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je commence les livres par la fin et j'ai le menton haut pour un rien  :: (avant-propos) :: version 1.0 :: a place like home
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Dim 20 Déc - 15:08
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   gabriella kristensen
   “lost boy from neverland”

nom, prénoms: héritant du nom de famille de son père, kristensen, célèbre peintre de son époque, alors que sa mère lui a cédé son second prénom, gabriella, par symbolique âge: c'est à peine si elle voit les années défilés depuis qu'elle a fini ses études, ses vingt-six ans sont arrivés à une vitesse affolante origines et nationalité: ella n'a jamais réelement eu l'occasion de connaitre sa mère, une anglaise trop occupée à faire le tour du monde alors que son père donnerait corps et âmes pour elle, ce norvégien qui est venue s'expatrier en californie pour souffrir du mal de pays, espérant ainsi retrouver l'inspiration à pasadena depuis: elle n'avait que deux ans lorsque s mère l'a embarquée dans un avion, elles ont cherché durant un an l'endroit parfait, vingt-trois ans qu'elle est ici et jamais elle n'a pensé à quitter ce pays statut: alors que plus jeune, elle était en quête de l'homme parfait, elle finit par accepter son sort, célibataire forever ans always... emploi ou études: après avoir tenté ma chance en psychologie, j'ai finalement entrepris de devenir directrice de centre pénitentiaire, poste que j'occupe depuis six mois maintenant, après avoir passé quelques temps en tant qu'éducatrice de la protection judiciaire de la jeunesse orientation sexuelle: les hommes, elle n'aime que les hommes, c'est une hétérosexuelle qui n'a jamais été audacieuse au point de gouter le fruit défendu quartier de résidence: quartier chic de la ville, elle s'est installée au sud de california boulevard dans les alentours de huntington library et botanical gardens depuis deux ans type d'habitation: une maison, une trop grande maison avec un trop grand jardin pour une personne comme gabriella, elle le partage volontiers avec des amis lorsque l'occasion se présente statut financier: héritant d'un héritage colossale de sa famille maternelle, elle a réussi à se construire un statut plus que raisonnable, voir même défiant ses rêves les plus fous groupe: ERROR404 caractère: drôle, maligne, chaleureuse, aimante, jalouse, rancunière, franche, romantique, susceptible, charmante

◊ the geek inside you
si la jeune femme ne devait faire qu'une seule chose dans sa vie, se serait certainement manger devant son ordinateur, c'est un véritable ventre sur patte qui passe son temps à grignoter devant son écran ☆ loin d'être une geek, elle passé énormément de temps à travailler en écoutant des vidéos disponibles sur youtube, plus particulièrement celle portant sur les jeux-vidéos sans pour autant passer son temps à y jouer ☆ elle ne considère pas sa mère comme telle, pour gabriella, son père endossait à merveille ses deux rôles et, encore aujourd'hui, elle ne pourrait se passer de ses précieux conseils ou alors pour son merveilleux chili con carne ☆ plus jeune, elle était entourée d'une multitude d'amis, trop pour pouvoir s'occuper de chacun d'eux comme elle l'aurait toujours voulu ☆ elle voue presque un culte pour les chansons françaises, edith piaf est une véritable reine de la musique à ses yeux, bien qu'elle n'en comprend pas un traitre mot ☆ beaucoup trop de personne idéalise sa personne car elle montre toujours la meilleure partie d'elle-même, sans jamais faillir ou se mettre en colère contre quelqu'un ☆ c'est une grande naïve, qui voyait en tous un bon fond, les bad boys ont fait longtemps parti de sa vie ☆ elle a la phobie des volatiles, plus particulièrement les pigeons ☆ c'est une grande sportive, elle court au moins trois fois par semaine, fait partie d'un club de tir à l'arc ainsi qu'un de self-défense ☆ elle est constamment au téléphone ou en train de pianoter dessus, son travail lui prend énormément de temps et d'énergie, il lui arrive parfois de regretter son ancien poste

PRÉNOM/PSEUDO: lesjoliesfleurs AGE: vingt ans PAYS: fr AVATAR: dianna agron TON PERSONNAGE: scénario de seth CREDITS: hqgifhunts (gif) MOT DE LA FIN: dead



Dernière édition par Gabriella Kristensen le Dim 20 Déc - 21:18, édité 7 fois
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Dim 20 Déc - 15:09
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◊ the story of you and I
Il faisait chaud, trop chaud pour un mois de septembre. Alors qu’habituellement, j'avais déjà enfilé un pull et laissé les chemisiers dans un coin de mon armoire, cette année, le pays frôlait les trente degrés et les arbres mourraient peu à peu de cette sécheresse qui avait coûté la vie à bon nombre de personnes, trop fragiles pour survivre à ce qu’était la vie, pas assez forts pour se battre contre le destin. Mais qui étais-je pour juger ses personnes qui, contrairement à moi, ne se battait pas contre des fantômes ? « Il n’est pas fait pour toi, tu mérites beaucoup mieux que quelqu’un qui se volatilise au moindre problème, qui te fasse pleurer sans remords. » Assis sur les marches de notre vieille maison, Seth essayait de se battre à ma place, de chercher à arrêter de rester devant chez moi, mon téléphone à la main, attendant désespérément un signe de vie. « Il ne te donnera jamais ce que tu veux vraiment. » Debout devant moi, j’avais l’impression d’être la souris et qu’il était le chat, je me sentais encerclée, prisonnière alors qu’il pouvait me juger, me détruire plus que je ne l’étais déjà mais, il était fidèle à lui-même. Seth avait toujours su faire ressortir le meilleur de moi-même. Il était comme une partie de moi, celle qui m’empêchait d’abandonner. « Qu’est-ce que tu en sais ? » Une réplique sèche et cinglante, mon ton en disant long sur mon état d’esprit. J’espérais qu’il finirait par se taire pour venir par s’asseoir à côté de moi, à attendre encore et toujours.  « Je te connais par cœur. Tu as envie de quelqu’un qui prenne soin de toi, qui t’aime telle que tu es. » Je levai les yeux vers lui, étonnée de sa réaction. Que lui prenait-il ? Oui, il me connaissait que trop bien, un mal pour un bien, une bénédiction comme un handicap dans certaine situation, comme celle-ci. Je levai les yeux au ciel. « Et tu as ça en stock, peut-être ? » Un rire. Aussi faux qu’il puisse être, j’avais fini par croire que je n’étais assez bien pour personne, j’étais une simple fille que l’on prenait pour mieux jeter par la suite. Puis, la réponse fatidique arriva. Moi, répondit-il. Un creux s’installa dans mon estomac alors que ma lèvre supérieure se mit à trembler, dansant alors que sa réponse résonna encore et encore. « Qu… quoi ? » Dire que j’étais étonnée n’aurait été que mensonge, nous savions l’un comme l’autre qu’il y avait une certaine alchimie, un quelque chose qui faisait de nous des inséparables. Je pensais que cela resterait un message silencieux pour toujours. « Ne fais pas comme si tu ne le savais pas. Je t’aime, et ça ne date pas d’hier. » Prise au dépourvu, mon cerveau s’activait alors que mon cœur battait chamade, j’avais cette désagréable impression que tout le monde pouvait l’entendre. « Seth… tu ne comprends pas… je l’aime. » Oui, non, peut-être. Je ne savais pas réellement ce qu’était l’amour. Mais lui, savait-il ce qu’était de m’aimer ? d’aimer une éternelle insatisfaite, cette nana qui n’aimait rien mais qui aimait tout à la fois. « Tu aimes l’image que tu te fais de vous deux. Ce n’est pas la réalité. Je vais me battre pour toi ! » C’est ce qu’il fit, encore et encore jusqu’à ce qu’il se rendre à l’évidence alors qu’il me fallut des années pour me rendre compte ce que j’avais manqué.
– – –

Assise derrière mon bureau, j’examinai de près le dossier que je venais de recevoir, soupirant une première fois en voyant l’âge de notre nouvelle recrue. C’était certainement l’aspect du métier que je détestais le plus : savoir ce qui s’était passé, pourquoi une gamine comme celle-ci devait rendre des comptes devant des juges et des regards réprobateurs. Mon job était de les aider, mais pas trop, de leur donner confiance en eux sans que je puisse pour autant leur faire confiance. La porte s’ouvrit. Les menottes autour des poignets, les cheveux bonds platines et les yeux sombres, elle donnait froid dans le dos. Je me redressai sur mon siège en lui montrant la chaise du menton sans dire un mot, le regard vide et l’air digne. Quelques secondes passèrent où nous nous observions mutuellement. Je pouvais lire sa détresse, sa colère et sa peur en un battement de cil, le contraire aurait été étonnant. « Veux-tu du thé, Joyce ? » Elle hocha brièvement la tête sans dire un mot. Je me levai pour mettre la bouilloire en marche, la lumière rouge m’indiqua que cette vieille machine ne m’avait toujours pas lâché après presque dix ans de vie commune. Appuyée contre le meuble, les bras croisés, je repris la parole, aussi sûre de moi que je puisse l’être. « Tu veux me parler de ce qu’il s’est passé ? » Elle leva les yeux pour la première fois depuis son arrivée dans la pièce, elle avait daigné lever le regard de ses rangers pour me fusiller du regard, un grand classique. Un sourire se dessina sur ses fines lèvres. « Pourquoi me poser cette question puisque, visiblement, vous avez lu mon rapport ? » Un autre classique, pour le moment, tout se passait comme d’habitude. « Parce que j’aime entendre la véritable version des faits. » Joyce posa ses mains sur le bureau, les menottes tintaient alors que s’amusait à pianoter sur le bois vernis. Je détestais ce bruit. « Que dire… j’ai simplement tiré sur mon fiancé. » J’hochai la tête, l’incitant à continuer. « Il m’avait trompé, le salaud, je ne pouvais pas lui laisser s’en tirer comme ça. T’en penses quoi, toi ? » Il rit, c’était un rire que je connaissais que trop bien, l’ironie. « Mais pourquoi j’te demande tout ça ? t’y connais quoi à l’amour, en fait ? Rien, si j’en juge par ton doigt nu à plus de vingt-cinq ans. T’as l’air tellement chiante, tellement sûre de toi, tellement aveugle pour te rendre compte que les gens ont besoin de toi alors que tu t’es enfermée dans ce boulot minable. » Sa voix n’était plus la même, c’était celle d’un souvenir trop lointain, trop douloureux, qui me crevait le cœur. Le bip de la bouilloire me fit sortir de ma transe. Je n’étais même plus sûre de ce qui était vrai ou ce qui sortait de mon imagination. C’était ma réalité, mon manque de dissociation du vrai et du faux, trop bonne pour être juge mais pas assez pour être avocate. Je pensais avoir trouvé ma voix parmi ses gosses qui ne demandaient que de l’aident mais, en réalité, qui cherchait réellement à se trouver, eux ou moi ?


Dernière édition par Gabriella Kristensen le Dim 20 Déc - 18:57, édité 4 fois
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Dim 20 Déc - 15:18
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belle emily love
bienvenue ! I love you
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Dim 20 Déc - 15:21
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Bienvenue officiellement et merci de tenter mon scénario bigeyes
N'hésite pas à me harceler amour
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Stella Burrows
lost in the world
Stella Burrows
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Dim 20 Déc - 17:19
Stella Burrows
Bienvenue sur le forum et excellent choix de scénario ! si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas cara cara
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Dim 20 Déc - 17:20
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dianna ! ça me rappelle mes "années glee". cara
bienvenue parmi nous jeune padawan !
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Dim 20 Déc - 19:26
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Ta fiche est parfaite I love you
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Dim 20 Déc - 20:14
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Bienvenue I love you
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Stella Burrows
lost in the world
Stella Burrows
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Dim 20 Déc - 21:05
Stella Burrows
Super, je valide alors. Amuse-toi bien ma belle I love you
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