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l'amour du jeu (jules)  :: (générique de fin) :: dead end :: v1 :: archives rp
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Sam 8 Juil - 1:26
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Il pense à lui. Encore. C'est presque une routine depuis qu'ils se sont quittés il y a quelques jours. Tristan s'est incrusté chez Jules. Il a dormi dans son lit et à ses côtés. Il l'a enlacé, s'est agrippé à lui. Juste pour ne pas qu'il parte, qu'il s'échappe. Il sait très bien que Jules, il est capable de se barrer pour des excuses bidons ou au moins de tenter. Tristan a été bien sage. Il n'a rien fait de déplacé, enfin à part peut-être un petit rêve avec Jules dedans mais bon, c'est pas comme si ça allait se savoir. Il y aussi le petit baiser qu'il a déposé dans son cou, celui juste avant qu'il ne quitte le lit. Le lit et Jules, son corps chaud; son souffle tout doux et son visage encore endormi. Tristan l'a observé. Etrangement, il ne l'a pas trouvé moche. Ouais, en général les gens qui dorment, visuellement c'est pas trop ça. Sauf que là, c'était une vue agréable. Il était beau. Il a eu envie de caresser sa joue. De jouer avec ses cheveux, de l'embrasser pour le réveiller. C'est son côté emmerdeur. Mais il n'a rien fait. Tristan a eu une meilleure idée. Il ne sait pas s'il doit la trouver vicieuse ou pas. Elle l'est probablement. Il lui a écrit un mot. Dedans, y'avait des phrases pour l'emmerder et puis aussi une adresse -la sienne bien sûr- avec une heure de rendez-vous. Et aujourd'hui, on y est. Tristan a tout préparé. Bon, à la base il n'était pas trop pour avoir la tête un peu bleutée mais son père s'est légèrement emporté. Tristan minimise les choses en parlant plutôt d'égratignures même si c'est plus sérieux. De toute façon, il a trouvé la parade et compte bien prétendre que c'est en se battant pour Jules qu'il a eu tout ça. Oui, ça fait classe non ? Et puis, ce n'est pas ces quelques blessures qui pourraient nuire à son charme. Il fait avec. Tristan attend devant le portail. Il scrute l'horizon puis ses yeux glissent vers sa montre. Jules, Jules. Où es-tu ? Il ne faudrait pas que son invité lui fasse faux bond.
Et le seigneur semble avoir entendu ses plaintes, ses lamentations. Il le voit finalement. Et son sourire ne peut que s'élargir.

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Sam 8 Juil - 11:30
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Il se sent déraper. Devenir un peu fou. Un peu amoureux, non, grosse blague. Il n’est pas comme ça, il ne le sera jamais. Malgré tout. Malgré son esprit qui divague souvent et pense aux lèvres de Tristan. Malgré ce rêve qu’il a fait alors qu’il dormait dans ses bras, des ébats chauds et des gémissements qui l’ont fait se réveiller en sueur et surtout avec un souci en bas. Jules préfère le déni, celui qui vous fermer les yeux sur le plus évident. Tristan l’attire, il y’a même un peu plus de sentiments là-dedans, ce n’est pas juste physique. Parce que les autres, ceux qu’il trouve juste beaux, à son goût. Il a réussi à y résister. Ce n’était même pas si difficile que ça. Mais Tristan est une faiblesse et il devrait s’éloigner de lui. Partir loin, se blottir un peu plus dans les bras de sa magnifique petite amie et poser la tête sur sa poitrine voluptueuse. Mais il n’y a rien de ça. Le garçon le hante. Il pense à lui, encore et encore. Ça ne s’arrête jamais. Il veut juste un instant de répit. Mais Tristan ne cesse d’attaquer, encore et encore, lui aussi. Il se fait indispensable dans sa vie pour que chaque pensée lui soit dirigée. Ça ne fait que quelques jours depuis qu’ils ont dormi dans la même lit, Tristan est parti tôt, a laissé une place froide à ses côtés. Pourtant, Jules lui en reconnaissant, il ne pense même pas à la gêne qu’il aurait ressentie de se réveiller face à lui. Par contre, il a une bonne idée de la gêne qu’il ressent maintenant qu’il est nez à nez avec Tristan. Il a accepté le rendez-vous. Mais il y’a les souvenirs qui refont surface. Son foutu rêve mouillé. Il revoit Tristan nu et en sueur, leurs corps qui s’épousent et lui qui lui crie, indécemment, de continuer, d’aller plus fort, à quel point il lui fait du bien. Jules rougit et baisse les yeux. Cette simple pensée l’excite, putain. Il arrive devant lui, observe son visage, un peu amoché. Jules sait qu’il est arrivé que c’est foutu pour lui quand il le trouve beau malgré tout.Il se sent déraper. Devenir un peu fou. Un peu amoureux, non, grosse blague. Il n’est pas comme ça, il ne le sera jamais. Malgré tout. Malgré son esprit qui divague souvent et pense aux lèvres de Tristan. Malgré ce rêve qu’il a fait alors qu’il dormait dans ses bras, des ébats chauds et des gémissements qui l’ont fait se réveiller en sueur et surtout avec un souci en bas. Jules préfère le déni, celui qui vous fermer les yeux sur le plus évident. Tristan l’attire, il y’a même un peu plus de sentiments là-dedans, ce n’est pas juste physique. Parce que les autres, ceux qu’il trouve juste beaux, à son goût. Il a réussi à y résister. Ce n’était même pas si difficile que ça. Mais Tristan est une faiblesse et il devrait s’éloigner de lui. Partir loin, se blottir un peu plus dans les bras de sa magnifique petite amie et poser la tête sur sa poitrine voluptueuse. Mais il n’y a rien de ça. Le garçon le hante. Il pense à lui, encore et encore. Ça ne s’arrête jamais. Il veut juste un instant de répit. Mais Tristan ne cesse d’attaquer, encore et encore, lui aussi. Il se fait indispensable dans sa vie pour que chaque pensée lui soit dirigée. Ça ne fait que quelques jours depuis qu’ils ont dormi dans la même lit, Tristan est parti tôt, a laissé une place froide à ses côtés. Pourtant, Jules lui en reconnaissant, il ne pense même pas à la gêne qu’il aurait ressentie de se réveiller face à lui. Par contre, il a une bonne idée de la gêne qu’il ressent maintenant qu’il est nez à nez avec Tristan. Il a accepté le rendez-vous. Mais il y’a les souvenirs qui refont surface. Son foutu rêve mouillé. Il revoit Tristan nu et en sueur, leurs corps qui s’épousent et lui qui lui crie, indécemment, de continuer, d’aller plus fort, à quel point il lui fait du bien. Jules rougit et baisse les yeux. Cette simple pensée l’excite, putain. Il arrive devant lui, observe son visage, un peu amoché. Jules sait qu’il est arrivé que c’est foutu pour lui quand il le trouve beau malgré tout. « Cadeau d’un autre mec dont t’as baisé la copine ? » demande-t-il en pointant ses égratignures des yeux. demande-t-il en pointant ses égratignures des yeux.
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Sam 8 Juil - 11:35
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Tristan attend. Et puis l'invité arrive. Jules, son jules. Sourire carnassier, il l'observe. Décidément, Jules lui plaira toujours. Tristan en est certain. Ils se regardent, redécouverte. Tristan rit légèrement à sa remarque. « Non, je voulais juste que tu t'apitoies sur mon sort. » Il s'approche un peu de lui et vient murmurer à son oreille. « Et que tu sois...gentil avec moi. » Il lui attrape la main sans demander son avis. Tristan tire ensuite Jules à l'intérieur. La grille se referme et il continue de sourire. Sa poigne est ferme, il ne compte pas lâcher la main de Jules. Surtout qu'il n'y a aucun danger. « Détends-toi, aujourd'hui c'est que toi et moi. »Il n'y a personne à part nous. Tristan lui fait découvrir quelques pièces de la maison. Il s'improvise guide pendant deux secondes. Sauf que la partie la plus importante est à l'étage. Et il s'agit de sa chambre. Il l'entraîne sans trop lui demander son avis. Tristan, c'est pas le style. Non, loin de là même. Encore moins avec Jules. Maintenant qu'il est là, c'est pas le moment de niaiser. Ils montent les escaliers, l'étage leur apparaît. Et puis Tristan ouvre la porte du paradis. Son refuge. « C'est ma chambre. » Il sourit et ouvre la porte. Il pousse Jules à l'intérieur. « Alors ça te plaît ? » Question réellement inutile. Peut-être qu'il a envie que Jules y reste. « T'as emmené un maillot de bain j'espère. » Sourire en coin. Il veut le voir se décomposer sous ses yeux. Mais Tristan, au final, n'est pas si cruel. Il se reprend vite, rectifie. « Je rigole, enfile juste celui sur le lit. » Il a tout prévu. Plan parfait, comme lui peut-être bien. « Je vais mettre le mien et on se rejoint en bas. » Il disparaît. Tristan a Jules pour lui tout seul alors il veut en profiter. S'amuser avec de lui de n'importe quelle façon.

Rez-de-chaussée. Tristan, il ne se gêne pas pour le détailler. Jules est sculpté, œuvre d'art à regarder. Il lui sourit finalement et se dirige vers la piscine. « J'ai pensé que tu voudrais peut-être te baigner ? » Tristan trempe son pied dans l'eau. Température idéale, le soleil tape. C'est une après-midi de rêve en Corse. Jules se tient à ses côtés, peut-être parce que Tristan ne le lâche pas d'une semelle. Il se met à le fixer. « Moi j'ai très chaud. » Tristan, il ne parle pas franchement du soleil. Juste de l'effet Jules et c'est brûlant. Il attrape leurs serviettes et les jette sur le transat. Et Tristan, il a encore une esquisse malicieuse. Il ne compte pas s'arrêter là. Il a prévu pire et il est temps de mettre ce plan à exécution. Phase numéro 1 : avoir Jules en maillot de bain. Phase numéro 2 : amener Jules au bord de la piscine. Phase numéro 3 : en cours. Tristan vient poser sa main sur l'épaule de Jules. Sauf qu'il n'y aucune caresse, il le regarde juste avant de lui sourire une dernière fois. C'est sans aucune hésitation qu'il le pousse dans la piscine. Il se jette ensuite dans l'eau pour le rejoindre. Et aussi pour le coincer. Tristan, il va probablement se faire engueuler. C'est qu'un connard et il le sait. Sauf qu'il aime encore plus son Jules tout mouillé. Têtes à la surface, Tristan vient encadrer Jules contre une paroi. Ils sont proches, très proches même. Et Jules peut répliquer, Tristan parle. « Alors est-ce que t'as pensé à moi hier soir ? Est-ce que t'as rêvé de moi ? » Il ne s'attend pas à une réponse positive, enfin pas du plein gré de Jules. Ses mains viennent tenir le visage de Jules. Heureusement qu'ils ont migré dans la partie de la piscine où ils ont pied. « Moi j'ai rêvé de toi. Toi et tes lèvres. Si j'étais pas bien élevé, je t'aurais déjà embrassé. » Il continue de lui sourire et de rester proche de lui. Cette proximité, il en a besoin. Phase 3 : accomplie.
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Sam 8 Juil - 11:37
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Il a ce sentiment en lui durant tout le chemin. Comme une certitude. Il est en train de faire une connerie. C’est simple, sans le moindre doute. Il n’a pas à être là. Il aurait dû passer sa journée libre avec sa petite-amie, sortir avec elle quelque part et passer du temps en sa compagnie. Juste renforcer leur relation. Au fond, Jules n’a même jamais su pourquoi il a commencé à sortir avec elle. Surement parce qu’elle était jolie et lui montrait de l’intérêt, bien qu’il ne sache pas lui-même pourquoi. Il est quelconque, pauvre qui plus est. Etre avec elle c’est choisir la facilité et c’est ce qu’il préfère. Alors pourquoi est-ce qu’ils accourent vers les problèmes. Ils ont même un nom et c’est Tristan. Tristan qui l’observe déjà de sa haute toujours avec sa tête de con qu’il aimerait cogner (puis embrasser doucement parce que ses traits sont bien trop parfaits pour que qui que ce soit ne les altèrent.) Il soupire. Tristan, Tristan. Il devrait détester les mecs comme lui, chercher à l’éviter le plus possible. Mais il marche de lui-même dans la gueule du loup. Bel animal. « Ne raconte pas de connerie et lâche ma main, on dirait un pédé. » grogne-t-il en bougeant sa main, pourtant l’autre a la poigne ferme et il n’arrive pas à s’en dégager. Il soupire. Ils rentrent à l’intérieur. La maison est grande, immense. Jules tente presque de calculer combien d’appartements comme le sien tiendraient dans cet espace mais il arrêta après quelques secondes. Plus qu’il ne peut en compter peut-être. Tristan susurre qu’il n’y a qu’eux deux pour la journée. « On est seuls ? » répète-t-il, absolument pas détendu. C’est même l’effet inverse. C’est beaucoup trop dangereux mais il est déjà là. Tristan le fait entrer dans sa chambre et Jules a un pas incertain. Il ne veut pas rester dans cette chambre ni que Tristan se fasse des idées ou tente de la faire faiblir encore. Jules est déjà passé par là la dernière fois. Il connait les petits regards de Tristan, ceux qui le font succomber, beaucoup trop bien. Si la chambre lui plait ? Il regarde un peu autour de lui. « Elle te ressemble. » C’est tout ce qu’il lui offre en réponse, l’autre peut la comprendre comme il veut. Puis il tourne les yeux en direction du lit où repose un maillot de bain. C’est un énième soupir las qui filtre de ses lèvres entrouvertes avant de passer une main dans ses cheveux. « J’imagine que je n’ai pas vraiment le choix. » Il le laisse partir et enfile le short, un peu trop court, ou peut-être c’est juste fait ainsi. Il ne se baigne pas souvent à la plage, quant à aller à la piscine, il préfère dépenser le peu d’argent qu’il se garde pour autre chose.

Ils quittent la demeure et Jules sent le regard sans gêne du brun sur lui. Tristan semble aimer le pousser à bout, jusqu’à ce qu’il n’ait aucun point de fuite. Il le regarder tremper ses pieds dans l’eau et ne bouge pas, ne lui répond pas non plus. Ça ne servirait à rien. Il ne peut pas lui sortir les idées de la tête. Simple calcul, ce serait une perte de temps. Il sent une main sur son épaule et il a à peine le temps de se tourner qu’il se retrouve dans l’eau. « Putain. » lâche-t-il quand il a enfin la tête hors de l’eau, froide. Il plaque ses cheveux en arrière, il ouvre à peine les yeux que Tristan est déjà devant lui. Il est comme un prédateur et Jules déteste être la proie. Il est contre la paroi, pourtant il pourrait pousser Tristan et fuir s’il le veut. Est-ce qu’il le veut ? Les souvenirs du rêve avec Tristan lui reviennent en boucle et ses joues s’empourprent systématiquement. « J’ai pensé à ma petite-amie hier, j’ai rêvé d’elle aussi. » ment-il sur le ton de la défensive. Il fronce les sourcils, sa poing vient se poser sur le torse de Tristan, pourtant il ne pousse pas. « N’essaye même pas de le faire. » le menace-t-il, pourtant ses yeux sont rivés sur les lèvres humides de Tristan. Il en a terriblement envie aussi.
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Mar 11 Juil - 0:25
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Jules le repousse. Il voudrait se décoller de lui, lui échapper et Tristan ne peut pas laisser faire ça. Poigne bien trop ferme pour être évitée. Il a pris soin de le garder captif. Jules sera à lui aujourd’hui, c’est une certitude. Tristan sent très bien sa crainte. Ses questions, ses tentatives pour l’éviter. Impossible pourtant de se défaire de lui. Tristan est tenace, borné. Et Jules n’a même pas vu la moitié de ce qu’il est capable de faire. Réponse évasive concernant la chambre. Il fallait s’y attendre. Sourire arraché, Tristan disparaît. Jules avait raison : il n’a pas le choix. Il devra se plier à ses envies, au moins un peu. Il lui aurait bien proposé de se baigner nu mais Jules est coincé. Ce n’est pas forcément une bonne idée. Et puis il ne veut pas le faire fuir, bien au contraire. Si Tristan s’est assuré que la maison serait vide, c’est bien pour inviter Jules et profiter de lui tranquillement. Tristan, il déteste qu’on se mêle de ses affaires, qu’on touche à ce qui est à lui. Bon officiellement Jules appartient à cette copine qui le trompe sans problème mais ça, c’est une autre histoire. Tristan s’en fout à vrai dire. Jules ne peut pas lui mentir, il lit dans ses yeux que c’est du faux. Et puis un gars amoureux ne serait pas venu à la plage avec lui, ne l’aurait pas embrassé ou juste laissé le toucher un tant soit peu. Non, il l’aurait repoussé. Mais ça, Jules ne l’a pas fait. Ses faibles tentatives le prouvent. Rien de violent, rien de vrai. Car pour Tristan, il ment. Oui, il lui ment lorsqu’il prétend toutes ces choses. Et Jules, il est facile à troubler. Les preuves s’accumulent malgré lui.

Le plan est en marche. Phases réunies, petite feinte et l’autre finit à l’eau. Tristan a toujours aimé obtenir ce qu’il voulait et là, Jules le lui offre. Trempé jusqu’aux os, énervé aussi. De quoi bien attiser Tristan. Il le trouve encore plus mignon lorsqu’il est comme ça. Les phases de l’engrenage marchent. Idée de génie, Tristan l’illuminé. Son sourire ne cesse de s’agrandir. Surtout que Jules est coincé, pris au piège entre lui et la paroi. Tristan aime l’avoir à sa merci, prédateur ou juste connard. Emmerdeur, c’est certain ; Et les questions fusent, il veut avoir une réaction. Mains qui encadrent la tête de l’autre, confession. Il attend la sentence. Joues rosées, il a ce qu’il désire. Un Jules qui lui sort un énième mensonge. « Ah oui ? Alors raconte-moi. Dis-moi tout. » Tristan continue de le regarder. Il remarque même ses sourcils qui se froncent et se retient d’en rire. Jules le surprend , poing posé contre son torse. Il s’attend à être poussé mais il n’en est rien. Menace banale, inutile. Ils savent tous les deux que c’est voué à arriver. Tristan peut sentir son regard, il est sûr que Jules en a aussi envie. Esquisse rieuse, Tristan est amusé. Il laisse le poing de Jules contre son torse. Sa main se pose juste au-dessus de la sienne. « Je suis déçu. Je pensais que tu me connaissais mieux que ça. » Expression, rôle joué à la perfection. Et Tristan vient lui murmurer à l’oreille et entraîne le poing de Jules avec lui. S’ils avaient été un peu éloignés, Tristan préfère enlever tout obstacle. Il vient murmurer à son oreille alors que leurs corps se touchent. Qu’il presse le sien contre celui de Jules. « Plus tu me dis de ne pas le faire, plus j’en ai envie. » Nouvelle attaque. « Jules...Je sais que toi aussi. » Ton assuré. Tristan il ne doute de rien. Il vient le fixer, leurs yeux se trouvent. Tristan sourit avant d’effacer cette esquisse. Ce n’est plus le moment, c’est trop sérieux. « Donc maintenant je vais t’embrasser. » Tristan ne lui laisse pas le temps de répliquer. Ses lèvres viennent se poser sur celles de Jules. Il attrape ses poignets et les garde captifs alors qu’il capture ses lippes tout doucement. C’est presque une caresse timide mais c’est loin d’être le genre de Tristan. Jules est bien placé pour le savoir. Alors il intensifie le baiser, se colle un peu plus à lui. Et il vient l’embrasser langoureusement lorsqu’il sent Jules prêt. Peut-être aussi que Tristan ruse en lui mordillant la lippe ; sauf que ça, c’est une autre histoire. Impatient mais bouillant d’envie. Dominé par l’idée de capturer les lèvres de Jules. C’est un baiser chaud, contraste avec l’eau mais qui ressemble au soleil qui tape fort aujourd’hui. Après avoir fait durer leurs retrouvailles, Tristan finit par tout briser. « C’est bizarre, cette scène ressemble beaucoup à celle de mon rêve. » Il joue l’étonné, attend la remarque de Jules. « Dommage que ce ne soit qu’un rêve. T’étais encore moins habillé dedans. » Manque de respect mais pourtant c’est la vérité. « Jules, tu veux bronzer ou tu préfères l’eau ? » Sourire carnassier, Tristan est fier. Il cache pourtant son petit côté troublé car il a aimé plus qu’avec d’autres. Les lèvres de Jules lui plaisent bien trop.


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Lun 24 Juil - 12:27
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Ils sont seuls. Tristan n’avait déjà jamais hésité auparavant à tenter diverses approches alors même qu’ils étaient dans les lieux publics ou entourés de personnes, alors il ne peut imaginer ce qui pourrait se passer alors qu’ils sont justes deux dans sa maison. Il n’a pas envie de le faire. Il sent déjà ses barrières céder de plus en plus à chaque rencontre entre eux. Jules est faible. Malheureusement pour lui. Il se cacher derrière les mots crus et une attitude de sauvageon. Mais ça l’irrite de penser que Tristan arriverait à voir derrière le masque. Il en est bien capable. Tristan, c’est une tentation vivante. Un péché qui foule cette terre de ses longues jambes. Il n’aurait jamais dû croiser son chemin, il aurait dû l’ignorer ce jour où il s’était posé devant lui, sourire carnassier sur les lèvres. Ils ont partagé le lit de la même femme, sa petite-amie. Une jeune fille qu’il se dit aimer, adorer plus que tout au monde. Pourtant, il est en ce moment même en compagnie de l’homme avec lequel elle l’a trompé. Juste un nom de plus dans la longue liste, mais qu’importe. Les faits sont là. Avec cet homme, il va à la plage, observe les étoiles, partage une pizza ou une cigarette. Pensées horribles. Il l’a laissé toucher ses lèvres, tracer les courbes de son corps de ses doigts. Plus qu’il ne devrait. Tristan est dangereux. Jules a toujours tenté de refouler ses pulsions. Il a toujours détourné le regard vivement quand une musculature masculine l’attirait trop. Il a toujours compté les secondes quand il posait les yeux sur un autre homme. Trois secondes. Temps à ne jamais dépasser pour que l’autre ne se doute de rien. Mais Tristan arrive devant lui, tornade qui s’en fout de tout, qui ne porte aucune considération au mal qu’il se donne pour tout cacher. Horrible et cruel Tristan.

Pourtant, il le suit. Maillot enfilé, il le suit jusqu’à la piscine. Il a toujours su que Tristan était un de ces sales gosses de riches. Ceux à qui tout est offert sur un plateau d’argent. Mais être chez lui confirment encore plus cette idée. Il était peut-être même plus fortuné que tout ce qu’il aurait pensé. Il se retrouve trempé et une injure quitte ses lèvres. L’eau est glacée mais c’est idéal en cette chaleur. C’est moins idéal quand Tristan le rejoint et le bloque contre la paroi de la piscine. Il déteste le sentiment de ne pouvoir fuir. Jules perd toute crédibilité, il en a conscience. Et ça l’énerve encore plus, ce qui le rend encore moins crédible. Manège infernal qui tourne encore et encore. « T’as pas à savoir ce que je fous avec elle. » Il pourrait lui raconter son rêve mais il aurait bien trop peur de faire une erreur, quoi que ce soit qui indique à Tristan que le protagoniste de ses songes érotiques est loin d’avoir la longue chevelure blonde de sa copine ou sa poitrine voluptueuse.

Jules pourrait rire de sa menace tant il a l’air d’un minable, encore plus quand ses yeux fixent les lèvres de l’autre. C’est presque magnétique, il ne peut regarder ailleurs. Il en a envie. Main contre son poing, il frisonne. Ca ne s’arrête pas là pourtant, non, Tristan, il a pour mission de ne cesser de le troubler. Ses sens en folies. Il se rapproche de lui, son corps contre le sien et l’eau semble les coller encore plus. Son cœur bat et s’affole. Il sait que ça va arriver. Les choses ne peuvent aller autrement. Pourtant, il aimerait tant que Tristan se taise, qu’il ferme sa gueule putain. Sa belle, magnifique, gueule. « Arrête. » c’est un gémissement à peine audible, triste. Il ne veut pas être différent, il ne veut pas être ça. Le visage sérieux, Tristan ignore sa plainte comme toujours. Comme un prédateur, il l’est assurément. Il le prépare à la suite mais est-ce que Jules a le pouvoir de contester ? Il subit. Il ne réagit pas au baiser, pas au début. Mais présence de Tristan finit par faire effet. Ses lèvres viennent à la rencontre des siennes, à présent, il prend part à ce baiser, en devient tout autant responsable. Alors même qu’ils ne les pensent pas capable d’être plus proche, Tristan comble un peu plus distance. Instinctivement, sa jambe vient trouver refuge entre celles de Tristan et un gémissement glisse de ses lippes humides. Jules fout tout en l’air et ça le chagrine encore plus de savoir qu’il le fait avec un garçon qui s’amuse seulement. Tristan, il ne le pense pas apte à avoir de vrais sentiments. Il n’est qu’un jeu, un défi à gagner. Et comme la dernière fois, quand leurs lèvres se quittent, c’est un sentiment de tristesse qui s’empare de Jules. Le sentiment d’avoir merdé, une fois de plus. Il écoute Tristan distraitement. Il parle sans cesse. Jules regarde ailleurs. « Je veux… » Qu’est-ce qu’il veut ? Fuir, surement. Le plus loin possible. Un autre pays ou même une autre planète. « Je veux juste être loin de toi. » Il tourne le dos à Tristan et se hisse simplement à la force de ses bras pour quitter la piscine. Il veut aussi que Tristan continue à le serrer dans ses bras, qu’il embrasse son visage et lui murmure des mots réconfortants. Mais Tristan ne comprend pas ça. Jules va s’assoir sur un des transats. Il ne prend même pas la peine d’y poser une serviette.
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Jeu 7 Sep - 20:24
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Mar 19 Sep - 14:11
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Y’a le soleil qui tape fort, l’eau froid qui le fait frissonner. Et Tristan qui lui fait perdre la tête, chaque instant un peu plus, à chaque rencontre il le charme un peu plus. Serpent qui n’a pas besoin de la flute d’un enchanteur pour le captiver et s’enrouler autour de son corps entier. Proximité dangereuse, elle devrait être interdite. Jules ferme les yeux. Il faut penser à autre chose. Peut-être à sa petite-amie, la belle à la crinière dorée. Celle que tout le monde le jalouse d’avoir à son brun, celle qui avait aussi, une nuit, partagé les draps du jeune homme en face de lui. Il devrait penser à tout ça, à tout ce qui devrait les séparer. Et non aux souvenirs des lèvres de Tristan contre le siennes, ses bras autour de lui quand il avait dormi chez lui la dernière fois. Pourtant, c’est tout ce que son cerveau arrive à lui rappeler. Parce qu’il aura beau se bercer d’illusions, son corps ne saurait mentir. Il désire Tristan, le veut de tout son être. Alors il aura beau lui demander de s’arrêter, ses yeux, tout en lui, semble l’appeler à continuer. Et le langage de son corps est quelque chose que Tristan maitrise à la perfection. Il l’embrasse, s’attaque à ses lèvres le brun ne peut que succomber au final. Il recherche plus de contact instinctivement, leurs torses qui se collent, son genou qui vient s’amuser contre l’entre-jambe du blond. Il veut plus. Et c’est là que le signal d’alerte sonne. Lumière rouge qui clignote sous ses paupières closes. Il ne faut pas continuer, il ne peut pas le faire. Il ne pourra plus se cacher après. Il ne peut plus dire qu’il n’est pas gay alors qu’un mec lui roule la pelle de sa vie et qu’il aime ça. Alors il fuit, ça semble évident. Il faut être le plus loin possible de la source de tentation, de cette façon, il ne cédera pas. C’est simple, presque mathématique. Il s’assoit sur le transat, il aimerait fuir plus loin mais il faudrait d’abord se rendre à la chambre de Tristan pour prendre ses vêtements. Ce qui lui semble encore plus dangereux, l’autre pourrait le rejoindre et ce serait sa fin. A vrai dire, peu importe l’endroit, il avait été pris au siège au moment même où il a posé un premier pied dans cette demeure. Ils sont seuls. Le désir brûlant en compagnon traitre. Tristan revient à lui, c’était prévisible. Une serviette qu’il pose sur son cou, Jules relève les yeux vers lui. Comment est-il supposé résister quand l’autre redouble d’attention à son égard ? Il l’essuie doucement, fait disparaitre les gouttes d’eau qui s’évapore sous son contact brûlant. « C’est dur pour moi, d’être à côté de toi. » Peut-être qu’il se rend compte du double-sens de sa phrase, trop tard. Il se mordille les lèvres, les joues légèrement roses. Mauvais choix de mots. Pas faux pour autant. Tristan vient près de lui sur le transat et lui demandant de s’allonger. « Pourquoi ? » sa voix est las, c’est presque dit simplement pour ne pas donner l’image de celui qui cède. Le faible. Parce qu’il s’allonge de lui-même quand Tristan pose la main sur lui. « Pas vraiment, non. » Comment pourrait-il faire confiance à quelqu’un, alors qu’il n’a plus confiance en ses propres actions et son corps. Il sent ses lèvres sur son cou, qui descendent et remontent. Contact agréable. Puis sa main suit le mouvement et son corps réagit. Les battements qui s’accélèrent et la respiration plus rapide. Il ne peut plus rien dire. C’est une torture divine. Ils se regardent, Jules est le plus paumé des deux ça se voit. Jusqu’à où s’arrêtera l’autre ? La réponse vient rapidement dans ses doigts qui glissent sous l’élastique, il ne compte pas s’arrêter. C’est presque indécent, la façon de Tristan le regardant alors que ses doigts s’occupent de lui. Il a chaud, son corps entier est en feu. Il se redresse, pas pour fuir, non, simplement pour nicher sa tête au creux du cou de Tristan, mordillant son épaule à chaque fois que le plaisir se fait plus fort. Il ne veut pas qu’il puisse encore voir son visage. « Tristan… » Premier soupir, puis son prénom revient en litanie. Parce que c’est tellement, tellement, bon. Tellement mieux que quand c’est sa propre main qui s’occupe de ça, honteusement en pensant au garçon. « Je vais, bientôt… » Ses paroles sont erratiques et sa main vient se loger à l’intérieur de la cuisse de Tristan, sans le réaliser, caressant doucement la peau du bout des doigts.
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