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[m] i hate you, i love you  :: (générique de fin) :: dead end :: v1
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Mar 30 Mai - 22:41
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[JEREMIAH "JEM" KASMEDJAN]
"you can't play on broken strings."
(idées avatars) max irons, daniel sharman, sam claflin, dan stevens, max riemelt.

[âge] trente-deux années.  [origines] il est américain pure souche. [en ville] depuis toujours, malgré des aller-retour entre new-york et liberty. work, you know. [statut] au choix, mais pourquoi pas le faire fiancé ou en passe de se marier pour assurer le bien de la compagnie familiale. [emploi] rentier apprenant les bases pour reprendre l'entreprise familiale de bijouterie de luxe. [$$$] $$$. [groupe] au choix. [crédits] tumblr + moonlight.

keywords: cigarettes. douleur. incompréhension. abondance. charnel. indécis. profiteur. allumettes. gasoline. instinct.

[memories]
jem a la vie toute tracée. enfant de la haute, enfant bichonné, enfant gâté, enfant intenable d'arrogance et de suffisance. son enfance n'aura pas connu d'encombre.
jusqu'à un évènement que je vous laisse au choix, qui l'aura calmé et assagit. il a sa mère, toujours présente, toujours protectrive. il peut avoir de la famille.
il a une bande d'amis, du même niveau que lui, du même acabit et de la même trempe. ils sont comme les doigts de la fourche. jamais l'un sans l'autre. et sans l'autre. et sans l'autre. un quatuor de beaux garçons, suffisants de l'extérieur, mais pourtant très agréables et dotés d'un grand sens de l'humour, une fois passée la barrière de la crainte qu'ils peuvent ressentir pour toutes personnes étrangères. brianna avait réussi à rentrer dans le cercle intime, en tant que demoiselle du jeune kasmedjan. ces garçons étaient devenus sa famille.
et puis, du jour au lendemain, brianna a quitté sa vie. sans rien dire. elle qu'il a considéré comme la femme avec qui il partagerait sa vie, lui a brisé l'âme. fier comme il est, il n'a jamais cherché à reprendre contact. et il a interdit à ses amis de le faire. une fatoua contre la jeune femme. c'est aussi à cause de ça qu'il a décidé de quitter liberty pour les cinx dernières années,
se consacrant à sa vie new-yorkaise et hamptonnaise. il a vécu, il a oublié.
et pourtant, le revoici. pourquoi?
à vous de me le dire.



[broken strings] BRIANNA CROFT
chapter one: i can feel all the things you've ever felt before (point de vue de brianna)
ce visage. cette peau. lisse. douce. accueillante. avenante. son visage. sa joue. ton doigt. ce contact. tu le retrouvais. il était appuyé sur toi, torse-nue. tout comme toi. vos respirations retrouvant un semblant de rythme. votre rythme. vous aviez toujours vécu ainsi. cela faisait quelque temps que vous vous connaissiez. des mois. des années. quand il était là, tu ne savais plus compter. seul son visage, son sourire, son regard, seul lui comptait. il caressait ton épaule, enfonçant le visage dans ton cou pour l'embrasser du bout de ses lèvres, t'arrachant malgré tes efforts de retenu un soupir d'extase. il te suffisait d'un léger contact. c'était à quel point, il avait de l'effet sur toi. et puis, les hormones jouaient beaucoup.
vous vous étiez retrouvé, vous aviez besoin de discuter. cela faisait un moment que vous ne vous parliez plus comme avant, que l'étincelle avait filé, que l'amour s'en était allé. du moins, c'est ce que vous croyiez. il avait son caractère, tu avais le tien. tu n'étais pas facile, cette ambition, cette rage au ventre que tu avais. redorer la famille. redonner une impulsion. ressentir à nouveau la fierté patriarcale sur tes épaules. tu étais l'espoir. l'unique. l'élue. tu voulais grimper. tu voulais être connue. pas comme lui, pas sous les projecteurs, pas sous les feux de la rampe. juste connue pour être la meilleure dans ton domaine. pour être cette avocate aux canines aiguisées, qui pompaient l'essence même des gens contre qui tu devais argumenter. tu voulais être la meilleure. il le fallait. et lui, soupe au lait, caractériel et impulsif, s'aimant un peu trop, un peu trop souvent. ce coté pervers des acteurs qui réussissent comme il l'avait fait. et là, vous vous étiez perdu. toi dans tes études, lui dans ses castings. toi dans ton ambition, lui dans son égo. vous ne vous supportiez plus. et puis, il ne le savait pas encore, mais tu étais sous pression, hormonalement parlant. i missed it.. il t'embrassais le cou, la clavicule, l'épaule. tu frissonnais, tu gloussais, comme la gamine que tu étais. vingt-cinq années. jem.. we talked about that. il te souriait, espiègle. tu lui rendais. en effet, vous saviez que sexuellement, vous vous entendiez bien. très bien. trop bien. c'était votre échappatoire quand vous n'aviez rien à vous dire. or, aujourd'hui, il fallait s'ouvrir l'un à l'autre. reprendre à zéro. tu le repoussais en rigolant pour qu'il s'allonge à tes cotés, tu tirais le drap blanc sur toi, cachant ta poitrine. tu t'asseyais en tailleur à ses cotés. il rigolait, continuant à caresser ton dos dénudé. what have you withheld from our serious conversation? il souriait. yes, the conversation before that. il se relevait, s'asseyait à tes cotés, posait son menton sur ton épaule, t'embrassait le nez. tu souriais, telle une gamine écervelée. jem, come on, i mean it. il soupirait. we need to discuss more. to be more aware. if something feels wrong, we have to tell it to each other. and we can't get mad, because we have to remember that this is for our own good. it's good for us. tu souriais for the new us. il souriait, t'embrassait. i like the sound of that. et il passait sa main à nouveau dans tes cheveux, agrippant fermement ta nuque pour t'empêcher de dire quoi que ce soit de plus. tu ne pouvais résister à cet appel de sirène. il te coupait le souffle. tu l'aimais.
mais après vos retrouvailles, qui restaient fraîches et fragiles, comme allait-il apprendre la nouvelle? comment allait-il réagir au fait que duo allait peut être se transformer en trio?
car pour le moment, ils souriaient beaucoup. mais, comme la vie n'est jamais prévisible, les larmes allaient suivre.
beaucoup de larmes.

chapter two: disappearing.
et là, ça était le pire. plus rien, plus rien pendant 5 ans, plus rien pendant 1825 jours et 1826 nuits. fini votre idylle, les idylles, le piment de ton existence. tu errais dans ta vie comme quand on erre dans une tragédie de racine. hermione version mec. où es-tu ? qu'as-tu fait ? que dois-tu faire encore ? quel transport te saisit ? quel chagrin te dévore ? à ne plus savoir si tu aimes ou si tu hais. brianna t’a assassiné. trucidé. égorgé. baisé. enculé. et tant d’autres rimes tarées. et puis tu as fini par y penser à l’imparfait. te résoudre au bonheur fade de ta naissance. l’amour, la famille, le boulot, l’antenne parabolique. du racine.
et qu'allait-il se passer quand tu la reverrais? comment allait être accepté ton retour au bercail? comment allait-il se profiler cet amour éteint, mais peut être pas tout à fait? une chose était sure: tu devais la voir, la confronter, pour savoir.


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