should i stay or should i go ?
| Mer 5 Avr - 15:34 Invité |
[MARLEY AUGUSTINE] "all the makeup in the world won't make you less insecure" (teresa flawless oman) // hepburns[âge] vingt-et-unes bougies qui brillent dans la nuit, qu'on souffle et qui se consumment [origines] elle a l'amérique dans le sang, brooklyn dans la tête, denver dans le coeur. tant de déménagements qui l'ont finalement menée jusqu'ici, mais elle s'adapte tel un caméléon [en ville] depuis un an, trois mois, quinze jours [statut] instable [emploi] serveuse en soirée [$$$] se débrouille comme elle peut, claque son argent dans les clopes et la jeunesse [groupe] shining star keywords: imprévisible, libre, ouverte d'esprit, grande gueule, charismatique, joueuse, colérique, bruyante [a lot on my mind] Elle est sans limite, Marley. Ni dans ses paroles, ni dans ses gestes. Elle fait entendre sa voix, elle danse sur les tables jusqu'à ce que le jour se lève, elle rit à en pleurer et elle fume jusqu'à crever. Un poil rebelle, mais pas dangereuse. Un poil tarée, mais pas détraquée. Elle a arrêté de compter les jours, elle n'en a que faire de savoir si demain sera le dernier. Parfois enfant, parfois adulte, elle a le rire d'une gamine et l'habilité d'une femme. Elle aime s'amuser Marley, relever des défis, tester ses propres limites et celles des autres. Elle essaie, elle tombe, elle crie, puis elle oublie. Le sang chaud, la voix forte, le regard perçant, elle est de ceux qui ne réfléchissent pas assez et qui se prennent parfois les pieds dans leurs propres filets. Un peu allumée, elle se plaît à croire qu'il existe quelque part dans l'univers d'autres êtres vivants susceptibles de la retirer du monde humain. Un peu décalée, elle n'a jamais mis de limites à sa sexualité et couche comme elle embrasse, embrasse comme elle parle. Elle les aime cons, elle les aime belles, elle les aime fragiles et détraquées. Y a trop de choses qui se passent déjà dans sa tête que pour y rajouter des douleurs de coeur brisé.
Vie. Vie de nuit, vie de rêves, vie qui te borde dans ses bras remplis de douceur et légèreté. Vie qui t'accueille dans ses méandres, vie qui te murmure aux oreilles des promesses parfois non-tenues. Vie d'espoirs, sincères, grands, brisés, refaits. Rêves. Rêves de grandeur, rêves de belles choses, rêves qu'on oublie, qu'on déchire, qu'on se remémore, qu'on essaie d'atteindre quitte à en avoir les genoux écorchés. Rêves, rêves et promesses. Murmurées avec une caresse sur la joue, juste avant ton sommeil. Promesses rompues et promesses qui blessent, qu'on voudrait tenir mais qui dépassent la réalité. Promesses de joie, de bonheur, de vie parfaite, d'éternelle jeunesse. Et après, après la vie et ses rêves, la vie et ses promesses, la vie et sa réalité. Des fois dure, des fois futile. Réalité que tu touches du bout des doigts, que t'oublies parfois. Réalité d'un monde qui te brûle si tu souris trop, mais qui t'apprend en même temps à pouvoir jouer avec ses flammes. Réalité belle, réalité simple, quelques mots lâchés à la volée qui s'échappent dans le vent et disparaissent dans le passé.
“Bono met his wife in high school" "So did Jerry Lee Lewis" "I’m not kidding," he says. "You should be," she says, "we’re sixteen." "What about Romeo and Juliet?" "Shallow, confused," then dead. "I love you" "Wherefore art thou," "I’m not kidding," he says. "You should be.”
[story of my life] "voilà la fin, marley. on l'a attendue toutes les deux, toi moins que moi. on savait que ça arriverait, que bientôt viendrait le moment de nos aurevoirs. car non marley, je ne te dirai pas adieu. je resterai là quelque part, enfouie dans ton coeur, à vérifier que tu continues de réaliser tous ces petits rêves qui embellissent ton esprit vagabond. je m'assurerai que tu restes heureuse, même sans moi. que tu continues de nommer les étoiles, les appelant marianne ou jean-luc. que ton rire résonne toujours dans chaque pièce où tu te trouveras, et que tes yeux continuent de briller devant le menu d'un restaurant chinois. marley, promets-moi de garder cette joie de vivre contagieuse que tu as, et qui m'as aidée à tenir lors de mes derniers jours. ne pleure pas, et ne porte pas de noir. tu sais que je hais cette couleur. continue de faire tes mélanges grenadine et menthe, continue de gribouiller des dessins dans les coins de feuilles de tes cours, continue de croire que la vie est remplie de plusieurs paradis qui s'ouvrent à toi pendant ton sommeil. je t'aime marley. je t'aimerai toujours, où que je sois et quoi que je devienne." Il y a des choses que l'on ne peut pas effacer. Des paroles prononcées qu'on ne peut pas rembobiner, des chansons écoutées qu'on n'arrive plus à oublier. Le souvenir d'une mère qu'on a aimée, d'une femme qu'on a admirée, d'une amie auprès de qui on a ri et pleuré. Le temps passe, et ce souvenir se fait moins net, plus abstrait, une silhouette devenue floue à laquelle on essaie tant bien que mal de se raccrocher. Et tant qu'elle est là, cette silhouette floue, alors tout va bien. Tant qu'on oublie pas, tant qu'on ne se réveille pas un matin avec plus aucun souvenir sur la couleur de ses cheveux, de ses yeux, c'est qu'il y a toujours un peu d'elle quelque part. Marley, petite fille aux cheveux clairs. Marley qui tient la main de son père, vêtue de blanc. Pas de noir, comme elle le lui a demandé. Marley qui retient ses larmes, qui fait face à une réalité qu'elle n'était pas encore prête à affronter. Toute vie s'accompagne d'une mort, mais aucune mort ne doit emporter une vie. welcome home, lady happiness. " Des fois, on l'appelle Augustine comme si c'était son prénom. Des fois, on en arrive à oublier qu'elle est Marley. Et pourtant, une fille comme ça, t'es pas capable de la rayer de ta mémoire facilement. Elle a ce truc en plus tu sais, ce coté mi-chiant, mi-attachant, qui fait que tu sais jamais trop si tu l'apprécies ou pas. Tu la supportes, voilà. Elle est cool comme fille, surtout qu'elle tient pas l'alcool. Elle boit souvent pourtant, enfin pas non plus comme un alcoolo. Mais elle aime le vin, la bière, le whisky, et elle accompagne toujours ça d'une clope sortie de son paquet infini. Et parfois, tu sais pas pourquoi, elle devient une sorte de môme que t'as envie de prendre dans tes bras. Elle dégage un truc enfantin qui reste jamais longtemps, un rire sage et des gestes de petite fille. Puis elle change, devient quelqu'un d'autre, comme si elle avait plusieurs visages. J'crois que c'est pour ça qu'on l'apprécie, Augustine. Parce qu'elle est étonnante, épatante, qu'on sait jamais à quoi s'attendre avec elle. " Son rire perce la nuit, ses joues écarlates contrastent avec sa peau claire. Elle danse d'un pied à l'autre, cherche son équilibre, murmure les premières notes de Seven Nation Army puis oublie la suite et rit à nouveau d'elle-même. Une cigarette entre deux doigts, une bouteille presque vide dans sa main libre, et son amour pour les étoiles qui se trahit par la rapidité qu'a son regard à trouver le ciel. Son short en jean est déchiré aux bords, les semelles de ses baskets ne font aucun bruit quand elles se posent sur le béton de la route. Elle en oublie qu'elle n'est pas seule, et se tourne dans un bond vers la personne qui se trouve derrière elle. Vieil ami, connaissance de trois mois, déjà considéré comme un proche pour ne pas perdre de temps. Elle a toujours eu facile avec les autres, elle aime leur contact et tout ce qui peut faire d'eux des personnes uniques. Elle sourit, soupire, marche à reculons et tire une nouvelle fois sur sa cigarette avant d'ouvrir la bouche pour parler. « J'aime ça, t'sais. Être vivante. Genre... pleinement vivante. Je voudrais vivre éternellement sans vieillir, ou alors en devenant une sorte de grand-mère qui claque et qui écoute du heavy metal en cuisinant des space cakes. Mais j'veux pas que ça s'arrête. Tout ça, toi et moi sur cette route, le monde. J'crèverais pour rester en vie. » Et elle sourit, encore, laissant ses paroles flotter dans l'air comme la nuée de nicotine qui s'échappe de sa clope.
[LITTLE BUG/SOPHIE][âge] dix-neuf prouts [pays] belgique [personnage] inventé [commentaires]
Dernière édition par Marley Augustine le Jeu 6 Avr - 22:03, édité 9 fois |
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should i stay or should i go ?
| Mer 5 Avr - 15:55 Invité |
abram + ouais je trouve aussi, elle a un charisme de dingue et ses yeux credence + dude, tu joues un de mes biggest crushes, attend-toi à me voir débarquer sur ta fiche de liens cecylia + heeen merci, ça fait plaisir poppy & ellie + les belges domineront le monde merci tout l'monde |
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should i stay or should i go ?
| Mer 5 Avr - 17:19 Invité |
OKAY SARAI (ça rime, classe à 100%) J'SUIS CHAUDE babe + j'lai jamais jouée, we'll see mais je trouvais qu'elle collait trop bien à l'idée que j'ai de marley, même si c'est encore flou merci, toi par contre j'kiff ton avatar |
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