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Mar 12 Sep - 1:38
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    « […] Violette à bicyclette. »
    [Sissy & Elizabeth]


Avant qu'il ne recommence à faire trop froid, Elizabeth a décidé de faire une (peut-être) dernière grande exploration du coin. C'est donc armée d'informations de toutes sortes qu'elle a glanées sur internet qu'elle est partie découvrir certains chemins parfait pour faire la bicyclette. Que ce soit sur piste cyclable en pleine nature ou bien par des chemins. Elle a des notes de toutes sortes sur son téléphone, des photos aussi, sans oublier l'application GPS en cas de besoin. Ce qu'elle va faire en dernier recours, voulant se compliquer la vie un peu.
Elle s'est donc préparée en conséquence de longues heures sans croiser âmes qui vives. Dans deux sacs, attachés à son vélo avec des bouteilles d'eau, de la nourriture, surtout des barres protéinées et des noix, du jus pour changer un peu, des vêtements plus chauds juste au cas, un imperméable juste au cas aussi, une batterie portable pour charger son cellulaire, une pompe et quelques autres trucs indispensables. Dans le petit sac à dos qu'elle a sur son dos, c'est ce qu'elle met dans son sac à main habituellement, elle a transféré presque tout son contenu dedans. Et, bien, entendu, elle a son appareil photo, prête à le dégainer n'importe quand (une fois descendue de son vélo).
Son casque sur la tête, de la crème solaire appliquée sur ses bras et son visage, après un bon petit déjeuner, elle est prête à partir. Ce qu'elle fait, roulant lentement, comme la majorité du temps, aimant bien prendre le temps d'observer le paysage. Elle n'aime pas la vitesse en voiture, tout comme elle ne l'aime pas en vélo. Les rues sont vides, c'est normal, se dit-elle, pour un dimanche matin. Elle se dit qu'elle a de la chance de ne pas avoir à faire du 8 à 5 et qu'elle est libre d'établir ses horaires comme elle le souhaite. Elle peut souvent dormir aussi tard qu'elle le souhaite et paresser au lit. Alors, comme elle avait prévu cette sortie depuis quelques jours, elle s'est arrangée pour (presque) avoir des horaires normales pour dormir pour éviter d'être trop fatiguée en devant se réveiller assez tôt pour partir et pouvoir en profiter le plus possible.
Elle sort de la ville après quelques minutes et malgré l'absence de voiture, elle fait attention à rester sur le bord de la route, ne voulant pas se mettre dans le chemin. Ce n'est pas parce qu'elle est sur une bicyclette qu'elle n'a plus peur des automobiles. À pied, en vélo ou encore (l'horreur) dans une auto, elle en a toujours peur. Bref, là, pas besoin de s'inquiéter, elle roule dans un petit chemin de terre, dans la forêt, à côté d'une route. Trop petit pour laisser passer une voiture. Elle aime bien, ça monte, ça descend, ça tourne un peu. Les rayons du soleil percent les branches et les feuilles qui commencent à doucement changer de couleurs. Elle se dit que dans quelques semaines, ça va être de toute beauté. Elle s'arrête une énième fois, prend son appareil photo et photographie ce qu'il y a autour d'elle. Elle se dit qu'elle va revenir dans quelques semaines justement pour voir la différence entre les deux. Peut-être aussi dans quelques mois (armée de skis ou de raquettes ; elle doit seulement apprendre à en faire) pour montrer le tout sous la neige et ensuite, bien plus tard, au printemps pour voir les bourgeons. Elle se doute bien que ce n'est pas le sujet le plus original qui soit, elle l'a déjà fait, mais elle aime toujours voir l'évolution et le changement au fil des saisons.
Quelque instant plus tard, elle remonte sur son vélo, et passe dans un coin avec des tonnes de branches, comme si quelqu'un avait décidé de se prendre pour un castor. Elle ne se doute pas qu'elle a passé sur des morceaux de vitre, que le castor est plus une fête et qu'il y a des bouteilles cassées en-dessous. C'est donc normal que son vélo avance de plus en plus mal. Elle ne comprend pas, il roulait bien jusqu'ici. Elle débarque de ce dernier et voit que la route est dégonflée. Cela arrive. Elle prend sa pompe, regonfle, mais ça ne fonctionne pas très longtemps. Elle se met donc à tâter ses roues pour voir ce qui ne marche pas. Il y a un trou dans l'un des pneus. Elle se dit qu'elle va devoir rentrer, elle n'a rien contre cela. Elle n'y a pas pensé puisque cela ne lui ait jamais arrivé. La route va être un peu plus longue à pieds.
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Ven 15 Sep - 0:43
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Le matin. Le levé du soleil. Chaque matin, il est différent. L’astre est malicieux, il envoie suivant son humeur des rouges, des jaunes, des oranges, des couleurs hors nomenclature, uniquement pour mettre l’oeil en défaut de trouver le nom de la bonne nuance. Le ciel. Il joue avec les rayons du soleil. Temps clair, nuages, petits, gros, gris, blancs. Lumière crue, lumière tamisée. Sissy aime cet instant. S’éveiller avec la lumière qui monte c’est revenir à la vie. Dans une maison, l’instant est moins attrayant, certes elle ouvre la fenêtre, mais il y a des maisons qui hérissent leur cheminée. L’horizon est hors de vue. En pleine nature, ce moment est bien plus puissant. Sissy a passé la nuit dans la forêt. Au diable le couvre-feu réservé aux moutons. Elle a dormi dans un lieu bien à elle, caché au milieu des arbres. Frères arbres qui dansent, balancent leur tête-cîme sous le chant du vent. Frères arbres qui fournissent abri. Sissy a contemplé longtemps le soleil pointer son nez puis s’envoler dans les airs tel un ballon de volley-ball. Il n’est plus l’heure du levée même si le matin s’étale encore sur les heures. Il est temps. Il est temps de reprendre le chemin de la maison dans la ville. C’est la faim qui le dit, mieux qu’un réveil. «Il est temps Sissy. Le temps du petit déjeuner approche. Panecake, thé. C’est l’heure du thé. Il est temps de partir. Il est temps de revenir chez toi.» «Chez toi» a dit la faim. Non, c’est la maison de son père, de sa mère. «Chez toi» a dit la faim. Pourtant elle se sent tellement mieux ici avec les frères arbres.

Le vélo masqué par des branchage est dégagé. Sissy protège son destrier du regard mal intentionné. Quelqu’un lui a pris plusieurs fois. Elle sait maintenant qu’il faut le protéger des mains voleuses. Sissy porte le vélo pour aller jusqu’au chemin, ensuite c’est lui qui la porte. Le chemin voit passer des randonneurs, des fêtards, des braconniers. Ils font se qu’ils peuvent pour s’éviter, mais parfois ils se croisent. Sissy n’aime pas croiser les braconniers, elle ne sait jamais ce qu’ils ont dans la tête. Elle n’aime pas non plus les fêtards qui souillent la nature. Quand elle ne se fait pas surprendre à la sortie d’une courbe, elle descend de son vélo et se cache à couvert. Les randonneurs, cela dépend. Aujourd’hui c’est une randonneuse qui marche près de son vélo. Sissy la suit sur le chemin. Les deux bicyclettes se connaissent car l’une va plus vite que l’autre pour la rejoindre. Elles veulent se dire bonjour. Sissy actionne la sonnette. Si les vélos veulent se dire bonjour, il est naturel que la cycliste et la promeneuse en fasse autant. — Bonjour. Mon vélo souhaite accompagner le votre sur le chemin, est-ce que cela vous dérange ? Sissy connait le visage, c'est une cliente du supermarché avec laquelle elle parle de pluie et de thé. Et photos. Elle aime écouter la cliente raconter les images qu'elle capture.


Dernière édition par Sissy Skinner le Jeu 28 Sep - 0:52, édité 1 fois
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Mar 19 Sep - 0:14
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Elizabeth pousse son vélo qui roule bien pour le moment, mais elle se dit qu'à force, l'air va encore plus s'échapper et que ça va rouler bizarrement. Elle tient trop à sa bicyclette pour le laisser au milieu de nulle part. C'est son principal moyen de locomotion après tout. Et elle l'aime bien son vélo, c'est l'un de ses premiers achats en arrivant à Liberty, l'une de ses plus grosses dépenses. Depuis le temps, elle a pu complètement le rembourser que ce soit en le payant par mois ou bien avec son utilisation, mais elle veut tout de même le garder. Elle le fait inspecter une fois de temps à autre, il est presque comme neuf. Il a juste perdu un peu de sa couleur ici et là, rien de très grave. Il est loin d'être bon pour la casse son vélo. Elle va juste devoir changer une roue, il y a pire. Elle doit juste rentrer.
Une chance qu'elle est tout de même bien équipée pour plusieurs heures. Elle sait très bien qu'elle pourrait appeler quelques personnes avec une (gloups) voiture qui pourrait venir la chercher et mettre la bicyclette dans le coffre, mais, pour le moment, elle n'en ressent pas le besoin. Il fait beau, elle n'est pas blessée (enfin, un peu, elle fonce dans ses pédales de temps à autre en marchant) et ça lui permet de voir encore plus le paysage. Bon, c'est celui qu'elle a déjà vu en passant un peu plus tôt comme elle rebrousse chemin, mais ce n'est pas grave. Ce n'est pas toujours pratique pour prendre des photos comme elle doit mettre la béquille de son vélo à chaque fois. Elle ne se plaint pas, de toute façon il n'y a personne pour l'écouter, et continue d'avancer.
Après elle ne sait trop combien de temps, un son de sonnette se fait entendre.  Elle tourne la tête au bruit de la sonnette, son particulier dans cette ambiance boisée, se demandant pourquoi elle se fait sonner. Elle n'est pas au milieu du chemin, elle ne pense pas le bloquer. Il y a assez d'espaces pour qu'on puisse la dépasser.  À sa grande surprise, elle reconnaît la jeune femme qui l'a sonné, elle est aussi en vélo. Elle essaie de se souvenir du prénom sur le badge qu'elle porte. Ce qui ne prend pas beaucoup de temps, il est assez simple à retenir et elles se sont parlées de temps à autre les fois où elle a passé à sa caisse.
Elle sourit en l'entendant parler, c'est plutôt original, mais charmant, comme entrée en matière. – Bonjour. dit-elle, lui souriant. – Ça me dérange pas... si t'es pas pressée. accepte-t-elle, préférant tout de même l'avertir de sa non rapidité. Elle est sur jambes au lieu de deux roues. – Il a crevé. lui fut ensuite expliqué, tout en donnant un petit coup de pied sur le coupable qui ne réagit pas, ce qui n'a rien d'anormal pour un pneu. – Tu vas bien ? lui demande-t-elle. Elles ne se connaissent pas vraiment, mais sans le caractère formelle de elle la caissière et de elle la cliente, l'endroit où elles sont loin de toutes civilités (ou presque), elle ne voit pas l'intérêt de continuer de la vouvoyer.
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Jeu 28 Sep - 0:55
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L’invitation est acceptée, voilà qui donne le sourire à Sissy. Les marques de distance entre deux personnes qui se côtoient de manière professionnelle laissent place à quelque chose de plus amical qui correspond beaucoup mieux à l’environnement. La nature gomme les différences que la ville met en place. Ici, on pourrait entrer en mode survie et les compétences de chacun seraient réactualisées. Fini le pouvoir de l’argent, retour à celui du feu. Mais pour l’heure, ce n’est pas au programme. Il y a des vélos et des promeneuses. Il y a une rencontre au milieu de bois. Le monde ne s’est pas effondré sur lui même et les populations. Pas de guerres, pas d’OVNI, pas de créatures surnaturelles. Les arbres, certes les arbres, créatures naturelles en formes d’arabesques changeantes sous le souffle du vent. La chanson des feuilles a remplacé le tintement de la sonnette. L’explication de la marche à côté du deux roues suit de peu le bonjour, alors qu’Elizabeth donne un coup pied à l’une d’elles. — Ce n’est pas gentil de sa part. La promenade est écourtée par sa faute, si je comprends bien. C’est dommage. Les journées sont encore belles. Il faut en profiter. Sissy prend directement une résolution qu’elle met en application aussitôt. — Si tu marches, je marche. Elle descend de sa bicyclette pour joindre le geste à la parole. Elle sourit. Tout lui semble en harmonie. Peut-être qu’Elizabeth ajoute de cette sensation à celle que la nature offre aujourd’hui. Alors la réponse s’impose. — Je vais bien et toi ? Une question semblant être une simple formule de politesse n’en est pas une. Sissy veut vraiment savoir si sa compagne de marche se sent aussi bien qu’elle. La réponse lapidaire qu’elle a faite ne montre pas cet état. Trop peu expansive. Trop peu explicite. Comme elle ne sait comment dire cette sensation qui l’inonde, elle cueille une petite fleur bleue qu’elle glisse au-dessus de son oreille droite d’Elizabeth.— Tu es un rayon de soleil parmi les rayons de soleil. Tu vois, même les fleurs le disent, elles poussent dans ta chevelure comme entre les brins d’herbes. Sissy va bien et elle veut partager ce bien-être. — Tu viens prendre des photos ? La lumière est belle. Elle regarde la bicyclette à la roue vidée de son air qui en fait un moyen de non-locomotion. — Si tu as besoin de tes deux mains pour que ton appareil capte la meilleure image, je peux tenir ce crevé. Idée généreuse, même si elle peut s’avérer peu utile en soi, Elizabeth peut laisser son véhicule inutile au sol pour se libérer et prendre une photo.
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