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Mer 24 Jan - 18:43
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carth meriay haedha
best now i get a pipe
and forget girls
âge trente années à peine sonnées, et c'est pas comme si tout liberty ne se souvenait pas de la fête qu'il a donnée pour célébrer ça. ç'aurait pu être un moment sympa tissé de joies pleines d'altruisme, mais en vérité, ce que tout le monde s'est dit sous le manteau, c'est que c'était un putain de miracle qu'il ait survécu jusque là. genre homme, du genre qui en fait des caisses non-stop, à jouer du cliché du surmâle et à constater avec effarement que ça marche. plus vous en faites, et plus elles kiffent. voilà pour le masque, pour l'abritraire, voilà pour s'enfermer dans le mot. en vérité, le genre de l'âme ? un enfant-fantôme dans une cape d'ombre. origines son père est américain mais possède de nombreux ancêtres norvégiens et danois qu'il a abandonnés. sa mère est d'origine égyptienne. quant à carth lui-même, les gens (à commencer par ses propres parents) se posent souvent la question. nationalité américaine, mais on l'a déjà menacé de la lui retirer, notamment pour usurpation d'identité (une de ses spécialités). en ville depuis toujours, et même avant que liberty ne soit ce qu'elle est, quand tout ici n'était que marais gluants, arbres aux troncs épais piquants, et silence assourdissant : il y avait forcément quelque chose de lui. statut tout le monde sait que carth est libre de toute attache, de tout engagement. pas de patrons, pas de boss. pas de nana, pas de gosses. des contrats à la pelle, tous signés par une signature singulière, jamais identique deux fois ou alors seulement ressemblante. seulement pour faire naitre le doute, et parsemer les soupçons d'une poudre étoilée. orientation sexuelle femmes, femmes, femmes, mais il n'est pas le même selon qu'il est en train de chanter et de regarder une fille, ou parler et de regarder une fille. la parole est traitre avec carth, il ment comme il respire, il manipule sans faire gaffe. un réflexe vital. la voix, quand elle devient instrument, se fait soudain corps et plus vraiment logos. il est vrai dans ces moments où il ne te regarde pas, où il se contente de voir. vrai quand tout lui échappe, même ce qu'il observe sans le savoir. emploi contrebandier dès qu'il s'agit d'écouler une denrée interdite quelque part (il est donc très souvent en déplacement, une condition inhérente à son style de vie), revendeur d'objets dont il ne veut pas connaitre la provenance (les voleurs l'adorent), fabricant de faux spécialisé depuis quelques années dans la création de nouvelles identités. situation financière on se met très, très bien quand on décide que l'argent n'a pas d'odeur, ni de parti pris entre le bien et le mal. quel clan ? la force de carth, c'est d'avoir toujours su échapper à ça. son père n'y est pas parvenu et ça l'a bouffé, creusé de l'intérieur jusqu'à ne laisser plus qu'une coquille vide. carth a prévenu tout le monde quand il a eu dix ans : ses mains seraient salies. et pas qu'un peu. mais personne ne le tiendrait jamais par les couilles. les motards le font hurler de rire, les cailles du dimanche lui font sortir les yeux de la tête, les truands qui la jouent chefs d'entreprises l'insupportent. il n'y a que lui qui bosse pour lui. que lui qui se casse la gueule si ça foire quelque part. les truands de liberty le haïssent pour son indépendance et l'autonomie de son business (toujours en déplacement, il évite le racket), mais l'admirent aussi parce que faire affaire avec carth signifie qu'il ne vous balancera pas. tout simplement parce qu'il s'en branle. à choisir entre les gangs et les flics, les flics remportent haut la main la palme de la haine à son égard. son clan, c'est le seul qui ne lui rapporte pas un centime. des têtes pour se souvenir au moment de crever comme une merde, planté par un couteau et agonisant sur un rebord de trottoir croqué par la nuit. lyanna, clara, salome, sid. ils valent rien de rien. absolument tout.
groupe cloudy sky.

feat Alex Høgh Andersen

(un)— son frère aîné est actuellement en prison, et n'est pas réellement près d'en sortir (même avec une conduite exemplaire et un commis d'office rompu aux contes de perrault). il a été condamné il y a deux ans pour association de malfaiteurs et homicide volontaire. carth ne va jamais le voir au parloir. (deux) — les deux frères haedha ont bien failli avoir une petite soeur, un jour. mais l'enfant a subi ce qu'on appelle la mort subite du nourrisson quand elle avait trois mois, presque quatre. les causes peuvent être nombreuses et les services sociaux ne se sont pas donné la peine de se pencher sur la question : tabagisme intense de la mère lorsqu'elle était enceinte, le non-allaitement parce que le père avait décidé que c'était un truc fait pour les bêtes, pas pour les hommes, etc. carth voit aussi d'autres causes moins médicales, notamment leur environnement familial infâme et le fait, accessoire si vous voulez, que son père frappait sa mère, enceinte ou pas enceinte. une chose est sûre : carth et son frère ont vu dans la mort de ce gosse un petit coup de pouce de la part du destin pour libérer un être innocent des chaines d'une vie qui aurait, s'il avait vécu, pas mal ressemblé à un enfer sur terre. (trois) — le sang nordique du père haedha ne peut pas être caché : l'homme mesure presque deux mètres, et possède une musculature qu'on pensait éteinte depuis l'ère viking. petit, adolescent voire même tout jeune homme, c'était ce qu'on peut appeler un brave gars. travailleur, un peu bagarreur, sans doute trop buveur mais c'était de son âge. un bon gars de l'oregon, accepté par la population locale et même, parfois, admiré. en vieillissant, son rythme de débit est devenu problématique et le regard des autres moins tolérant. toujours excellent bagarreur, il a (forcément) fini par être approché de près par les gangs. finir par bosser avec la mafia locale, celle de votre ville et même celle de votre quartier, n'a rien d'un parcours extraordinaire et ne fait pas de vous un truand pour autant. ça commence par le laisser-faire : vous voyez ce qui se passe dans votre quartier, et vous ne faites rien. puis vous approuvez silencieusement. puis, au détour d'une phrase, d'un mot, vous signalez à ceux qui vous écoutent que vous êtes plutôt d'accord avec tout ça. avec ces gens. la suite mathématique : un de vos collègues a intégré un gang et vous vous retrouvez un soir dans un pub à vous faire payer des coups par trois membres du gang. l'air de rien, on vous propose un taff, une bonne occase de mettre de côté une jolie somme. le taff a l'air relativement simple et dans vos cordes. échauffé par votre égotrip, vous avez envie de prouver à ces gars que vous pouvez faire le même taff qu'eux sans être eux. vous ne vous en rendez peut-être pas compte sur le moment, mais ils ont gagné et vous faites déjà partie d'eux. (quatre) — le fait que sa mère soit battue par son père a longtemps été la source d'une révolte et d'un combat en carth. tenter de s'opposer à son père était impossible, il aurait été capable de le tuer pour le remettre à sa place. mais il a longtemps mis de côté ses revenus jusqu'à être en mesure d'offrir à sa mère une autre vie. un billet pour ailleurs, loin de toute cette merde qu'elle pourrait enfin laisser derrière elle, et même de quoi payer le loyer pendant deux ans d'un petit appartement. si elle le désirait, et il lui suffisait d'un ordre, carth pourrait aussi changer son identité, histoire de repartir sur des bases neuves pour une nouvelle vie. le jour où il a annoncé à sa mère cette possibilité, il en tremblait de joie. elle a refusé. pas méchamment, en plus, pas violemment, presque avec de la douleur pour lui. une douleur compatissante et éminemment mature qu'il n'a jamais comprise, même maintenant. il s'attendait à ce qu'elle pleure, qu'elle se justifie par mille et une raisons, mais non. elle lui a simplement dit que sa place était ici, auprès de son mari, et qu'elle ne la voyait pas ailleurs. elle l'a remercié pour le mal qu'il s'est donné, mais lui a précisé que ça allait. ça irait. elle a aussi dit qu'elle l'aimait, ce type. que l'épouser avait été le meilleur choix de son existence (ce qui en dit long sur les autres, selon carth). depuis, carth a rayé ses parents de la liste de ses fréquentations. la fin de ses études a d'ailleurs été symbolique : c'était pendant un partiel. sujet de dissertation réflexion. il a  retourné la feuille et a lu l'énoncé : doit-on aider les gens contre leur gré pour leur bien ? il a déchiré la feuille, a ramassé son sac et est parti pour ne plus jamais revenir. (cinq) — carth a un problème avec la dépendance, et avec les gens dépendants. pas forcément à la drogue ou à l'alcool mais dépendants de quelque chose (de leur couple, de leurs parents, de leurs achats ou peu importe). ça fait naitre chez lui une agressivité qu'il peine à maitriser (voire qu'il ne cherche même pas à contrôler). ça lui rappelle peut-être sa mère dépendante à son mère même si ça la tuera sûrement, ou encore son père dépendant à l'alcool, ou son frère aîné dépendant de son gang de demeurés. pour cette raison, ou à cause de cette phobie, la vie de carth est menée selon le concept inverse de la dépendance. il ne dépend jamais de rien ni de qui que ce soit. ce qui fait aussi de lui quelqu'un d'instable et sur lequel il peut être difficile de compter. (six) — la musique ? il vous dira que c'est un moyen comme un autre de pécho. on n'en parlera pas plus que ça, et vous comprendrez à son silence qu'il est inutile d'insister. quelque part, il y en a une qui sait et qui se tait, parce qu'elle est une boite à secrets humaine (sa boite à secrets à lui). moins farouche et distant avec elle qu'avec le reste de la bande, il a déjà chanté devant elle en laissant le masque fondre sur son visage. elle l'a vu pour de vrai. lyanna est la seule.
pseudo oaristys. âge l'âge de faire tout ce que je veux. genre reptilien (in cold blood). pays uranus. connexion soutenue en semaine, quasi nulle les week-ends. tu vas bien ? c'est chaud, je manque de temps pour entamer cette fiche et je parle même pas de répondre aux mps, so, vous vexez surtout pas, je vous aime fort malgré le temps qu'on me vole. crédits ? dvndelion (icone), mine (ava), gregory corso (quote).

Code:
<nb2>alex høgh andersen</nb2>— carth haedha (27/01)


Dernière édition par Carth Haedha le Ven 26 Jan - 9:30, édité 5 fois
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Mer 24 Jan - 18:43
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but until then drums get killed
(soundtrack)

jwe'll laugh about this tomorrow
'cos times like this i hope...
will follow.


C’est pas comme si mon père m’avait pas toujours répété, et ce pendant toute mon enfance, qu'il aurait pu avoir une chance d’être heureux si j’avais pas existé. Sa tendance à la dramatisation était une véritable tentation, une poussée au vice. Il fallait bien que je m’attache à ce qu'il ait raison, non ? J’ai tout fait pour. Pour qu’il regrette vraiment, pas comme au début, non, pas comme quand il se contentait bêtement de se plaindre en parlant solo dans la baraque, non, je voulais qu’il pense ce qu’il dit, à fond. J’ai tout donné, tout fait pour qu'il mérite enfin ce regret : j’ai été horrible. Je comptais bien lui donner raison sur le fait qu’il n’aurait jamais dû baiser ma mère et prendre le risque de me créer, lui imposer de me porter, accepter de me mettre au monde et me laisser grandir, gagner des forces et bouffer les siennes. Je l’entendais, je le voyais tellement me détester, putain, il fallait bien que je le mérite d’une certaine façon, non ? Ah, je me suis déchainé. On n’a rien sans rien. Pourquoi être un mauvais élève aux mauvaises notes, il n’ouvrait pas les courriers de l’école et n’allait pas aux rendez-vous des profs. J’ai été le pire d’entre tous, m’assurant en écoutant les adultes parler de moi et analysant leurs regards posés sur moi que j’étais toujours au top niveau. Carth l’enfant impossible. Oh, ouais, c’était exactement ça, impossible. Impossible à accepter parce qu’il n’aurait jamais dû naitre. J’aime ça ! J’aime quand la réalité correspond aux délires des autres. Je fais tout pour leur faire vivre leurs cauchemars, parce que c’est important, de les vivre. Carth la terreur, Carth la teigne, Carth le bandit. Conclusion, mon père a tenté de me tuer. Non, ça peut paraître drama dit comme ça mais c’est tout con : couteau de cuisine, dans le poitrail. J’avais douze ans. Je reconnais l’avoir mérité, celui-là, je crois que je lui avais volé le chéquier, cette fois, pour acheter de la coke (que j'ai ensuite balancée dans l'ana river). Rien de méchant mais bon, c’était pour le geste, et puis ça s’ajoutait à une liste interminable de conneries ; mon palmarès perso. Pas d’inquiétude, je m’attendais pas spécialement à en mourir. Il a jamais été capable de réussir quoi que ce soit dans la vie, alors bon, tuer quelqu’un, il lui aurait quand même fallut pas mal de chatte. A douze ans, j’avais beau avoir la chair encore tendre et les os en mousse, le couteau n’a pas réussi à percer le cartilage et à atteindre les poumons. Il avait foiré, encore une fois, et je me souviens de l’avoir regardé en souriant pendant que je perdais lentement connaissance dans la cuisine et qu’il répétait en boucle merde, merde, merde, merde, merde. Jamais su si c'était merde de pas avoir réussi à me buter, ou merde d'avoir presque réussi à dépasser sa propre médiocrité. Je me suis réveillé à l’hosto avec une assistante sociale sur le côté, qui m’observait comme si j’étais le vilain petit canard. Lui ai dit de pas trop s’inquiéter quand même, jusqu’à ce que je réalise qu’elle était moche et alors là, j’ai plus rien dit du tout. J’ai appris que j’avais un frère, un grand frère, pas le même que le connard qui me servait d'aîné mais un autre, beaucoup plus vieux. Mon père était aussi son père, mais c'était une autre mère la sienne. Actif dans un gang de l'Oregon, il s’était fait planter par un gang adverse dans un pub il y a un an. Mort, lui, parce que le gars qui tenait le couteau devait être sûrement plus dégourdit que mon con de père. On m’a envoyé en foyer à Gresham, pas loin de Liberty, et maintenant que j’avais plus mon père dans le coin pour subir mes conneries, j’aurais pu me calmer. Mais c’était beaucoup trop beau. Quand tu cognes tout ce qui bouge, que t’es le premier à n’avoir jamais peur, les autres finissent par te craindre et ne plus oser te cogner les premiers, même ceux qui sont plus balèzes que toi et qui pourraient t'éclater d’une seule droite. J’avais ma petite cour autour de moi, des valets, des servants, des braves compagnons qui auraient été prêts à souffler de l’air sur mon visage en pleine canicule pendant trois jours dans l’espoir que je les protège en retour, règle leurs embrouilles. Appeler Carth, c’était le genre de menace qui suffisait à calmer tout le monde. Très vite, j’ai eu un casier judiciaire. Coups et blessures, provocation des forces de l’ordre, je compte plus le nombre de gars que j’ai envoyés à l’hosto pendant ces nuits où on enchainait dope, came, alcools. On débutait toujours la soirée par un pack de bières par personne, chacun le sien. Ensuite le speed, pour battre la fatigue. On bougeait avec une pleine de vodka, une chacun, qu’on vidait au cours de la nuit en agrémentant nos gorgées de cachetons de md, de piquouzes dans les chiottes, de coke pour l’énergie, et d’amphets fumées au ballon sur le parking. A la fin, je trouvais toujours un groupe de débiles supporters d’un club de merde sur qui envoyer ma bouteille vide. En plein dans l'arrière du crâne. Et comme des poules, les cons se mettaient à tourner en rond et piailler dans tous les sens. C’est là que j’entrais en scène, me glissant au milieu comme un taré et gueulant « putain de merde ce mec s’est pris une chope dans la gueule ! » Magique. « Qui a fait ça putain, quel enculé a lancé sa putain de chope sur ce mec ? » J’attrapais par le col un mec pris au hasard dans la foulée. « Toi enculé, appelle les flics, un mec s’est pris une chope ! » Je me liais avec les connards du club, avant d’en entrainer un dehors et de le tabasser sur le trottoir. Les cris des meufs autour de nous alimentaient mon dynamisme naturel, style rock star sur scène au milieu de la foule en délire ; pourquoi tu t’arrêterais de jouer, mec. Ils aiment ça. Ils apprécient. Très vite, mon casier est devenu trop craignos pour trouver du taff dans notre bonne vieille Gresham. Et puis faut dire que mon cv tirait la gueule. Alors je suis retourné à Liberty, saint utérus urbain de ma renaissance.

“Trouvez moi ce fils de pute de Carth, je le veux immédiatement, vivant ou presque mort ou déjà froid, démerdez-vous mais chopez cet enculé TOUT DE SUITE.”
Jacky O’Neil, dans un très mauvais moment,
quelque part dans l'idaho.

Je l’entends parfaitement, l’enculé, gueuler ça au milieu du pub à ses connards de sbires à moitié obèses qui devront courir dix fois leur putain de poids avant de me retrouver. Bref, ça voulait dire : quitte l'Idaho, Carth, monte dans le premier train, en classe quatre si tu peux et te retourne pas avant d'atteindre les toits sales et les nuages puants de Fief-Liberty. Profiter de la stupidité des uns a toujours ses limites : elles apparaissent quand un con un peu moins autiste que les autres les informe qu’ils sont en train de se faire enculer sec par un plus malin qu'eux (aka moi). J’arrive au Gem State en été, en espérant ne pas faire de taule dans ce pays de cons (je me trompai), aucune envie de me retrouver dans une cellule avec playstation, trois merdes chasseurs de cerfs et deux jambos dégénérés sortis de je ne sais quelle citée ouvrière pathos. Putain. Les rues sont remplies de clodos, de chanteurs à la con, bref, ils ont une super politique ici, quand je vois la connasse en train de chanter bamboléo en-dessous du panneau « interdiction de mendier ». A quoi ça sert de dealer dans un pays qui autorise tout ? Ce tag « j’encule l'Idaho » au-dessus de la tronche de ce con à casquette m’étonne clairement pas. J’entre au Mcdo, manière, et parce que mine de rien j’ai pas bouffé depuis hier matin. Je mords dans mon cheese avant d’être sorti du truc et j’aperçois devant moi un enculé obèse qui se déplace à deux à l’heure. Le mec se met à tousser, comme un porc, et sans mettre la main devant la gueule, s’il vous plait. Putain mais il se croit où l’enculé ? Je fais quoi moi si je chope ta broncho-pneumopathie chronique de merde, salope ? Tu me vois aller chez le médecin, parlant pas un mot de ton putain de slang de paysan, avec mes piquouzes sur les bras et limite mes seringues encore piquées dedans ? Sans parler de ma valise, putain, ma valise ! Résultat, je prendrai ce que la pharmacienne voudra bien me filer, c’est-à-dire de la merde, j’aurai une rhino par-dessus la pneumonie et je crèverai comme une merde parce que mon système immunitaire est vide de miles. Putain, j’ai envie de le déboiter. Viscéral. Je commencerais par une grande tarte dans sa gueule, plein face, histoire de contempler son air de gros tas tout surpris, parce que c’est clair qu’il a pas du s’en prendre beaucoup celui-là (quand t’as l’habitude de devoir courir pour sauver ta peau, tu deviens pas obèse mec), et je continuerais avec des boites dans son bide et des grands coups de pieds au cul une fois qu’y sera par terre. Ça me défoulerait, et me permettrait de lui pisser dessus dans un grand final, manière de marquer mon territoire façon droopy-thug. Après, je pourrais réfléchir tranquillement à remonter un petit squat ici, en chopant tous les gars que je peux trouver. Mais d’abord, le réseau, Carth, le réseau. Sans thune, tu peux pas prendre soin des autres.

Renton : Je veux bien rentrer avec toi si tu veux mais je te promets rien, d'accord ?
Diane : Et c'est une méthode qui fonctionne d'habitude ? Non, attends voir, tu n'avais jamais essayé, c'est une première. En fait, d'habitude tu n'abordes pas les filles, c'est bien ça ? En réalité, tu es un mec discret et sensible pourtant, si je veux m'impliquer, j'aurais la chance d'appréhender ta vraie nature, spirituelle, aventureuse, passionnée, affectueuse, honnête. Taxi ! Un tout petit peu cinglé, un tout petit peu méchant, mais tout le monde sait qu'on adore ça, nous les filles.

Un dimanche matin dans l'Oregon.

Oh putain.
Oh non non non non non non.
J’ouvre un œil. Et l’autre. Putain.
C’est quoi cet endroit ? Une chambre que je connais pas.
Non, pas à moi, putain pas à moi. Ça peut pas m’arriver.
Je suis torse nu. En calebut. Putain de merde.
Marche arrière, Carth, reviens tranquillement sur tes pas sans paniquer, ok ? Tout ce que je me souviens, c’est qu’hier soir je me suis bien mis cher. Après le dernier amphet et la bouteille de vodka : trou noir. Oh non. J’ai saigné du nez comme un bâtard, toute la couette et même le drap de dessous sont recouverts de sang. Je me suis vidé, putain, et j’ai des croutes plein le nose. C’est quoi ce bordel, sainte merde, pourquoi moi ? La porte s’ouvre au moment où je me dis que dégueuler un grand coup sur toute cette merde serait pas une mauvaise idée. Une meuf. Je la regarde, elle me regarde, et elle montre les draps rouges d’un mouvement de la tête.
T’as eu tes règles ou quoi ? Elle demande, avec un sourire moqueur et dans un slang made in Liberty parfait. Je la regarde, ahuri. Et merde. Je crois que je flanche.


Dernière édition par Carth Haedha le Jeu 25 Jan - 12:52, édité 5 fois
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Mer 24 Jan - 19:02
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T BOOOOOOOOOOOO. //inky cloak. 3878617233 grosyeux amour
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Mer 24 Jan - 19:13
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JTM
T'ES PARFAIT
MON IDOLE
//inky cloak. 4198759546  //inky cloak. 4198759546
bienvenue plus sérieusement, et courage pour remplir ta fiche malgré le temps qu'on te vole. //inky cloak. 3520390547
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Mer 24 Jan - 19:27
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AAH JE KIFFE //inky cloak. 1881658346
bienvenue sur litw coeur
hâte d'en lire plus red
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Stella Burrows
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Stella Burrows
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Mer 24 Jan - 22:05
Stella Burrows
brbrbrbrbbr cet avatar dead
bienvenue sur le forum et bon courage pour terminer ta fiche et pour répondre à tes mp mdr mdr
je te réserve Alex pour trois jours //inky cloak. 1881658346
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Rafael Rivera
lost in the world
Rafael Rivera
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Jeu 25 Jan - 11:46
Rafael Rivera
MEUUUUUUUUUUUF
MA TÊTE QUAND J'AI VU TON POST DANS MA FICHE
GENRE WTDVBJLK
MEUUUUUUUUUUUUUUUUUUUF
JE T'AIME
(puis ivar quoi, ivar)
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Jeu 25 Jan - 11:47
Invité
bienvenue parmi nous bril
très bon choix d'avatar siffle
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Nephtys Woods
lost in the world
Nephtys Woods
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Jeu 25 Jan - 17:12
Nephtys Woods
oulalalala :rollin:
la fiche envoie tellement du lourd et le monsieur tout autant
bienvenue I love you
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Eliott Burrows
lost in the world
Eliott Burrows
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Jeu 25 Jan - 20:05
Eliott Burrows
Un concentré de perfection dead dead bienvenue ici coeur
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Ven 26 Jan - 9:32
Invité
vous êtes des tartes à la mignonnerie, merci coeur coeur
heureuse que ça vous plaise //inky cloak. 501876318

@lyanna mancini
//inky cloak. 3288353904 :yello: :dva:
hâte de rp avec ces deux //inky cloak. 7505947

@rafael rivera
love love love love
ptit chat va //inky cloak. 1881658346
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Ven 26 Jan - 9:55
Invité
je meurs d'amour devant ce personnage  grosyeux
du coup j'donne mon feu vert sans hésiter  coeur
trop hâte de pouvoir rp avec toi !
love love

//inky cloak. 1541753996 //inky cloak. 1541753996
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Sage Ells
lost in the world
Sage Ells
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Ven 26 Jan - 14:33
Sage Ells
ce que j'ai pensé de ta fiche: cette fiche  dead  dead sérieux, j'aime beaucoup trop ta plume et puis carth  I love you encore désolée pour le mp, on s'était pas compris  mdr
je te valide avec plaisir en tout cas  //inky cloak. 1881658346

Ouais, nous on fout une nounou d'enfer, et plutôt deux fois qu'une  héhé Quoi qu'il en soit, on te souhaite officiellement bienvenue sur le forum bébé ! On espère que tu t'y plairas et que tu kifferas ton aventure avec nous  //inky cloak. 501876318  //inky cloak. 501876318

Maintenant que tu fais partie de la bande, tu peux recenser ton métier, poster un scénario ou des pré-liens et bien entendu, te chercher des liens en postant ta fiche  //inky cloak. 1984981113

Pour finir, n'oublie pas de faire un tour dans le flood et dans les jeux  I love you

Amuse-toi bien sur litw  //inky cloak. 1881658346
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Ven 26 Jan - 14:41
Invité
Sage Ells a écrit:
cette fiche  dead  dead sérieux, j'aime beaucoup trop ta plume et puis carth  I love you encore désolée pour le mp, on s'était pas compris  mdr

//inky cloak. 102511348 //inky cloak. 1242507342
mais merci ça me touche grosyeux
//inky cloak. 2314517653

et t'en fais pas ça pouvait prêter à confusion comme job What a Face
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