☆ âge 27 ans et qu'il a toujours pas de gosse, et qu'il est toujours pas propriétaire. il va contre un enseignement de banalité, il a retiré la patte depuis une blinde - quelle grosse tristesse. ☆ genre un homme et y'a pas à tortiller, ni même se le demander - il s'est jamais croisé dans son propre miroir en se disant qu'il devait en changer. ☆ origines libano-russe et ça sort de nulle part. il a jamais souhaité savoir pourquoi ni comment lyov, ça s'est fait, c'est tout. n'empêche que quand il y songe, il se dit que c'est beau la mondialisation et l'ouverture des chakras culturels. ☆ en ville sa naissance dont il saurait refaire une carte bien précise si on lui demandait - elle est plus la belle inconnue. ☆ statut célibataire qui se laisse traîner tant que ça veut bien lui dire oui et faire grincer le lit - love & shit c'est qu'à moitié sa came, il a juste pas trouvé de quoi parfaitement épouser sa main - on zappe le gant d'soie. ☆ orientation sexuelle à pas trop savoir, ni trop comprendre. les gonzesses c'est un fait, les gonzesses ça sait faire tourner la tête, ça vient de vénus et tout le fatra autour - ça s'apprivoise. pourtant parfois ça dérive, ça zieute des courbes plus carrées, ça se laisse bêtement tenter. bisexuel qui découvre, comme un adolescent en fleur de l'âge - et de la gaule au petit matin. ☆ emploi c'est pas sain, c'est pas bien, c'est pas le banquier qui viendra pomper le fric du pauvre ouvrier. c'est peut-être mieux, peut-être pire. lui c'est le compteur, le tic-tac avant la deadline, puis quand ça la dépasse, il frappe à la porte, il remet à l'heure ce qui déconnait - avec la dose qu'il faut. à la fois esclave et maître parmi les red devils il a en sa possession un carnet qu'il garde à jour sans cesse. y'a celui, y'a celle, y'a ceux qui ont acheté. y'a celui, y'a celle, y'a ceux qui se font souligner puis barrer. y'a celui, y'a celle, y'a ceux qui vont se prendre une race de biture dans la face - fallait mieux payer, plus tôt, pas plus tard. y'a comme un truc rapport au danger, mais lyov, il a jamais été doué pour le remarquer - il gagne, alors ça passe. ☆ situation financière pas si mal y'a un toit au-dessus de sa tête, il peut bouffer, se fringuer, cloper. il a pas la folie des grandeurs, alors juste vivre et exister un minimum ça lui colle au teint - comme un chewing-gum craché en pleine gueule. ☆ groupe shining star, la belle arnaque.

enfant choyé, pas de quoi pleurer dans un foyer au tampon rien à signaler bien imprimé sur la surface. fils unique aux vastes caprices, ni trop riche, ni trop pauvre. un peu entre les deux. pas de drama à signaler, ni de traumatisme à répertorier - juste un chien mort écrasé. ☆ il l'ouvre lyov, il l'ouvre parfois tellement que ça retombe. mais qu'il a ce qu'il faut pour se battre et à force, ça en devient un besoin. excessif. possessif. plus capable de répondre d'une bonne dose de conscience à la jiminy cricket. une fois lancé, il écoute pas, il laisse causer la castagne et ce qui se pète sous ses poings - ou coups de godasses. plaisir à mi-masochiste de zieuter de travers les bleus qui ornent tantôt son visage, tantôt ses côtes. ☆ paradoxalement, c'est le mec qui ouvre sa porte aux chats errants du coin, qui leur file de la bouffe quand il en a les moyens. et tous ils ont un blase, passant de mewton à miaourlin, il tape dans les jeux de mots foireux pour donner un contexte bienheureux. ☆ foncièrement, lyov c'est un curieux. curieux de tout. intéressé par à peu près tout. il était pas totalement idiot non plus, il aurait pas fait de grandes études mais ç'aurait pu pourquoi pas déboucher sur un truc pas trop répugnant - de quoi illuminer les pupilles de maman. que dalle. pas le courage, pas l'envie, branleur qu'est tombé dans les magouilles assez tôt pour en découvrir les bienfaits et les stigmates. ça la joue deuxième famille, à la fois pas choisie et complètement pourrie. ☆ et la moto c'est aussi une grande histoire d'amour, de vitesse, de sensations décuplées, à s'en retourner le crâne s'il vrille mal. la voiture, simple qui fait rien ressentir, c'est peu pour lui. lui, lui, lyov, il veut finir sa chienne de vie rétamé contre un mur à cause des freins qu'ont lâché - l'envie de gerber dans la gorge et l'cerveau qui plane à deux mille. ☆ concrètement, et ce, à cause de la mère de chinho, il voue un véritable culte à la bouffe asiatique et pourrait en grailler chaque jour s'il le pouvait. ☆ il a un peu de fibre artistique lyov, fibre qu'il a jamais poussé à son paroxysme. maman elle voulait faire bien, le rendre encore mieux devant les gens, surtout de quoi se vanter devant des invités - le fils qui joue du piano, ça fait tout de suite bien beau. s'il s'en est bouffé pendant trois bonnes années, il a sans doute tout perdu, faute d'un entraînement assidu. ☆ il porte constamment une bague au pouce droit, elle veut rien dire de particulier, même s'il raconte souvent des cracks autour. elle a été bêtement trouvée et chourée dans les dédales d'un marché - et ça fait un moment qu'elle quitte plus sa paluche. ☆ il fait partie de la plus grosse pseudo-société de production de liberty, mais il consomme aussi en matière de pétards et de lignes. lyov il est comme incapable de dire non, comme ayant pas de transition ou de filtre l'aidant à tracer pour un chemin différent. ☆ lyov il est baptisé pour autant ça fait pas de lui un croyant, il recherche aucun précepte qui pourrait lui parler. y se demande pas ce qui se passe après, y'a que le présent qui se gâche ou s'illumine - puis il passera le bonjour à dieu une fois rétamé et enterré.

- lyov, lyov, on est potes non ?!
- ah ouais ?
- ouais, ouais, tu sais que j'reviens souvent, tu sais que j'suis régulier, j'suis hyper régulier comme client et -
- tu veux une médaille ?
il range son petit carnet dans sa poche, croise ses bras sur son torse, fixe l'étendue des dégâts - cette baraque on dirait des décombres, pas celles d'un temple romain, plus d'une tentative de reproduire une benne à ordure. il scinde, analyse. l'autre se débat, bouge ses bras de haut en bas - une chorégraphie de l'effroi.
- nooon mais encore deux jours, deux jours, deuuuux jours, j'te demande juste deux jours lyov. et j'te jure que ça va aller.
le concerné se frotte les yeux, tire une mine dépitée - déconfite. il a le sens du drama, du mélo et du trémolo. il laisse sa bouche ouverte, témoignant d'une tentative de communiquer.
- franchement ? ferme ta gueule.
le poing s'abat, tombe, fait craquer la mâchoire. la carcasse maigrelette s'enfonce dans le parquet. ça grince sous la violence, l'indécence, il s'entend respirer, le silence pour l'accompagner.
(en retard)
(en retard)
(il avait dit)
(pas de retard)
l'échine redressée, à fouiller dans les poches, rapace qui avale la moindre trace - quelques billets dégueulassés, pisse ou juste crasse cumulée dans le fond de miettes. il grince des dents, lyov, baisse ses iris charbonneuses sur ses phalanges, dépliant, repliant.
affutant l'arme du combattant, pas vraiment faucheuse, pas vraiment voleuse. on pourra exclamer à la vengeance, au pathos façon tragédie - lui il dira juste que c'était un
petit boulot.

à partir de quel moment -
à l'intérieur de ses cuisses, les lèvres qui se posent,
à partir de quel moment -
dans la crevasse que forme son ventre, les dents qui se referment,
à partir de quel moment -
dans la courbure de ses lèvres, le murmure qui se répète,
- embrasse-moi.
encore, avec le sourire qui s'étire, qui forme un croissant de lune à en faire pâlir l'astre d'origine. embrasse-moi qui fait litanie, supplique qui le fait se mettre à genoux, qui attrape, qui détraque.
à partir de quel moment -
les doigts qui se referment sur son dos, marquent à vif la peau,
à partir de quel moment -
les coups de reins, qui font oublier le lendemain,
à partir de quel moment -
putain,
- embrasse-moi.
et la figure de chinho qui se dessine, qui se déforme, qui s'échauffe. la symphonie de ses soupirs, de ses lippes qui -
à quel moment -
il l'a trouvé beau, à s'en damner,
il l'a trouvé sublime, à vouloir l'étouffer,
à quel moment -
lyov qui embrasse, lyov qui embrase, qui enchaîne qui veut l'entendre crier, puis se taire. qui veut l'expédier, qui veut le faire tourner, qui le serre, qui l'enserre, qui - embrasse-moi, encore, encore, encore. la bouche qui réclame, la bouche qui veut, qui hurle à sa dope, à sa dose, qui sait plus comment respirer, encore, encore.
embrasse-moi,
touche-moi,
crève-moi.
les doigts qui se resserrent dans la tignasse, cette détermination pugnace, chaque parcelle qui y passe, parce que ça va se terminer, ça va se terminer, au petit matin, comme une apparition, disparition.
embrasse-moi,
à quel moment - ça a, changé ?
à quel moment -
il a accepté l'idée qu'il fallait,
oublier.

ce que j'ai pensé de ta fiche: t'es beau comme le jour, tu rayonnes de mille feux pis t'es tellement parfait que j'en ai les larmes aux yeux on va repeupler liberty à nous deux, t'inquiètes mon chat je te valide - accessoirement

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Ouais, nous on fout une nounou d'enfer, et plutôt deux fois qu'une   Quoi qu'il en soit, on te souhaite officiellement bienvenue sur le forum bébé ! On espère que tu t'y plairas et que tu kifferas ton aventure avec nous     alors ouais, on sait que ça part dans des délires chelous de martiens et de secte et qu'en plus, on a des gifs smileys un peu étranges... mais t'inquiètes pas, on va te guider et après, tu n'auras plus qu'à t'amuser en notre compagnie  
étape numéro une: t'es validey bebeyyyy maintenant il faut recenser ton métier !
étape numéro deux: pour pas crever en solo, n'oublie pas de poster poster ta fiche de liens et de poster par ici si tu te cherches des gens avec qui rp !
étape numéro trois: si t'as des idées de liens, tu peux bien évidement créer un scénario ou des pré-liens !  
étape numéro quatre: va flooder !! c'est un ordre  
étape numéro cinq: et puis, si tu as des questions, n'hésite surtout pas à poster ici ou à contacter le staff par mp    

Et puis, s'il y a des tcs/events en cours, c'est l'occasion de t'intégrer en t'amusant ! Amusez-toi bien sur le forum