n'hésitez pas à privilégier les personnages plus vieux, les pré-définis et à participer au topic en commun I love you
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[f] thank god for gravity  :: (générique de fin) :: dead end :: v1
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Mar 9 Mai - 21:03
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[CECYLIA SWIRE]
"ici, une petite citation."
(avatars préférentiels) alexis ren, kristina bazan.

[âge] 21 yo.  [origines] américaine pure souche. [en ville] depuis toujours [statut] au choix, mais elle voit cem assez régulièrement à coté. je la voyais bien sur le point de se fiancer au fils d'un concurrent de la firme de son père pour assurer la suite des affaires. un mariage de bussiness. [emploi] au choix, mais je ne la voyais pas faire beaucoup. [$$$] $$$$$$. [groupe] au coix. [crédits] tumblr.

keywords: écris des mots qui te font penser à ce personnage. ça peut-être des traits de caractères ou des objets etc, ce que tu veux tant que tu ne détailles pas !

[memories]
je demande juste à ce que les swire soit une famille riche qui est employé cem les premiers et ce depuis quelques années maintenant. le reste est totalement à votre guise.je ne veux pas vous imposer des frères, des soeurs, un meurtre dans la famille.. ça, c'est vous qui choisissez! juste que voilà, cecylia se sent complètement prise au piège dans cette famille et tantôt à envie de s'enfuir,
tantôt s'y complet plutot pas mal..
je vous invite à aller lire le début de rp que j'avais eu avec la première cecylia, qui est assez sympa à lire pour comprendre la relation et la personnalité de la demoiselle je trouve coeur



[gravity] CEM POPE
elle puait le gin et la vodka. cette haleine putride que l'on a le lendemain des soirées trop arrosées, elle l'avait avant même que le soleil ne commence à pointer le bout de son nez. tu la connaissais, tu la voyais toutes les semaines, installée sur son transat de soie tendue, à se dorer la pillule. elle te regardait parfois, mais souvent pour corriger chacun de tes gestes, pour te montrer là où tu avais fauté. à dire vrai, tu la regardais comme une enfant; elle n'avais que vingt et un ans. il ne pouvait en être autrement. elle était plus jeune que ta soeur, tu ne pouvais imaginer quoi que ce soit d'autres avec ce corps fébrile qu'était le sien. et ce soir-là, c'est ton instinct fraternel qui est ressorti, quand tu la croisais complétement bourré, à courir les seins à l'air dans les rues de belmont. tu l'avais rattrapé au vol pour la prendre sur ton épaule et la ramener chez elle. elle parlait, un peu trop, mais elle était toujours consciente. tu connaissais sa maison, tu connaissais les cachettes des clefs de la demeure, et elle savait se taire quant il en venait à ne pas se faire griller par ses parents. elle avait réussi à se taire, pendant que tu la trainais dans l'aile de sa chambre, quand tu la déshabillais pour la mettre sous la douche et la nettoyer de l'odeur âcre de liqueur qu'elle portait, quand tu l'avais mise en pyjama pour la coucher, avec une aspirine et un verre d'eau sur sa table de chevet. tu étais parti, sans un bruit, une fois que la petite s'était assoupie. elle était paisible, elle était divine. tu avais embrassé son front, comme tu l'aurais fait avec necla. reina était une petite princesse, une fois passée la crise d'adolescence attardée. et le lendemain, tu étais venue travailler comme si de rien n'était. tu passais le filet sur l'eau translucide de la piscine pour attraper les quelques feuilles inexistantes qui étaient à la surface. c'est alors que tu la vis paraitre, en maillot blanc, renforçant légèrement le hâle de sa peau. elle portait de grosses lunettes de soleil, couvrant la moitié de son visage. tu rigolais doucement. gueule de bois? elle fit un geste sec de la main, portant son autre à sa tête. tu avais visé juste. elle s'installait sur son transat, comme à son habitude, et se mit à bronzer. elle soupirait, pendant que tu continuais de travailler non loin d'elle. merci, pour hier soir.. si tu ne m'avais pas sauvé, je ne sais pas où j'aurais pu finir.. tu hochais de la tête. aucun problème, miss swire. et tu retournais à ton affaire. tu ne voulais pas qu'on puisse te dire quoi que ce soit sur ton assiduité au travail. elle semblait perplexe, puis se levait et retournait à l'intérieur de la maison. tu haussais les épaules, sans te préoccuper plus que cela de son changement de planning qui n'était pas commun. et puis, dix minutes plus tard, un cri résonnait. un cris strident, venant de l'intérieur de la maison. ni une, ni deux, tu lachais tes ustensiles et te lançais vers la source de l'alerte. quelqu'un avait-il réussi à entrer dans la maison? était-il en train de porter atteinte à la vie ou à la pureté de la gamine? tu courrais, jusqu'à arriver dans la chambre de la jeune fille, où le spectacle sur lequel tu tombais n'était pas celui auquel tu t'attendais. elle était là, installée sur son lit, à glousser en te regardant. ses longs cheveux blonds éparses sur ses épaules glissaient jusqu'à la pointe de ses seins pour les masquer légèrement. le reste de son corps était nu. totalement nu. ton regard la balayait rapidement avant de comprendre. tu fermais les yeux et te retournais, pour ne pas la voir. miss swire, pourquoi avez-vous crié aussi fort..? elle se levait, tu l'entendais. le bruit fin des tissus se  mouvant au gré de ses gestes, le sourd toucher de ses pieds sur ce parquet ciré. elle s'approchait de toi, collant son corps frêle et glabre contre le tien, passant ses bras sur ton torse enduit de sueur. tu ne bougeais pas, pétrifié et quelque peu émoustillé. je devais faire quelque chose pour t'attirer par ici.. elle glissait ses mains sur tes hanches, parcourant chaque parcelle de ta peau de la pulpe de ses doigts. et comme mes parents ne vont pas rentrer avant un looong moment.. elle avait glissé sa main sous ton short, parcourant la couture de ton boxer, juste au moment où tu te retournais pour l'agripper violemment à toi et l'embrasser. tu ne pouvais malheureusement plus résister à l'appel d'une chaire aussi belle et aussi pure. elle entourait rapidement de ses cuisses ta taille, collant son buste au tien, laissant tes mains parcourir son dos, ses fesses. tu la désirais, malheureusement. tu l'envoyais sur le lit avant de t'appuyer contre elle, l'écrasant de tout ton poids. la suite n'était qu'une simple continuité des choses. que vous avez réitéré deux fois dans l'après-midi.
tu t'en voulais. elle qui était à peine majeure, voilà que tu la profanais de ton corps d'homme. mais, comment résister à une telle dépravation et à de tels réactions? comment ne pas satisfaire les besoins d'une midinette qui en demandait encore et encore? c'était la première fois que cela arrivait, mais ce n'était certainement pas la dernière..


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