête. elle ne pouvait pas bouger. tu appréciais. tu collais ton visage au sien. nez contre nez. vos souffles mêlés.
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Mar 11 Avr - 15:06
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cecylia swire + cem pope
Drag me to Hell...

L'eau coule, vague insensible qui a au moins le mérite de noyer tes esprits sous la buée qu'elle dégage. Tu la voulais froide au début, glaciale, gelée, à en faire taire ton corps criant, ivre de la douleur et du manque. De lui. Mais le jet n'avait fait qu'attiser ta colère. Quand rien n'allait comme tu voulais, toi petite princesse, la rage montait. Elle montait lorsque tu le voyais te tourner le dos. Elle montait quand il soupirait, énervé, esseulé. Il n'était pas le seul à ployer sous la contrainte. D'un geste brusque, tu tournais le robinet pour que l'eau entaille encore un peu plus de sa chaleur ton épiderme sensible et encore tatoué de ses baisers, de son désir. Disparaissez. Tes cheveux blonds, alourdis par l'eau, font ployer tes épaules, allégorie de tes problèmes. Il ne sait pas, il ne sait pas. L'annonce est pour ce soir. Toi même, tu es dans la pénombre, à tâtonner pour t'en sortir sachant que la partie d'échec se joue en huis clos. Prisonnière. Fiancée. C'est la même chose. La mousse parfumée coule sur ta peau, te nettoyant de ton pêché. Il était le diable et t'envoyait au septième ciel...

« Tell me why. » Est ce un ordre ? Sa voix est une symphonie qui te fait te retourner à l'attaque de la première note. Il était maître de ton corps, le parourant sans le moindre doute, le connaissant par coeur, jouant de ses points faibles. Tu te brise, la carapace de la reine des glaces, de la reine des garces vole en éclat. Il ne reste que lui, toi et ton désir plus qu'incandescent pour sa personne. Comme un pantin de bois, tu te laissais faire, acceptant  comme un élixir le moindre de ses contacts. Il t'embrassait comme pour un adieu alors que ce n'étaient que des retrouvailles. Sa bouche se colle à la tienne, te plaquant contre la paroi vitrée et froide de la douche. Il joue avec tes lèvres. Tu prolonges le baiser en pressant voluptueusement tes lèvres rougies contre les siennes, et gémissant du plaisir que cela te procurait qu'il soit présent. Vilaine petite Cecylia... À nouveau, il délaissait ta bouche pour ton cou de cygne, insufflant un manque à ton souffle. Revient. Ton coeur aurait pu mourir mille fois tellement ses battements devenaient ératiques. Il marquait la plus petite parcelle de ton âme de ses yeux implacables. A genoux même, il te dominait. Lorsqu'il embrassa le haut de tes cuisses, ton ventre brûlait se pressant contre son corps et tes mains agrippèrent ses cheveux corbeaux en un réflexe. Aime moi. Honore moi. Il était le chasseur et toi la proie se jetant dans ses filets. Le son de ta voix se perdit entre le bruit de l'eau qui n'avait cessé de couler et tes soupires traître. Ta poitrine trahissait ton exitation elle aussi, fière, dressée, se soulevant au rythme de votre danse sensuelle. « tell me why you have to do this. what's the reason you're hidding from me. is that your boyfriend? i'll be cool with it. » Un petit ami ? Oh non, non. L'amour n'est pas pour toi Cecylia. Tu n'es qu'une image, une façade, un décor, un beau jardin, un bijou, un traité de paix. Tu ne te caches pas de lui, tu ne cesse d'apparaître à ses pupilles. Mais tu ne te dévoile pas, c'est dans ton éducation, ta nature. Soit froide, innacessible. Tu es riche. « I don't have any boyfriend, you could be jalous hmm ? » Tu le nargues, reprenant quelque peu l'avantage. Jaloux lui ? Tu n'en sais rien, mais tu aimes à l'imaginer. « But... i've a father. Who likes to control my life. And i'm a girl in a rich world. I don't have the right to say no. » Ta voix faiblit doucement, incapable de le prononcer. Engagée dans la spirale de l'héritage, future mariée. Tu ne peux pas lui dire, renoncer à lui, a son âme électrique, à son esprit sauvage, à sa peau mordorée. Fiancée. Prisonnière. C'est la même chose. Il attrapa tes poignets, les révélant au dessus de toi, nue et damnée à lui, te surplombant dangereusement. Vos fronts se touchaient, vos respirations s'enlaçaient. Dans un geste gracile, tu avançai tes lèvres vers les siennes, les scellant à jamais. Ce baiser, tu le fit durer, jouant sur tout les tableaux. La douceur, l'amour, le désir, la passion. Tu reprenais ton souffle et revenais vers lui sans cesse, attrapant sa bouche, glissant dessus. Il était à toi. Tu l'embrassais, l'embrassais, l'embrassais encore avec le désespoir comme seul témoin. Tu t'arrachai violemment à ses menottes et tirait sur son tee shirt trempé. Enlève le, je veux sentir ton torse, ta peau, ton corps contre le mien. À demi nu désormais lui aussi, tu quittais sa bouche pour sa nuque d'ephèbe, sa poitrine immaculée, ses muscles puissants, tes mains et tes lipes parcourant l'appolon qui te faisait face. Tu le voulais tiens à cet instant présent, sous la cascade de la douche et aggripait ses derniers vêtements comme on s'accroche aux barreaux d'une prison. « Love me. » Murmures interdits, secrets bafoués, il 'taidaderait à t'échapper de ta prison dorée... 

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Mar 11 Avr - 20:18
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elle était belle et folle. elle était douce et féroce. de ce regard de braise, elle pouvait te faire plier, te mettre à genou sans sourciller. elle avait ce pouvoir, cette pression sur toi que tu avais du mal à gérer. lorsque tu lui parlais, tu ne pouvais pas l'agresser. ta nature était adoucie, cassée par son sourire et ses mimiques. tu luttais pourtant. car elle t'énervait. te fatiguait. te torturait. i don't have any boyfriend tu soufflais, intérieurement. tu aurais quelque peu désapprouvé ce coté frivole qu'elle te présentait. tu aimais savoir qu'elle ne voyait que toi; qu'elle était à toi. tu souriais, imperceptible. are you jealous? elle te testait. elle voulait savoir où tu en étais. tu rigolais, à moitié. elle savait à qui elle avait à faire. elle savait que cette question n'était pas à poser. que tu n'y répondrais jamais. car tu ne savais pas t'exprimer. à la place, tu préférais la laisser reprendre du poil de la bête et te couvrir de ses lèvres brulantes. elle tentait de reprendre le contrôle, de s'abandonner à toi, comme elle l'avait déjà fait tant de fois. but i do have a father. who likes to control my life. and i'm a girl in a rich world. i don't have the right to say no. elle avait un père. tu saignais. tu grimaçais. c'était déjà plus que tu n'aurais jamais rêvé. elle semblait vivre dans une prison. prison certes, mais doré quand même. le choix entre la peste de le choléra. le choix entre la liberté du pauvre et la cage du riche. à ton niveau, le choix aurait été vite fait. on désire toujours ce qu'il nous est impossible d'avoir. c'est pourquoi tu la désirais. car tu savais qu'elle t'étais inaccessible. le simple fait de pouvoir l'approcher, la toucher, caresser, embrasser, posséder était hors de ta portée. tu savais que ça ne pourrait durer.
elle se remit alors à t'embrasser. farouchement, intensément, fiévreusement. elle parcourait de se peau glabre les millimètres de ta peau, incendiant chacun de tes poils à son contact. elle griffait, elle dévorait, elle arrachait. ce t-shirt, remis trop vite, de manière irréfléchi. elle te l'enlevait avec une aisance qui lui sied. tu te collais à nouveau à elle, peau bouillante, corrosive. elle te consumait petit à petit. et entre deux baisers, elle t'anéantissait. love me. un appel à l'aide. le désespoir dans sa voix. ce vibrato qui te fit tressaillir. tu stoppais vos baisers un temps, maintenant son visage à une distance suffisante pour la regarder vraiment. tu ne savais pas où était les larmes, où était l'eau dégoulinante sur son visage. tu ne pouvais lire l'expression sur son visage. tu t'approchais à nouveau de son visage, doucement, calmement. elle s'agrippait à toi, reprenant votre danse folle. tu amenais l'une de ses jambes autour de ta taille, se cramponnant ainsi, tenant fermement cette cuisse que tu avais jadis conquise. elle te laisse à peine respirer. tu n'étais plus maitre de tes pensées. you are note able to love. you can only destroy. elle ne semblait pas t'entendre. trop concentrée à te dévorer de la tête aux pieds. sa douce bouche glissant dans ton cou, sur ton torse, te laissant le temps de respirer, soupirer. et pourtant, tu continuais. i can't love you. you can't love me either. tu le pensais. vous ne pouviez pas vous aimer. fruit interdit. amour impossible. this thing is a dead end. elle s'écartait de toi. se rendant surement compte de ce que tu lui disais. elle avait l'air énervé, apeuré, perdu, dévasté. tu savais ce qu'elle pensait. tu savais ce qu'elle voulait. ta liberté. tu l'attirais à toi à nouveau, d'une manière plus brutale que tu ne l'avais prévu. attrapant son visage entre ton pouce et ton index, le redressant vers toi pour qu'elle te fie, pour que tu puisses lire ce regard. but i kinda like it just like that. tu l'embrassais légèrement, doucement. come on, get out of here and show me. show me how you will be tonight, saying no to your papa.
car tu ne démordais pas. tu avais peut être esquiver sa déclaration, mais tu n'en oubliais pas le reste. un geste vaut plus que mille mots. et ce soir, tu allais la forcer à faire ce pas.
à faire face.
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Jackie Ells
lost in the world
Jackie Ells
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Jeu 4 Mai - 13:26
Jackie Ells
J'archive I love you
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