☆ âge t'as encore du lait sur les lèvres. la jeunesse dorée qui coule dans les veines. tu joues les grandes mais t'es bien loin de l'être. parce que t'as la fougue des jeunes, celle qui rend si éternelle. parce que tu le sens, l'éternité. du haut de tes vingt-et-un ans, t'es la parfaite femme-enfant. celle qui sourit pour un rien mais celle aussi qui parle aussi des sujets d'adultes. tu divagues entre les deux, ne sachant pas se décider. les responsabilités des grands mais l'insouciance de la jeunesse. parce que t'es insouciante, tu te laisses porter au gré du vent sans résistance. c'est si simple. tu flottes comme une plume. ☆ genre t'as longtemps cherché à le cacher. à prouver à toi et autres que t'étais pas ça. femme, c'est presque une oxymore avec toi. pourtant t'as la beauté de ces vierges effarouchées. ta peau douce et tes formes ne trompent personne. t'y es fait à présent. t'es devenue celle que l'on connait tous avec ces vêtements qui te rendent si bien justice. alors tu ne te caches plus, t'as fait la paix avec ton corps. et c'est tant mieux. ☆ origines ton nom il  claque sur la langue. syllabes bien trop gutturales. bien trop d'ailleurs. ça s'entend tellement quand ton père parle. toi tu l'as un peu cet accent. parce que t'as ses gênes allemands. mais ils s'adoucissent avec tes racines américaines. celles de ta mère. t'es la rencontre parfaite entre une native américaine et un étudiant allemand. ton père est tombé amoureux des états-unis, mais surtout de ta mère. et t'es arrivée. c'est simplement comme ça. ☆ en ville en fait t'as jamais quitté la ville. t'es née ici. tu mourras probablement ici. c'est la logique des choses. ton coeur, il est ancré ici que tu le veuilles ou non. t'as jamais eu ce besoin de partir. ce sentiment étouffé de liberté. non. t'en as jamais eu besoin. ☆ statut t'as la beauté des femmes inaccessibles. celles qui sont si belles et tellement loin. pourtant ton coeur est tombé. il a fini par être heurté. t'as essayé d'éviter. de ne pas faire comme tout le monde. pourtant t'as été eu comme une idiote. l'amour ça rend con. l'amour ça fait mettre la tête à l'envers. et tu l'as si souvent dernièrement. t'es si bien avec lui. tu te sens femme. non. une autre femme en fait. de celle qui frissonnent à ses caresses. de celles qui pourraient presque lui céder. presque. parce que t'as beau être avec lui, t'es quelqu'un avec des principes. une éducation. peut être trop. et ça lui bouffe la vie à ton copain. parce que t'as toujours dit : rien avant le mariage. et tu tiens bon. ça fait six mois et t'es toujours intacte. pourtant il t'arrive d'y penser. de céder rien qu'une fois. pour voir ce que ça pourrait faire. mais t'as toujours cette voix qui revient. cette fuckin' voix. ☆ orientation sexuelle t'as jamais vu autre chose qu'eux au final. toujours eux et encore eux. les hommes et leurs problèmes. les hommes et leur égo. au final si ton éducation t'a cantonné à aimer le sexe opposé, tu sembles suivre la règle. t'as jamais eu à poser les yeux sur tes partenaires féminines. non, ça n'a jamais été ton truc. peut être que ça le deviendra un jour. qui sait. t'en sais trop rien. mais pour l'instant c'est loin de tes pensées. oh que oui. ☆ emploi ils t'ont toujours poussée. toujours plus loin. toi ça t'était égale. tu te laissais aller sans problème. alors après le lycée, t'as enchaîné la faculté de littérature. celle qui fait pourtant si peur. toi ça te va. t'y vas, tu te prends pas la tête. ça te réussit pas mal au final. tu sais jongler entre tout ça. après tout t'es la bonne petite fille. celle qui ne fait jamais défaut. après tout t'as même insisté pour subvenir à tes propres besoins. de toute façon t'avais pas le choix. alors tu t'es improvisée serveuse. chose que t'as du mal un peu parfois. mais c'est pour la bonne cause. bientôt tu raccrocheras ton tablier pour le meilleur. seulement voilà. c'est pas si simple. au fond de toi tu vois bien plus. toi la littérature, t'aimes l'écrire, pas la lire ni l'analyser. mais tu te tais. t'es pas assez bien pour ça. enfin tu le penses. tu griffonnes quelques idées sur ton carnet mais ça dépasse jamais les pages. parce que tu trouves ça obsolète. que ça n'arrive qu'aux autres et pas à toi. ouais. ☆ situation financière t'as jamais eu besoin. ça va. tu te débrouilles. tu payes ton loyer et c'est déjà bien. t'as pas besoin de plus au final. tu vis comme tu vis et ça te va. ☆ groupe blue moon.

cette vie, c'est pas forcément celle que t'aurais du mener. le destin en a décidé autrement. un peu comme un jeu de passe-passe, t'as été mis aux enchères dès ta naissance. ça n'aurait pas du. t'aurais pas voulu toi. pourtant t'as tiré le gros lot. une famille comme on en rêve tous. des parents aimants remplaçants les êtres perdus. tu les pleures encore parfois. pourtant t'as aussi l'amour des bancs de touche. et ça te réchauffe le coeur. pour toi, c'est comme si t'as toujours eu deux familles. celle de tes gênes, partie trop tôt. et celle de ton coeur, amour indéfini. alors ouais, t'es un enfant adopté. mais t'en as pas honte. loin de là. c'est pas quelque chose qui fait office de secret d'état pour toi. c'est presque normal au final pour toi. certes, il t'arrive parfois à penser à une vie comme tous les autres qui vivent avec leurs géniteurs. mais ça reste bien vite que des rêves. ta vie, tu l'aimes comme elle est. t'as appris à être heureuse avec ce que tu as eu, c'est bien. pourtant t'es pas toute seule. si t'as cru toute ta vie être la seule au monde. tu t'es bien trompée. parce qu'ici, les systèmes sont bien pourries. l'administration encore plus conne. mais t'as pas eu le choix. même tes parents adoptifs ont jamais pu rien faire. t'étais déjà dans la misère qu'il fallait t'en rajouter une. l'accident mortel de tes parents n'a pas suffit apparemment. parce qu'il n'y a pas que toi qui se balade dans le monde avec ces gênes-ci. non. un autre. un intrus. celui qui pourtant t'avais tout de suite accepté dès ta naissance. celui qui t'avait offert son doudou préféré la première fois qu'il t'a vue. lui. il n'a jamais oublié. il a toujours eu cet espoir. ce petit élan de positivité de te revoir un jour. peut-être. tu ne sais pas toi même au final. certaines fois tu te mets à penser à ta famille. à celle que t'as perdue. et ça te rend triste. parce que t'aurais aimé les connaître. savoir leur histoire. ton histoire. mais il n'y a rien qui revient. t'étais bien trop petite. c'était les derniers de votre branche. presque l’extinction d'une espèce. et toi ça te fait mal. parce que t'es sûre qu'il y aurait des choses à dire. t'aurais adorer parler pendant des heures de la rencontre de tes parents. comme avec ceux que t'as à présent. t'aurais aimé voir à qui tu ressemblais le plus. ou bien à qui tu piquais toutes tes petites manies. ouais t'aurais bien voulu savoir. pourtant rien ne te reste. pas même les restes des fantômes. rien. t'es tombée sur une famille pratiquante. ça aurait pu être une plaie pour certains. mais toi t'as grandi avec et t'as jamais eu à y redire. ça fait partie de toi. t'as une part qui est attachée à la religion. d'ailleurs, tu n'as jamais manqué un week-end à la messe avec tes parent quand tu étais plus jeune. néanmoins, cela fait pas de toi une fanatique bonne à être enfermée en asile. non. ta croyance en dieu est totalement intacte mais il est vrai que ta pratique reste plus moderne. tu loupes de plus en plus les rendez-vous dominicaux. mais si une question te taraude, t'hésites pas à venir à l'église pour la poser et prier. d'ailleurs, à ton cou, trône une jolie croix en or au bout de ta chaîne. tu ne la retires jamais, toujours proche de ton coeur. de cette éducation, il t'en reste pas mal de choses. comme des principes. oh que oui. t'es une fille à principes. ce n'est pas quelque chose qu'on peut te retirer. au grand damne de certains d'ailleurs. parce que toi quand tu crois à quelque chose, il est difficile de te le retirer. t'es quelqu'un de droit, de fidèle. par exemple, jamais tu ne pourrais coucher avant le mariage. non. pour toi ce n'est pas possible. cela peut te rendre prude, ou encore sainte-nitouche. mais tu t'en fiches. les a priori c'est pas ce qui te fait peur. et pis tu préfères être une fille coincée à principes qu'une autre. c'est tout. t'as toujours eu ça en toi en fait. petite tu prenais n'importe quel bout de papier pour écrire tes pensées. ça n'a pas changé. si aujourd'hui, tu ne manques jamais une occasion de remplir ton carnet, ça va bien plus loin. t'aimerais écrire. t'aimerais devenir la nouvelle george sand des temps modernes. l'albert camus au féminin. c'est ce que t'as toujours voulu. mais t'as toujours eu peur. de ce que les autres penseraient. si ça ne marchait pas. tu te poses trop de questions et ça t'empoisonnes la vie. alors tu caches tout ça. tu mets tes rêves au placard, quitte à les embrocher avant. parce que pour toi ces choses-là, ça n'arrive qu'aux autres. pas aux gens comme toi. tu te dois de rester dans la réalité. de ne pas te complaire dans des illusions pourtant si magiques. c'est sans doute pour ça que tu t'es lancée dans la littérature. si tu pouvais pas réaliser ton rêve, autant s'en approcher le plus. alors tes parents pensent que tu te prévois dans les éditions, du style éditrice. ça te plairait, sans doute. mais c'est une maigre compensation. mais tu t'en contentes. alors c'est avec le sourire que chaque matin tu te lèves de ton lit. ton miroir te renvoie parfois les nuits agitées dans ton reflet. il reste très rarement en mauvaise humeur. parce que tu te contentes de ce que tu as. tu joues dans la sécurité. et la faculté de littérature, c'est la sécurité. c'est mieux pour tout le monde sans doute; nan ? mais évidemment, les études ça coûte. tu peux pas te permettre de demander tout à tes parents. pour toi c'est pas possible. il faut te débrouiller. c'est pour ça que t'as fini par entrer dans ce café pour réclamer ce travail de serveuse. c'est pas forcément le meilleur métier d'étudiant mais t'as fait avec les moyens du bord. et c'est mieux que rien. parce que tu te sentais bien trop mal de voir tes parents s'arracher à la tâche pour toi. faut que tu participes. t'as vingt et un ans. tu peux pas passer ta vie ton cul sur le banc de fac. tu te dois de te bouger. en plus ton appartement est vraiment ton appartement maintenant. c'est le tien et t'en es fière. c'est étrange mais un simple travail peut remettre en question presque l'estime de soi. et ça fait du bien tout ça. un bon coup dans ta petite âme fragile. tu l'as rencontré lui. c'était pourtant pas prévu. toi l'enfant sauvage de l'amour. tu t'étais jamais réellement vue dans une relation. pas parce que tu fuyais l'amour. pas parce que les propositions manquaient. simplement parce que ton coeur n'était jamais tombé. et ne jamais dire jamais. parce qu'un jour t'étais là. et lui aussi. une rencontre banale. qu'on voit dans tous les films et romans à l'eau de rose. mais ça a été plus fort que toi. ça t'a aspiré le coeur bien trop vite. et t'es tombée. ça fait à présent six mois. plus ou moins. c'est presque étrange pour toi tout ça. mais tu t'y habitues vite. l'enfant sauvage a été dompté. maté même. pourtant tu restes cette gamine. celle qui croit tout ce qu'on lui dit, quitte à s'en rompre les os. parce que t'y crois à ses mensonges. à ses belles paroles. tu manies les mots avec précision seulement t'es incapable de voir son maquillage à lui. il te fait danser dans une danse mortelle. et toi t'y vas la tête la première. tu vois rien. t'entends rien. t'es comme un nourrisson qui sort du ventre de sa mère. t'apprends mais pas assez vite. parce que ça va finir par se retourner contre toi. et tu vas pas le voir venir. sa double-vie, tu vas te la prendre en pleine face.

tu ne sais pas tellement comment c'est arrivé. oh que non. c'est juste ... arrivé. sans doute une rencontre de trop. une soirée de trop. mais voilà. ta peau frisonne à chacun de ses frôlements. elle vibrerait presque. c'est presque irréel. toi. lui. c'est comme dans un songe onirique. une possibilité non envisagé. tu l'aurais pas cru. pas même quand tu l'as découvert ce soir devant ta porte. t'as cru d'abord à une blague. une très mauvaise blague. et pis les heures ont passé. les langues se sont déliées. et en voyant son regard t'as compris. tu l'as déjà vu ce regard. oui tu ne le connais que trop bien ce regard. celui qui te fait vibrer l'âme fortessimo. alors t'as fini par le laisser plus que de raison. plus que d'habitude. c'est sans doute parti de là. peut-être qu'inconsciemment t'accepter bien plus. qui sait ? toi-même tu sais pas trop. tu réfléchis pas trop. tu peux pas. parce que tu le vois arriver le moment. encore un autre. son regard se pose sur toi. il est différent. plus déterminé. plus... désireux ? sans doute. et c'est là. ses lèvres capturent les tiennes. sans crier gare. sans te demander. tu ne le repousses pas. t'as déjà pas repoussé sa main sur ton bras. elle te frôlait. te procurer des frissons. mais son baiser... c'est autre chose. une explosion. un feu d'artifice. les séries télévisées ne mentent pas. parfois embrasser quelqu'un peut être comparé à un feu de joie. tu le visualises très bien dans ta tête. tellement que tu t'y abandonnes. tu fermes les yeux. non. tu ne sais vraiment pas à quel moment ça a dérapé. sans doute quand il a commencé à parler de vous. de votre relation. de vos six mois. de jolies choses aussi. tu le pensais pas. mais lui aussi. il a l'air autant chanceux que toi. ça te fait presque sourire contre ses lèvres. c'était presque votre salut cette soirée. ou plutôt son salut. toi tu te damnerais pour lui. t'étais un peu larguée de ce côté-là. mais tu n'y penses pas. sans doute l'adrénaline. ce sentiment si fort que te procurent ses baisers. tu le savais. la tête dans les nuages te le témoignait assez. mais tu t'en fiches. ce soir, cela allait être votre soir. tes pensées étaient bien trop embrouillées pour réellement penser. tu finis par mettre tes mains sur son visage. tu te laisses aller à cette étreinte. ce plus lui. nahel. ou toi. mabel. c'est juste vos deux désirs réunis. votre besoin respectif d'affection. est-ce réellement de l'amour ? c'est à se demander. peut-être que vous vous comblez. peut-être que vous recherchez simplement de l'amour. lui le désavoué, et toi l'enfant-amour. ça ferait un bon titre de bouquin tiens. mais tellement cliché. mais tu te contentes de ça. alors quoi ? et demain ? t'y penses pas. c'est trop loin ça. a des années lumières. tu vis l'instant présent. c'est déjà ça. tu peines à respirer contre ses lèvres. mais t'as pas envie de te détacher. parce que ça sera sans doute pour toujours. alors tu t'accroches à son tee shirt. sa chemise. tu sais même plus. ses mains se baladent. sur ton corps. sur tes cheveux. ta respiration se bloque presque. ton coeur s'arrête. quelques secondes. avant de repartir. beaucoup trop vite. t'as l'impression qu'il sort de ta poitrine. ça te ferait presque mal de le sentir battre si fort. mais ça te rend si vivante. tes lèvres sont encore contre les siennes. elles se frôlent. « i'm not even sure this is real... je ne suis même pas sûre que c'est réel... » mais il ne te laisse pas finir. ses lèvres capturent à nouveau les tiennes. tu n'es plus toi. ou du moins t'arrives plus à l'être. sans doute la passion de l'instant. le désir presque éphémère. c'est là où vous avez dérapé. qui aurait cru ça de vous deux ? vous avez dérogé à vos propres rôles. mais tu t'en fiches. tu verras ça demain. ou jamais. c'est bien aussi jamais. tu laisses t'entraîner. oui. tu sens ses mains sur ton corps. elles glissent sur tes vêtements. sur ta peau. les frissons te parcourent. pire encore tu pourrais presque te donner là maintenant. tout de suite. parce que ce soir vous allez franchir la barre de l'interdit. le paroxysme de votre relation. cela aurait pu te donner le vertige. mais tu as accueilli ce moment avec assurance. le moment sans doute. ou c'est peut-être lui. sans doute des sentiments refoulés inconscients. tu ne penses pas. mais c'est probable. tout peut arriver avec vous de toute façon. alors tu laisses aller. juste pour une soirée. juste pour un moment. et ça te fait tellement du bien. de ne pas penser. a demain. aux conséquences. a tout en fait. tu lâches prise. tu tombes. mais tu t'en fiches.

non.

non. non.

un éclair te surprend. presque un état de conscience bien soudain. il t'a presque donné mal à la tête. et tout te revient. comme une baffe en plein visage. alors tu tentes de te débattre. de briser ce moment qui avait l'air quelques secondes à peine avant magique. parce que c'est pas ça. tu veux pas. c'est pas toi. non. il ne pouvait pas te faire ça. c'est la première fois que t'allais si loin. à présent que l'adrénaline était retombée. t'avais peur. alors tes mains se débattent. ton visage se déforme par hystérie. il avait le don de te rendre dingue. d'envoyer en l'air tout ce en quoi tu croyais. mais tu devais pas. tu t'étais faite une promesse. t'avais toujours dit jamais avant le mariage. et tu voudrais le respecter. qu'il le veuille ou non. t'étais pas comme les autres filles. celles qui soulèvent leur jupe pour un oui ou pour un non. non. toi t'étais bien plus que cela. t'avais des principes. ceux-là même qui t'ont explosé à la figure. quelques seconds à peine tu sens ses mains se détacher de ton corps. plus de frissons. plus de magie. il semble désarçonné. presque surpris. il avait cru. toi tu te recroquevilles toute seule. réflexe primal. t'aurais pas du. idiote. mais c'était plus fort que toi. tu sais pas pourquoi t'as laissé faire. sans doute parce que ton coeur en redemandait. fichus sentiments. alors t'attends. en foetus comme une enfant. les cheveux autour de toi comme une auréole. lui il s'assoit sur le bord du lit. avec juste un « you piss me off... tu fais chier sérieux... » tu sais. tu sais qu'il le pense. mais tu sais aussi qu'au final, il sera toujours là. qu'il respectera. il l'a toujours fait. et te l'a toujours dit. ça te rassure un peu. avec cette pensée ton coeur se radoucit un peu. tu laisses simplement ta main glisser jusqu'à son bras. pour dire que t'es là. que t'es désolée ? dans un sens ouais. parce que tes principes, tu sais très bien que ça n'a jamais été les siens. et que ça doit le bouffer de l'intérieur. mais il lutte. pour toi. et ça, ça vaut tout l'or du monde. n'est-ce pas ?

ce que j'ai pensé de ta fiche: ta fiche est un vrai délice à lire. je l'ai littéralement dévoré mabel est si divine et douce. j'ai hâte de voir votre trio à l'oeuvre - surtout que vos plumes vont tellement bien s'accorder. et vivement le moment où vous allez vous retourner contre nahel parce qu'il vous mérite tellement pas   bref, je te valide avec plaisir

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Ouais, nous on fout une nounou d'enfer, et plutôt deux fois qu'une   Quoi qu'il en soit, on te souhaite officiellement bienvenue sur le forum bébé ! On espère que tu t'y plairas et que tu kifferas ton aventure avec nous     alors ouais, on sait que ça part dans des délires chelous de martiens et de secte et qu'en plus, on a des gifs smileys un peu étranges... mais t'inquiètes pas, on va te guider et après, tu n'auras plus qu'à t'amuser en notre compagnie  
étape numéro une: t'es validey bebeyyyy maintenant il faut recenser ton métier !
étape numéro deux: pour pas crever en solo, n'oublie pas de poster poster ta fiche de liens et de poster par ici si tu te cherches des gens avec qui rp !
étape numéro trois: si t'as des idées de liens, tu peux bien évidement créer un scénario ou des pré-liens !  
étape numéro quatre: va flooder !! c'est un ordre  
étape numéro cinq: et puis, si tu as des questions, n'hésite surtout pas à poster ici ou à contacter le staff par mp    

Et puis, s'il y a des tcs/events en cours, c'est l'occasion de t'intégrer en t'amusant ! Amusez-toi bien sur le forum